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Cafdes, le moment du mémoire

1En octobre et novembre 2011, plus de 300 postulants au Cafdes ont soutenu un mémoire de fin de formation. Si l’on ajoute à ce chiffre, les formations par la procédure de validation des acquis de l’expérience (VAE) et celles par la voie du concours du secteur public, ce sont près de 500 nouveaux cadres qui prennent leur poste chaque année. La loi du 2 janvier 2002 ayant pour conséquences de réduire le nombre des établissements et services, on assiste en ce moment à une véritable relève générationnelle dans ce secteur. Cette relève concerne les directions mais également les associations dont les conseils d’administration peinent à renouveler leurs membres et leurs équipes de direction. Les mémoires les mieux notés seront, au cours de l’année, accessibles en ligne sur les bases du Cedias et de l’EHESP. Nous en présentons neuf dans cette rubrique. Cela ne signifie pas que les expériences citées sont les meilleures ou les plus innovantes mais plutôt que les auteurs de ces mémoires ont su donner à leurs travaux une intelligibilité plus importante et une écriture plus accessible. Se situant à un moment où le nouveau cadre prend ses fonctions dans le service ou l’établissement, les mémoires Cafdes effectuent une véritable coupe dans le secteur. Ils en montrent les transformations dans la durée mais aussi les enjeux de la période. Depuis la loi de 2002, le secteur médico-social est engagé dans une nouvelle période de son évolution. Le temps n’est plus à la création mais aux regroupements, les établissements évoluent vers des fonctions de prestataires de services sur leur territoire et le sanitaire et le médico social se rapprochent de nouveau effaçant progressivement la rupture créée par la loi de 1975. Là aussi, une nouvelle génération de politiques est à l’œuvre.

Alternatives au placement

« Mettre en œuvre un nouvel accueil alternatif en Mecs pour conjuguer protection de l’enfance et soutien à la parentalité », Aline Colombany-Padoly

2Mémoire pour l’obtention du Cafdes, IRTS Paca et Corse, 20, boulevard des Salyens, 13267 Marseille Cedex 08, novembre 2011, 84 p. + annexes.

3Demandée par les parents, parfois par l’enfant ou l’adolescent, décidée par le juge ou imposée par les services sociaux d’un conseil général, la séparation entre parents et enfants cherche à instaurer une coupure dans des relations conflictuelles dont le maintien peut être source de maltraitances et de dangers pour l’enfant. Il arrive pourtant que cette séparation, loin de protéger l’enfant, l’expose à d’autres risques lorsque, par exemple, les fugues et les passages à l’acte se multiplient et qu’apparaissent des signes de dépression réactionnelle. Ces limites thérapeutiques à l’intérêt du placement sont identifiées depuis plusieurs décennies. Toutefois, les réponses institutionnelles restent peu nombreuses même si les pratiques de soutien aux parents se font plus fréquentes et si les mesures d’actions éducatives en milieu ouvert se sont largement étendues. Ces actions menées à l’intérieur du groupe familial sont parfois inopérantes lorsque les conflits prennent un caractère de grande violence, physique ou verbale. S’appuyant sur l’étude du fonctionnement d’une maison d’enfants à caractère social (Mecs) ainsi que sur une longue expérience d’accueil d’enfants, Aline Colombany-Padoly propose de développer une forme intermédiaire entre le placement à plein temps et l’aide en milieu familial sous la forme d’un accueil de jour. Ce type de travail nécessite de développer une action forte de soutien à la parentalité et d’instaurer entre les professionnels et les parents une véritable coéducation. Cet accueil alternatif n’est pas une invention, d’autres établissements utilisent déjà cette forme de travail qui nécessite l’adhésion des parents et des enfants mais aussi des équipes éducatives. Réf. 1654

Des pères en centre maternel

« Conduire l’évolution du centre maternel Les Acacias pour renforcer son inscription dans la réforme de la protection de l’enfance et s’adapter aux besoins du public accueilli », Marine Groleau-Tignon

4Mémoire pour l’obtention du Cafdes, Arif, 8 Villa du Parc Montsouris, 75014 Paris, novembre 2011, 87 p. + annexes.

