CAIRN.INFO : Matières à réflexion

Être âgé sans être vieux

« “Les plus âgés des âgés”, une culture vivante aux portes de la mort. Analyse ethno-anthropologique d’une classe d’âge en devenir », Frédéric Balard. Thèse pour l’obtention du doctorat d’ethnologie, sous la direction de Jocelyne Bonnet, Université Paul-Valéry, Montpellier-III, mars 2008, 581 p. + annexes

1Monsieur Léon était âgé de 97 ans et vivait avec sa femme de 93 ans dans un petit village de l’Hérault, Monsieur Georges avait 95 ans lors du premier entretien et Monsieur Louis a fêté ses 100 ans avec sa famille, dont son frère, dans sa maison de famille en Lozère. Au cours des quatre années passées à réaliser cette thèse d’ethnologie, Frédéric Balard a rencontré en entretien plus d’une centaine de personnes nonagénaires, dont la moitié était âgée de plus de 95 ans. Comment vit-on à proximité de la mort ? La population de nonagénaires s’accroît régulièrement et constitue ce que l’auteur appelle une classe d’âge en devenir. Ces « plus âgés » qui tendent à devenir un nouveau segment de la population ont-ils des traits distinctifs qui révéleraient leur appartenance commune à une culture propre, liée à la certitude de la proximité de la mort ? Si les personnes rencontrées affirment être âgées mais ne pas être vieilles, elles décrivent aussi les marqueurs du vieillissement, lorsque la marche devient difficile, lorsque la fatigue se fait plus présente et que les repères temporels s’affaiblissent. Des objets nouveaux apparaissent, une canne, un déambulateur ou des écouteurs, les photographies familiales occupent une place plus importante, les réseaux familiaux et de sociabilité se modifient. Au-delà de ces évolutions, la thèse montre que les plus âgés conceptualisent la vieillesse en termes d’identité et que le plus âgé devient un vieux lorsqu’il ne se reconnaît plus, et devenir un vieux, c’est d’abord se rapprocher de la mort. La seconde partie de l’étude développe cet aspect du vieillissement et montre principalement que les hommes et les femmes ne réagissent pas de la même manière dans cette ultime phase de la vie. Pour certains, souvent des hommes, la lutte contre la vieillesse permet la préservation d’une identité ; pour d’autres, plus souvent des femmes, accepter la vieillesse devient une manière de réussir sa fin de vie. Alors que les hommes cherchent à résister, les femmes auraient plutôt tendance à accepter de vieillir et à chercher les moyens de vivre malgré ce vieillissement. Le fait d’avoir été souvent plus en retrait que leur mari dans la vie professionnelle ou sociale ferait que les femmes admettraient mieux les différentes amputations identitaires que cause le vieillissement. Une thèse passionnante autant par ses résultats que par les nouvelles hypothèses avancées. Réf. 1525

Du RMI au RSA, la dérive de l’insertion

« L’injonction à l’autonomie, l’expérience vécue des politiques d’insertion », Nicolas Duvoux. Thèse pour le doctorat de sociologie, sous la direction de Serge Paugam, École des hautes études en sciences sociales, Paris, juin 2008, 495 p.

