CAIRN.INFO : Matières à réflexion

1Quels sont les mots utilisés pour décrire les réalités familiales contemporaines ? “Monoparentalité”, “homoparentalité”, “pluriparentalité”, autant de termes qui qualifient de nouveaux liens, autant de nouvelles responsabilités et de nouvelles sources d’utopie ou de culpabilité. L’espace des rapports familiaux reste alors régulé, même autrement, et, dans tous les cas, socialement construit.

2Aborder le thème des nouvelles parentalités incite particulièrement à s’intéresser aux mots de la famille et à ses néologismes. Le terme “parental” constitue la racine commune de la plupart des nouveaux mots de la famille. L’idée du parental a représenté, dans les années 1970, une première façon d’observer et de décrire les fonctions de père et de mère à partir d’une catégorie désincarnée et désexualisée, portant l’insistance sur la fonction plus que sur les personnes. Le terme “parentalité”, emprunté aux champs de l’ethnologie et de la psychologie, a, par la suite, été mobilisé pour décrire le parental comme une fonction sociale complexe, possiblement distribuée, partagée voire éclatée en une pluralité de lieux, d’attributs, de personnes et de niveaux de responsabilité. Dans la période la plus récente, les notions de “nouvelles parentalités” et de “statut (juridique) du tiers” apparaissent comme des tentatives de valorisation mais aussi de mise en ordre de la diversification des liens entre enfants et adultes (beaux-parents, assistantes familiales, co-parents), liens qu’il s’agit désormais de stabiliser et de traduire sous forme de responsabilités concrètes et durables à l’égard de l’enfant. Il s’agit de faire place à de nouveaux liens et à de nouvelles personnes dans l’éducation de l’enfant car sans mots, pas de connaissance ni de reconnaissance : seuls les mots possèdent la force de faire reconnaître, de faire advenir, de rendre visible un ordre du réel méconnu. Il s’agit aussi de l’établissement de nouveaux devoirs et de nouvelles obligations morales (maintien des liens, mandat éducatif, etc.), les mots contribuant à conférer épaisseur et force contraignante au réel.

La nomination : un acte stratégique

3La “monoparentalité” et l’”homoparentalité” sont deux exemples de la nature stratégique de l’acte de nomination des réalités. L’idée de monoparentalité – et la proposition de l’expression “famille monoparentale” – a été introduite par les sociologues féministes des années 1970. Le terme permettait de rendre compte des foyers composés d’un seul parent (parent isolé) et de son(es) enfant(s). L’intention était aussi militante : il s’agissait de repousser des termes stigmatisants – comme celui de “fille-mère” ou de “mère célibataire” – déniant au foyer monoparental son statut de famille “à part entière” (Lefaucheur, 1985 ; Martin-Papineau, 2001). L’idée d’homoparentalité a fait son chemin depuis la fin des années 1990, la notion ayant été inventée en 1996 par l’association des Parents gays et lesbiens pour rassembler, sous un vocable commun, les situations multiples mettant en jeu un ou des parent(s) homosexuel(s), et pour donner une réalité à la compétence parentale des pères et des mères homosexuels, à un moment où les conflits se multipliaient autour de la garde d’enfants dont l’un des parents s’était révélé homosexuel. Plus tard, elle a permis d’attirer l’attention sur l’ensemble des homosexuels en couple élevant déjà des enfants, souhaitant en adopter ou demandant à bénéficier de la PMA (Procréation médicalement assistée) ou d’une “gestation pour autrui”, cette dernière expression valorisant et technicisant un acte précédemment dévalorisé par la notion de “mère porteuse” (Boisson, Verjus, 2005).