5S’interrogeant sur la place des pères dans les centres maternels, Marine Groleau-Tignon, ancienne secrétaire générale de l’Agence nouvelle des solidarités actives, constate que les établissements français restent bien en retrait des pratiques canadiennes. Alors que les centres maternels français, probablement encore engoncés dans une histoire lointaine, hésitent à faire une place plus importante aux pères des enfants, les structures canadiennes développent des services externes comme les interventions à domicile, les ateliers proposés aux jeunes femmes et aux pères de leurs enfants ou les jumelages avec des familles qualifiées de marraines permettant, ainsi, d’offrir des moments de répit aux parents. Le cadre législatif définissant les missions de ces centres n’a pas évolué depuis une circulaire de 1981. Les conventions internationales, mais aussi et surtout, la transformation de la population, dont l’entrée massive des jeunes femmes avec enfants sur le marché du travail est un élément clef, rendent plus que jamais nécessaire l’évolution de ces établissements et leur rapprochement avec les conditions de la vie ordinaire, c’est-à-dire hors les murs et les institutions. Décrivant la situation de ces établissements très dépendants du Conseil général de Paris, l’auteure de ce mémoire montre les transformations de la population accueillie et s’intéresse aux formes de management qui devraient permettre d’accompagner la transformation de ces établissements de façon à donner une plus grande place aux pères des enfants. Réf. 1655

Alzheimer : le répit en plateforme

« Optimiser, depuis un accueil de jour, une offre territoriale de répit aux aidants de personnes âgées désorientées », Josefa Costa Planells

6Mémoire pour l’obtention du Cafdes, IRFFD, 1011, rue du Pont de Lavérune, 34077 Montpellier Cedex 3, novembre 2011, 75 p. + annexes.

7On estime à un peu plus de trois millions le nombre de personnes qui s’occupent au quotidien d’un de leurs proches souffrant de la maladie d’Alzheimer. Ce sont en majorité des femmes dont la moitié sont des conjointes et un quart des filles de personnes atteintes par cette maladie. Les deux tiers sont en retraite. Les promoteurs de l’allocation personnalisée d’autonomie (Apa) avaient imaginé que cette prestation réduirait le rôle des aidants familiaux. L’expérience montre au contraire qu’il n’a fait que se renforcer. Si l’aide professionnelle est en moyenne de deux heures par jour, le temps des bénévoles est évalué à huit à dix heures pour les conjoints et à cinq heures pour les enfants. Cette tâche bénévole est décrite tant dans la littérature scientifique que par les personnes elles-mêmes comme un véritable fardeau qui conduit parfois à l’épuisement. Face à cette charge, les familles qui évoquent un sentiment de solitude, de perte de lien social et de manque de soutien expriment des attentes et des besoins de répit. Cette notion est devenue cruciale dans le dispositif de prise en charge des personnes dépendantes et de leurs aidants. Elle consiste à assurer un accompagnement des personnes dépendantes soit à domicile, soit en accueil de nuit, de jour, de vacances, en tout cas de manière temporaire, de façon à permettre aux personnes aidantes de retrouver un moment et un espace de vie en dehors de la maladie et du malade. En dépit de ces besoins indéniables, les professionnels constatent une sous utilisation des structures dites de répit. Ce non recours s’explique, comme toujours, par un manque d’informations, mais aussi par une culpabilité éprouvée par les aidants à penser qu’ils abandonnent leurs proches. Il arrive aussi que les services d’accueil temporaires ne réussissent pas à accueillir des personnes en situation de trop grande dépendance. L’auteure de ce mémoire, dirigeante d’une importante association d’aide aux personnes âgées dans le département du Tarn, propose, sous le nom de plateforme de répit et d’accompagnement des aidants, une véritable stratégie de développement de services, s’inscrivant sur le territoire départemental et s’appuyant sur de multiples partenariats locaux. Réf. 1656

De la prévention des addictions au traitement du mal-être

« Développer pour des jeunes scolarisés une offre élargie de prévention-santé sur le territoire », Chantal Rien

8Mémoire pour l’obtention du Cafdes, IRTS, 2 avenue du Bois Labbé, 35042 Rennes Cedex, novembre 2011, 87 p. + annexes.