2De l’adoption à l’unanimité par les parlementaires, en 1988, du Revenu minimum d’insertion (RMI) à la mise en œuvre, vingt années plus tard, du Revenu de solidarité active (RSA), la société française est passée d’une situation dans laquelle ses membres estimaient avoir une dette envers les plus pauvres d’entre eux à une vision où ces pauvres ont davantage de devoirs que de droits et, surtout, une énorme part de responsabilité personnelle dans la genèse de leurs difficultés. Pensé comme un mécanisme de solidarité collective, le RMI supposait un double effort de la société, financier d’une part, et de développement de services, d’autre part, pour promouvoir la démarche d’insertion qui accompagnait la délivrance de la prestation financière. La collectivité n’a pas rempli cet engagement et le temps du soupçon est venu. L’injonction à l’autonomie ne pouvait être portée par les seuls allocataires du RMI. Au fil des années, la théorie initiale d’un droit sans contrepartie a volé en éclats et le transfert de cette prestation, en 2003, à la charge des collectivités locales a entériné le retour à des pratiques anciennes d’assistance. La passionnante thèse de Nicolas Duvoux analyse cette dérive de la grande ambition que fut le RMI, dérive qui renversa progressivement le sens du contrat d’insertion et fit la jonction avec les politiques européennes d’activation auquel le revenu de solidarité emprunte son qualificatif, dans une formulation ambiguë qui prône une solidarité active alors que l’on sait bien que la véritable cible de l’activité, ce sont les bénéficiaires de la prestation. Si l’on peut parler d’un échec du RMI, il est sans doute lié à notre incapacité collective à construire de véritables parcours individualisés d’insertion, à la fois parce que le secteur économique n’a pas joué le jeu de l’insertion – mais le pouvait-il alors que, précisément, ce revenu permettait d’accentuer la recomposition du marché du travail ? –, et parce que les collectivités locales n’ont pas su ou voulu gérer la politique des contrats d’insertion. Pour effectuer cette démonstration, N. Duvoux s’appuie sur une analyse approfondie des dispositifs et des mesures, mais surtout il interroge des bénéficiaires du RMI en contrat d’insertion, contrats dont il souligne les potentialités mais aussi les lacunes. Réf. 1526

Élèves décrocheurs

« Lutter contre la déscolarisation. Étude et analyse de parcours de lycéens décrocheurs en Seine-Saint-Denis », Louise Debourle et Fabienne Federini (sous la coordination de). Étude, Inspection académique de Seine-Saint-Denis, Bobigny, 2007, 111 p. + annexes, http://i.ville.gouv.fr/divbib/doc/rapport-descolarisation-complet.pdf

3Menée pendant quatre années par les professionnels de l’inspection d’académie, avec le soutien financier du Fonds social européen, cette étude mérite d’être lue attentivement pour plusieurs raisons. Elle constitue d’abord un exemple assez rare de travail d’expertise conduit par des professionnels d’une inspection de ce type en lien avec les équipes de direction de douze lycées de Seine-Saint-Denis. Trouvant ses prémices dans les travaux d’un observatoire de l’absentéisme scolaire, elle a pris appui sur des investigations quantitatives solides. Enfin, les promoteurs de ce travail ont su éviter le piège d’une analyse limitée aux seules explications subjectives fournies par les élèves pour décrire un phénomène qui est l’aboutissement d’un double processus, social et scolaire. L’étude confirme la pluralité des causes de décrochage, sans doute un peu trop souvent confondu avec son symptôme premier, l’absentéisme. La seconde partie du rapport présente des expériences menées par certains lycées du département pour inventer des réponses à ce décrochage, le plus souvent en utilisant les dispositifs dits de seconde chance. Ces expériences sont passionnantes et montrent des résultats encourageants. Réf. 1527

L’Europe et le devenir de l’aide alimentaire

« Évaluation du programme européen d’aide aux plus démunis et de l’organisation de l’aide alimentaire française », Thierry Dieuleveux, Anne-Marie Helleisen, Cécile Puydebois et François Roussel. Rapport, Inspection générale des affaires sociales (Igas), Conseil général de l’agriculture, de l’alimentation et des espaces ruraux, diffusion Documentation française, juillet 2008, 50 p. + annexes, http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/094000083/0000.pdf