4Les notions de monoparentalité et d’homoparentalité demeurent, comme d’autres, problématiques, en tant qu’elles recouvrent un ensemble hétérogène de situations : la place, le rôle et le soutien de l’autre parent, le plus souvent le père, sont très variables d’un foyer monoparental à l’autre ; les configurations homoparentales sont diverses et regroupent plusieurs situations différentes où procréation, parentalité et relation de couple ne se superposent pas nécessairement. On peut considérer comme un coup de force symbolique le fait de regrouper sous le même signe un enfant issu d’une union hétérosexuelle antérieure, une adoption par un célibataire, un recours à l’insémination artificielle ou à une mère de substitution à l’étranger, l’aboutissement d’un projet de coparentalité… In fine, le terme acte la sexualité d’un parent sans informer sur les conditions d’engendrement ni de prise en charge quotidienne d’un enfant. François de Singly, questionné sur la pertinence du néologisme “homoparentalité” à la fin des années 1990, avait répondu que « tant que les familles homoparentales ne sont ni désignées, ni dénommées, elles ne peuvent prétendre à aucune existence » [1]. Une notion ou un concept n’est donc pas utilisé et mobilisé au seul titre de sa valeur descriptive ou heuristique, mais pour sa valeur sociale et stratégique : le mot nomme et regroupe (catégorie), construit le phénomène (visibilité), permet de se compter pour compter (statistique) et sollicite la prise en compte par les pouvoirs publics (problème). L’enjeu est de nommer les réalités pour les faire advenir au sens commun.

Parentalité et pluriparentalité

5Le terme “parentalité”, tel qu’il est aujourd’hui utilisé pour décrire les situations familiales “atypiques”, doit beaucoup à l’observation des sociétés éloignées. À partir de l’étude des systèmes non occidentaux de parenté, les ethnologues ont été amenés à distinguer fortement la filiation biologique de l’ensemble des liens, fonctions et rôles parentaux socialement reconnus. Un de leurs apports a été de souligner comment les attributs de la fonction parentale (parenthood, traduit en français par “parentalité”) pouvaient être divisés en plusieurs tâches spécifiques (engendrer, éduquer, transmettre un héritage, etc.) susceptibles d’être dispersées entre plusieurs lieux et individus. Depuis la seconde moitié des années 1990, le recours au terme parentalité s’est généralisé dans la production sociologique et ethnologique française, à un moment où un nombre croissant de formes familiales n’a plus correspondu à la famille nucléaire qui faisait coïncider les géniteurs, le couple conjugal et la parentalité, i.e. les liens biologiques et les liens sociaux. Dans un contexte intellectuel où la famille traditionnelle est questionnée, le concept de parentalité permet de différencier le parental du conjugal et de distinguer, dans l’“être parent”, des dimensions multiples (biologique, sociale ou domestique, symbolique ou généalogique). L’usage par les sciences sociales du concept de parentalité a fait perdre à la figure du parent son apparente unité et cet implicite est valorisé : l’évolution des formes familiales a été et reste appréhendée par un certain nombre de spécialistes ou de militants comme une relativisation du modèle occidental de la filiation, si ce n’est une libération de son carcan culturel [2].

6Le terme parentalité se décline logiquement en dérivés qui visent à qualifier un ensemble de situations spécifiques où la prise en charge de l’enfant n’est pas assurée quotidiennement par ses deux géniteurs (monoparentalité, homoparentalité, coparentalité, beau-parentalité, etc.). L’idée que « non nécessaire et fragile, le mariage ne peut plus être le pivot de nos constructions de la famille et de la filiation », et que « des relations parentales avec des enfants dont les parents ne sont pas les géniteurs sont à l’œuvre dans un nombre croissant de familles » est devenu de sens commun. Ces perspectives amènent à conclure que « c’est beaucoup plus à partir de l’enfant, seule réalité pérenne, que la famille se définit aujourd’hui » (Le Gall, Betaher, 2001, p. 6). La “pluriparentalité” apporte un éclairage supplémentaire des configurations où l’enfant est en relation avec une pluralité d’adultes investis de toute ou partie de la fonction parentale (familles d’accueil, adoptives, recomposées, ayant eu recours à la procréation médicalement assistée, homoparentales, etc.). Partant de l’enfant, elle fait place à la fois aux géniteurs (“né(e) de”), à la filiation légale (“fils/fille de”) et aux “parents sociaux” (“élevé(e) par”), considérés comme des parentés et des parentalités additionnelles. La problématique de la pluriparentalité vise à sortir d’une logique de substitution d’un parent par un autre au profit d’une logique de pérennité où les différentes personnes qui participent à la parenté et à la parentalité peuvent coexister. La logique additive est mobilisée soit pour reconnaître une pluriparentalité de fait (généralement liée au partage de la composante domestique) et donner un statut à chacun des protagonistes, soit pour défendre une parenté de fait (liée à la composante biologique) et/ou maintenir le statut des parents éloignés. La pluriparentalité pousse à son terme la part d’utopie dont est porteur ce nouveau modèle de famille “à partir de l’enfant”. La perspective d’une libre circulation des enfants et la promotion d’une logique additive des composantes de la parenté et de la parentalité participent d’un modèle émancipateur. L’enfant de la pluriparentalité est une personne et l’idéal promu est le respect de son authenticité et de sa singularité (de son origine, des liens tissés au fil de son parcours, etc.). Il n’est plus un enfant de famille, attaché à des parents et à une lignée par une logique d’appropriation et de filiation unique, exposé à la perte de certains de ses liens et/ou à des conflits de loyauté (parent biologique ou donneur de gamètes occulté par l’adoption plénière et la PMA, instabilité ou concurrence des liens avec l’assistante familiale ou le beau- ou co-parent, etc.).