9Moins présentes dans les débats actuels autour de l’éducation et de la rééducation qu’elles ne le furent par le passé, les associations de Sauvegarde de l’enfance, les « Sauvegardes » comme on les appelait dans les années 1960-1970, existent toujours et certaines associations départementales sont particulièrement dynamiques investissant dans le médico-social, le socio-éducatif mais aussi, la formation, l’insertion et la prévention. C’est le cas de la Sauvegarde du Finistère dont le secteur prévention était régulièrement sollicité par les établissements scolaires depuis le début des années 1990 pour développer une action de promotion de la santé et de prévention dans le domaine de la consommation des substances psychoactives illicites et particulièrement du cannabis auprès des jeunes scolarisés. Cette intervention est assez classique depuis de nombreuses années, elle suppose d’impliquer les adultes qui encadrent les jeunes, de travailler en réseau et de favoriser toutes les opportunités d’écoute et d’échanges avec les jeunes. Or, depuis quelques années, le paysage scolaire change. Les élèves, y compris dans les classes de 6ème et de 5ème déclarent un mal être qui n’a qu’un rapport lointain avec les addictions, il s’agit d’humiliations physiques, de tentatives de suicide, de développement de racket et de violences physiques envers les plus jeunes. La question des addictions passe au second plan devant la montée du mal-être d’une communauté éducative. C’est à l’examen de la transformation de cette demande que nous fait assister Chantal Rien et surtout à la construction de nouvelles réponses qui supposent des formes différentes de travail et surtout des qualifications non encore acquises. Réf. 1657

IME, un modèle réduit du médico social

« Inscrire un IME dans son environnement pour promouvoir l’inclusion sociale des adolescents accueillis », Françoise Arnal

10Mémoire pour l’obtention du Cafdes, CRFPFD, Passage de l’Europe, 31400 Toulouse, novembre 2011, 85 p.

11L’histoire de certains établissements constitue une illustration parfaite de l’évolution globale du secteur médico-social. En mai 1940, des religieuses quittent la Belgique avec un petit groupe d’enfants sans famille. Après une longue errance, elles s’installent près de Toulouse et ouvrent un établissement qui après guerre reçoit 500 demandes d’admission par an. À partir de 1956 cet établissement devient un internat de filles. Progressivement, l’établissement se laïcise, les religieuses disparaissent. Après la loi du 30 juin 1975, l’association est reprise par une association gestionnaire, arrivent alors des jeunes en grandes difficultés sociales en provenance de Toulouse, les relations se tendent avec le village. L’établissement devient ensuite un Institut médico éducatif accueillant des enfants en situation de défiance « légère et moyenne ». En fait, arrivent dans cet institut des enfants dont le système scolaire ne sait que faire ou des enfants en situation de handicap psychique, par conséquent déclarés handicapés et orientés vers le secteur médico social, enfants qui auraient dû bénéficier d’une démarche essentiellement thérapeutique. Ces recompositions régulières dessinent des cycles de vie et de ruptures du secteur médico-social. Françoise Arnal montre comment les équipes et l’encadrement doivent s’adapter à ces transformations.

12Réf. 1658

Personnes handicapées mentales et vieillissantes, ou aller ?

« Foyer Calvino, Paris : diversifier l’offre de service pour répondre à l’évolution des besoins des personnes présentant un handicap mental et vieillissantes », Bertrand Hamann

13Mémoire pour l’obtention du Cafdes, Arif, 8 Villa du Parc Montsouris, 75014 Paris, novembre 2011, 90 p. + annexes.