4À partir des années 1983-1984, l’aide alimentaire a connu, en France, un important regain d’activité, porté par des associations comme les banques alimentaires et les médiatiques Restos du cœur. Si les aliments distribués par ces associations puis par d’autres, comme le Secours populaire, le Secours catholique et maintenant la Croix-Rouge, proviennent de collectes et de dons, une partie des produits est fournie par l’Union européenne (UE). Dans un premier temps, l’UE mobilisait pour l’aide alimentaire les surplus de lait, de céréales et de viande issus des interventions de régulation des marchés dans le cadre de la politique agricole commune. Au fil des années, ces surplus se firent moins nombreux. Pour maintenir son aide, l’Union a remplacé les fournitures directes de produits par un programme financier doté, en 2008, de 305 millions d’euros, le Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD), lequel a été complété par la France d’un programme complémentaire (PNAA). La réforme envisagée de la politique agricole commune, ainsi que les désaccords de certains pays européens quant à l’utilité de ces aides alimentaires ont conduit les services de l’UE à remettre en question globalement cette forme d’aide. Or, cette remise en cause s’opère dans une période où la pauvreté a cessé de se réduire et où le prix des produits agricoles connaît de fortes augmentations. Le rapport présenté par l’Igas et par le Conseil général de l’agriculture argumente et développe la position traditionnelle française, à savoir un maintien de la politique d’aide européenne doublé d’une amélioration des procédures d’attribution des fonds européens, de façon à fournir des aliments consommables et de bonne qualité, tant nutritionnelle que gustative, aux personnes en difficulté. Réf. 1528

Aides aux familles en difficulté

« Guide de bonnes pratiques de soutien à la parentalité », Jean-Michel Leduc (sous la présidence de). Guide, Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars), Paris, 2008, 195 p., www.fnars.org

5Le concept de bonnes pratiques tend à gagner du terrain dans le secteur social et médico-social. Dans le prolongement du Conseil national de l’évaluation sociale et médico-sociale créé par la loi du 2 janvier 2002, l’Agence nationale de l’évaluation sociale et médico-sociale (Anesms) vient de publier sa huitième recommandation de bonnes pratiques professionnelles destinée aux membres de la Fnars. Celle-ci renforce son engagement. Après avoir publié les résultats d’une conférence de consensus sur les personnes sans abri, elle propose ici un guide de bonnes pratiques de soutien à la parentalité s’adressant prioritairement aux structures d’hébergement, aux espaces-rencontres, aux centres maternels ou aux centres parentaux de son réseau. On peut cependant penser que ces recommandations vont au-delà du réseau Fnars et concernent l’ensemble des établissements qui accueillent des familles ou des personnes accompagnées d’enfants. Très pédagogique, le guide aborde les questions liées à la conduite de projet individualisé ainsi qu’au soutien à la parentalité et à l’accompagnement de situations spécifiques, comme l’accueil des familles recomposées, l’accueil d’un enfant sans ses parents en hébergement, la mise à disposition d’un appartement pour qu’un parent séparé puisse recevoir ses enfants et l’accueil de familles issues de cultures étrangères. Réf. 1529

S’alimenter au noir

« Les glaneurs alimentaires », Chris Olivier, Chantal Nicolai et Hadrien Riffaut. Étude du Centre d’étude et de recherche sur la philanthropie, 7, rue du Laos, 75015 Paris, janvier 2009, 91 p., www.cerphi.org

6Illustration de la crise : après les sans-abri, les médias ont tourné leurs objectifs vers des hommes et des femmes qui utilisent, pour compléter leur alimentation, des produits récupérés en fin de marché ou dans les containers de détritus des magasins d’alimentation. Pour désigner ces personnes, le terme de glaneurs est maintenant fréquemment utilisé. Le haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté a demandé au Centre d’étude et de recherche sur la philanthropie de réaliser une étude qualitative sur ces pratiques. L’enquête a été réalisée auprès d’une quarantaine de ces glaneurs dans les marchés et les rues commerçantes de Paris, de Dijon et d’Amiens. Le rapport publie une succession de photographies des personnes et de quelques lieux où se déroulent ces pratiques. Étude exploratoire, ce travail, au-delà de l’intérêt du coup de projecteur, souffre d’une réalisation un peu rapide, particulièrement sensible en ce qui concerne l’exploitation des matériaux, et d’un manque d’investigation sur les importants travaux réalisés dans ce domaine par les chercheurs nord-américains et encore plus par les Sud-Américains, en particulier en Argentine, à propos des cartoneros. Réf. 1530

