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Florence Giust-Desprairies : Jean-Louis Laville, vous êtes professeur au Conservatoire national des arts et métiers, titulaire de la chaire Économie solidaire, chercheur associé au Collège d’études mondiales-fmsh (Fondation maison des sciences de l’homme), responsable du programme de recherche Démocratie et économie plurielles. Par ailleurs, vous dirigez les collections « Sociologie économique » aux éditions érès, « Solidarité et société » chez Desclée de Brouwer.
Vous êtes impliqué dans de nombreuses activités internationales : le Karl Polanyi Institute of Political Economy, le réseau européen emes, dont vous êtes cofondateur, qui organise des activités scientifiques internationales régulières sur l’innovation sociale, le réseau sud-américain riless (Réseau de chercheurs latino-américains sur l’économie sociale et solidaire).
Vous êtes connu pour l’importance de vos travaux, en France et à l’international, concernant l’économie sociale et solidaire mais aussi la vie associative, son émergence, son histoire et ses évolutions.
C’est donc pour votre longue expérience et la nature de vos travaux de recherche que nous avons souhaité vous rencontrer pour réfléchir avec vous sur le bénévolat dont les formes sont nombreuses et concernent des populations très variées. Force est de constater que nombre d’associations qui reposaient sur un bénévolat revendiqué peinent aujourd’hui à renouveler leurs forces vives et connaissent une fragilité dans leur structure, du fait de la difficulté à mobiliser suffisamment des énergies volontaires…
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- Mis en ligne sur Cairn.info le 16/11/2021
- https://doi.org/10.3917/nrp.032.0181

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