14Depuis la loi du 2 janvier 2002, les principaux textes qui régissent le secteur médico-social privilégient les stratégies d’intégration des personnes dans les milieux de vie ordinaire, c’est le cas pour les enfants en situation de handicap mais aussi pour les adultes qui cherchent à accéder à un travail. Or, la plupart des mémoires et études qui s’intéressent au devenir du vieillissement des personnes handicapées optent pour un cheminement contraire en recommandant le maintien dans l’institution dans laquelle les personnes ont eu un long parcours de vie. Bertrand Hamann fait un choix semblable. Plusieurs raisons expliquent cette option. Tout d’abord, et particulièrement en région parisienne, le nombre de places en Ehpad est nettement insuffisant ; ensuite la moyenne d’âge dans ces Ehpad est plutôt de 80 ans alors que les personnes handicapées mentales peuvent être considérées comme vieillissantes à partir de 50 à 60 ans ; enfin, l’encadrement de l’Ehpad est très éloigné du travail socio éducatif réalisé dans les établissements pour personnes handicapées mentales. Le passage en Ehpad multiplierait par conséquent les ruptures. Si l’on ajoute à cela la mauvaise réputation des Ehpad dans les établissements qui accueillent des personnes handicapées, et la réticence des directeurs d’Ehpad à héberger des personnes handicapées mentales, il faut bien convenir que Bertrand Hamann fait le bon choix. On regrettera juste avec l’auteur que les financeurs n’aient pas suivi le projet, pourtant modeste, d’adaptation de son institution. Réf. 1659

Dessine moi un établissement d’aide par le travail

« Adapter le dispositif d’insertion socio-professionnelle en Esat pour améliorer l’employabilité des personnes en situation de handicap psychique », Florence Laune

15Mémoire pour l’obtention du Cafdes, CRFPFD, Passage de l’Europe, 31400 Toulouse, novembre 2011, 90 p. + annexes.

16L’image selon laquelle le secteur médico-social serait issu de la transformation d’institutions religieuses caritatives renvoie à une réalité partielle. Les associations de parents d’enfants handicapés eurent un rôle important dans les années 1960, souvent en liens avec des professionnels de santé. Il arrive aussi que des secteurs professionnels se proposent de développer des réponses à des situations rencontrées dans les milieux de travail. Cette situation, moins fréquente, a connu et connaît encore de réels développements comme en témoigne le mémoire de Florence Laune à propos de l’établissement d’aide par le travail (Esat) « Saint Exupéry », dans la région toulousaine qui a été créé à l’initiative de membres de l’Aérospatiale. Les statuts de l’association gestionnaire prévoient que le président du conseil d’administration sera toujours un salarié d’Airbus-industrie. À l’institut médico éducatif de la fin des années 1960, a succédé une maison d’accueil spécialisée et un foyer de vie et plus récemment un foyer d’accueil médicalisé. Un projet de rapprochement est en cours avec deux autres associations toulousaines pour créer un véritable pôle industriel aéronautique regroupant plusieurs Esat. Cette stratégie associative pourrait conduire les associations à créer ou à racheter une entreprise adaptée et à développer un centre de formation. La nouvelle entité comprendrait alors quelques 650 salariés. Cette nouvelle configuration institutionnelle permettrait de répondre à une augmentation des demandes provenant actuellement du secteur psychiatrique, d’instituts spécialisés (Itep), de personnes en rupture de liens sociaux mais peu stabilisées du point de vue psychique. Elle pourrait aussi accueillir des personnes qui souhaitent quitter d’autres structures de travail protégé.

17Réf. 1660

Culture palliative

« Développer et gérer une démarche palliative en Ehpad pour le respect et la dignité des résidents en fin de vie », Maggy Barreau

18Mémoire pour l’obtention du Cafdes, IRTS Aquitaine, 9, rue François Rabelais, 33400 Talence, novembre 2011, 85 p. + annexes.

19Dans un hôpital, le décès d’un patient est un problème auquel on n’a pas su trouver une solution, un échec. Dans un Ehpad, le décès est l’aboutissement d’un séjour, une dernière étape dans un parcours de vie, étape qu’il importe d’accompagner pour la personne mourante mais aussi pour sa famille et ses proches. Envisageable dès l’arrivée dans l’établissement la question de la mort est très vite transformée, tant par les personnels que par les familles et les personnes accueillies en une interrogation sur la façon de mourir et surtout sur les souffrances qui pourraient accompagner le décès. Maggy Barreau met l’accent dans son mémoire non pas uniquement sur les réponses techniques et médicales que l’on peut apporter aux personnes en fin de vie mais plutôt sur l’intégration dans l’établissement d’une véritable culture palliative. Elle montre que l’accompagnement palliatif ne consiste pas seulement à répondre à la souffrance mais plutôt à contribuer à enrichir d’un supplément de vie ces moments où cette vie glisse même entre les mains. Réf. 1661

L’innovation, une solution ou un problème ?