Travailleurs pauvres ou pauvres travailleurs

« Les travailleurs pauvres comme catégorie statistique », Sophie Ponthieux. Document de travail, Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), direction des statistiques démographiques et sociales, n? F0902, mars 2009, 58 p., www.insee.fr

7Apparu dans les années 1960 aux États-Unis, développé en France à partir du milieu des années 1990, le débat sur les travailleurs pauvres s’est toujours organisé autour de deux thématiques. La première s’interroge sur l’accès et le maintien des personnes pauvres sur le marché du travail. Dans ses phases les plus répressives, cette problématique porte principalement sur la mise au travail des pauvres et sur les moyens de les y maintenir. La seconde thématique, plus récente, suppose de réfléchir sur l’organisation des marchés du travail et de montrer en quoi la rémunération de ce dernier ne permet pas de sortir des situations de pauvreté. Dans la période de crise actuelle, cette thématique a connu un regain d’intérêt de la part des observateurs du social. La difficulté réside cependant dans la définition de ce qu’est un travailleur pauvre. Les images qu’en donnent les médias, qu’il s’agisse de l’ouvrier qui dort dans sa voiture faute de ressources pour accéder à un logement ou de la caissière à temps partiel qui élève seule ses enfants, ne montrent qu’une petite partie des travailleurs pauvres. La notion est très complexe à mesurer car elle juxtapose deux systèmes de mesure : la pauvreté, qui s’apprécie à l’échelle du ménage, et le travail, qui se définit de manière individuelle. Ainsi, avec un même revenu du travail, deux personnes pourront être ou non pauvres, en fonction de la configuration familiale à laquelle elles appartiennent. Croisant les approches nord-américaines, européennes et françaises, Sophie Ponthieux propose une analyse à la fois très documentée et très pédagogique de cette notion, si intuitive et pourtant si complexe. Réf. 1531

Crise, qu’en disent les pauvres ?

« Les conséquences de la crise auprès des ménages et plus particulièrement des plus pauvres », Matthieu Angotti, Mirrdyn Denizeau et Christine Olm. Rapport d’enquête, Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc), Paris, décembre 2008, 51 p.

8Réalisée à partir d’un échantillon représentatif des ménages français métropolitains mais dans lequel se trouvent surreprésentées les familles vivant en dessous du seuil de pauvreté, l’enquête menée par le Crédoc montre que, face à la crise, certaines familles se trouvent plus que d’autres en situation de fragilité. Il s’agit de celles qui disposent de moins de 1 500 euros par mois, ayant des enfants, connaissant le chômage, ou dont les adultes ont moins de 30 ans, ou encore qui sont locataires de leur logement. Les plus fragiles sont les plus en danger en période de crise. Il n’y a rien de bien inattendu dans ce résultat. L’intérêt de l’enquête du Crédoc réside dans la confirmation de cette situation mais aussi dans le chiffrage de cette fragilité et des réponses des familles. Si 13 % sont fortement touchées par la crise dans la population générale, ce pourcentage dépasse le quart de la population en situation de pauvreté. Ce sont ces familles qui ont le plus fréquemment des découverts bancaires, des difficultés pour s’acquitter de leurs factures et qui doivent, plus souvent qu’auparavant, solliciter les amis, la famille ou les aides sociales pour assurer le quotidien. Réf. 1532

2002-2, vers une technicisation du médico-social

« Recompositions organisationnelles et évolution de la catégorie “d’usager” dans le contexte de la “société d’information” : l’exemple des usagers des services sociaux et médico-sociaux », Roland Janvier. Thèse pour l’obtention du doctorat en sciences de l’information et de la communication, sous la direction de Christian Le Moënne, Université de Rennes-II, janvier 2008, 381 p.