« Impulser une nouvelle offre d’insertion dans un contexte de crise institutionnelle : un enjeu stratégique pour la direction d’un Centre d’hébergement et de réinsertion sociale », Laure Paveau

20Mémoire pour l’obtention du Cafdes, IRTS Besançon, IRTESS Dijon, 2, rue du professeur Marion, 21000 Dijon, novembre 2011, 83 p. + annexes.

21Les amateurs de légumes frais et de jardinage connaissent bien les Jardins de Cocagne qui produisent et distribuent, dans le cadre d’activités d’insertion, chaque semaine ou chaque mois des paniers de légumes. Les passionnés de constructions écologiques n’ignorent pas les maisons à ossature bois développées par l’entreprise d’insertion Synéco. Ces innovations sont issues d’une association créée en 1952 par Julienne Javel, dans le prolongement des appels de l’abbé Pierre. Le dynamisme de cette association ne l’a pas empêché de traverser des périodes particulièrement difficiles lorsque les contraintes économiques et industrielles pesaient d’un poids trop lourd sur les épaules des personnes en insertion. C’est ainsi qu’une activité de carrosserie a du être abandonnée ou que le développement des meubles de jardins n’a pas survécu à l’arrivée du mobilier en PCV. L’association qui est vécue au niveau national comme innovante et militante, et constitue un acteur reconnu en matière d’insertion, est localement une institution en crise. Laure Paveau, dans un passionnant mémoire, décortique les éléments de cette crise et montre les effets délétères d’une conjugaison entre des responsables associatifs attachés à un modèle économique ancien au noms de valeurs fortes, et des politiques économiques et sociales qui restreignent progressivement le champ des innovations.

22Réf. 1662

  1. Cafdes, le moment du mémoire
  2. Alternatives au placement
    1. « Mettre en œuvre un nouvel accueil alternatif en Mecs pour conjuguer protection de l’enfance et soutien à la parentalité », Aline Colombany-Padoly
  3. Des pères en centre maternel
    1. « Conduire l’évolution du centre maternel Les Acacias pour renforcer son inscription dans la réforme de la protection de l’enfance et s’adapter aux besoins du public accueilli », Marine Groleau-Tignon
  4. Alzheimer : le répit en plateforme
    1. « Optimiser, depuis un accueil de jour, une offre territoriale de répit aux aidants de personnes âgées désorientées », Josefa Costa Planells
  5. De la prévention des addictions au traitement du mal-être
    1. « Développer pour des jeunes scolarisés une offre élargie de prévention-santé sur le territoire », Chantal Rien
  6. IME, un modèle réduit du médico social
    1. « Inscrire un IME dans son environnement pour promouvoir l’inclusion sociale des adolescents accueillis », Françoise Arnal
  7. Personnes handicapées mentales et vieillissantes, ou aller ?
    1. « Foyer Calvino, Paris : diversifier l’offre de service pour répondre à l’évolution des besoins des personnes présentant un handicap mental et vieillissantes », Bertrand Hamann
  8. Dessine moi un établissement d’aide par le travail
    1. « Adapter le dispositif d’insertion socio-professionnelle en Esat pour améliorer l’employabilité des personnes en situation de handicap psychique », Florence Laune
  9. Culture palliative
    1. « Développer et gérer une démarche palliative en Ehpad pour le respect et la dignité des résidents en fin de vie », Maggy Barreau
  10. L’innovation, une solution ou un problème ?
    1. « Impulser une nouvelle offre d’insertion dans un contexte de crise institutionnelle : un enjeu stratégique pour la direction d’un Centre d’hébergement et de réinsertion sociale », Laure Paveau
Michel Legros [*]
  • [*]
    Directeur de recherches au Crédoc (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie) de 1988 à 1996, il est actuellement responsable du département des sciences humaines, sociales et des comportements de santé à l’EHESP (École des hautes études en santé publique) et préside le conseil scientifique de l’Anesm (Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux).
Dernière publication diffusée sur Cairn.info ou sur un portail partenaire
Mis en ligne sur Cairn.info le 07/05/2012
https://doi.org/10.3917/inso.169.0134
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