9La loi de 2002-2 rénovant l’action sociale et médico-sociale propose un ensemble d’outils visant à garantir le droit et la participation des usagers dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux. Ces outils sont maintenant bien identifiés et plutôt largement mis en place. Il s’agit principalement du livret d’accueil, du contrat de séjour, du règlement de fonctionnement et des multiples formes de participation des usagers au fonctionnement de la structure. Au-delà de leur fonction propre, ces outils, pour Roland Janvier, sont surtout des indicateurs d’un accroissement de la technicisation du secteur social et médico-social, technicisation qui participe d’une évolution des postures et surtout des légitimités professionnelles, d’une recomposition des catégories d’usagers et des configurations institutionnelles. Dans cette thèse, d’abord très théorique et surtout très conceptuelle, l’auteur prolonge et généralise une réflexion entreprise depuis plusieurs années sur les usagers du secteur social et médico-social. Dans la seconde partie, il confronte ses hypothèses à des règlements intérieurs et à des contrats de séjour dont il décortique les contenus avec intelligence et impertinence. Réf. 1533

  1. Être âgé sans être vieux
    1. « “Les plus âgés des âgés”, une culture vivante aux portes de la mort. Analyse ethno-anthropologique d’une classe d’âge en devenir », Frédéric Balard. Thèse pour l’obtention du doctorat d’ethnologie, sous la direction de Jocelyne Bonnet, Université Paul-Valéry, Montpellier-III, mars 2008, 581 p. + annexes
  2. Du RMI au RSA, la dérive de l’insertion
    1. « L’injonction à l’autonomie, l’expérience vécue des politiques d’insertion », Nicolas Duvoux. Thèse pour le doctorat de sociologie, sous la direction de Serge Paugam, École des hautes études en sciences sociales, Paris, juin 2008, 495 p.
  3. Élèves décrocheurs
    1. « Lutter contre la déscolarisation. Étude et analyse de parcours de lycéens décrocheurs en Seine-Saint-Denis », Louise Debourle et Fabienne Federini (sous la coordination de). Étude, Inspection académique de Seine-Saint-Denis, Bobigny, 2007, 111 p. + annexes, http://i.ville.gouv.fr/divbib/doc/rapport-descolarisation-complet.pdf
  4. L’Europe et le devenir de l’aide alimentaire
    1. « Évaluation du programme européen d’aide aux plus démunis et de l’organisation de l’aide alimentaire française », Thierry Dieuleveux, Anne-Marie Helleisen, Cécile Puydebois et François Roussel. Rapport, Inspection générale des affaires sociales (Igas), Conseil général de l’agriculture, de l’alimentation et des espaces ruraux, diffusion Documentation française, juillet 2008, 50 p. + annexes, http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/094000083/0000.pdf
  5. Aides aux familles en difficulté
    1. « Guide de bonnes pratiques de soutien à la parentalité », Jean-Michel Leduc (sous la présidence de). Guide, Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars), Paris, 2008, 195 p., www.fnars.org
  6. S’alimenter au noir
    1. « Les glaneurs alimentaires », Chris Olivier, Chantal Nicolai et Hadrien Riffaut. Étude du Centre d’étude et de recherche sur la philanthropie, 7, rue du Laos, 75015 Paris, janvier 2009, 91 p., www.cerphi.org
  7. Travailleurs pauvres ou pauvres travailleurs
    1. « Les travailleurs pauvres comme catégorie statistique », Sophie Ponthieux. Document de travail, Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), direction des statistiques démographiques et sociales, n? F0902, mars 2009, 58 p., www.insee.fr
  8. Crise, qu’en disent les pauvres ?
    1. « Les conséquences de la crise auprès des ménages et plus particulièrement des plus pauvres », Matthieu Angotti, Mirrdyn Denizeau et Christine Olm. Rapport d’enquête, Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc), Paris, décembre 2008, 51 p.
  9. 2002-2, vers une technicisation du médico-social
    1. « Recompositions organisationnelles et évolution de la catégorie “d’usager” dans le contexte de la “société d’information” : l’exemple des usagers des services sociaux et médico-sociaux », Roland Janvier. Thèse pour l’obtention du doctorat en sciences de l’information et de la communication, sous la direction de Christian Le Moënne, Université de Rennes-II, janvier 2008, 381 p.
Mis en ligne sur Cairn.info le 31/07/2009
https://doi.org/10.3917/inso.154.0121
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