Nouvelles parentalités, statut du tiers et compétence parentale

7L’intérêt actuel des pouvoirs publics pour les “nouvelles parentalités” et le statut juridique du tiers semble relativement s’écarter de l’esprit utopique de la pluriparentalité. Le terme “nouvelles parentalités” est aujourd’hui mobilisé pour rendre compte de la diversification des “responsables” de l’enfant au quotidien, au gré des choix ou des aléas de vie des adultes (beaux-parents, co-parents et assistantes familiales sont les tiers par-là désignés). La question de l’origine – i.e. l’enjeu généalogique dont les psychanalystes et les militants pour l’accès aux origines personnelles avaient souligné l’importance (Delaisi de Parseval, Verdier, 1994) – se trouve ainsi écartée des débats. La priorité affichée est d’ « organiser et [de] préserver les liens de l’enfant avec les tiers qui partagent ou ont partagé sa vie » (Versini, 2006, p. 5) [3], les tiers étant les personnes concrètes valorisées par les pouvoirs publics comme autant de soutiens durables et de sources potentielles de solidarités privées. La dimension plus subjective, symbolique ou éthique de la parenté, telle que mise en jeu par les procréations médicalement assistées, par l’adoption et par le recours à la gestation pour autrui, est occultée au profit de la dimension quotidienne, pratique voire pragmatique de la parentalité.

8Regrouper différentes positions à l’égard de l’enfant sous le vocable “nouvelles parentalités” souligne toujours un écart vis-à-vis de la famille traditionnelle nucléaire mais valorise la compétence parentale de tiers auxquels il est aujourd’hui question d’attribuer de nouveaux droits et de nouvelles responsabilités. Le statut du tiers aujourd’hui envisagé par les pouvoirs publics vise à « trouver des réponses aux difficultés rencontrées à l’occasion de la vie quotidienne des enfants ». Il permettrait aux parents – sans devoir passer par une décision de justice – de donner à ce tiers le pouvoir de réaliser certains actes relatifs à la personne de l’enfant. Par ailleurs, ce dispositif faciliterait la prise en charge de l’enfant par un tiers auquel il serait confié de façon plus durable (par exemple, l’aide sociale à l’enfance). De même, en cas de décès des parents, il élargirait les possibilités de prise en charge de l’enfant, par exemple par le beau-parent qui l’a élevé. Enfin, il faciliterait le droit de l’enfant à entretenir des relations personnelles avec un tiers dont il est séparé et qui a partagé sa vie quotidienne.

9Distinctement de la parenté, les “nouvelles parentalités” visent à faire coexister une catégorie d’adultes au titre d’« une fonction parentale plus ou moins permanente fondée, non pas sur un statut ou une place juridique, mais sur une “compétence” » (Versini, 2006, p. 11). Les tiers qui comptent sont “utiles socialement”, dans un contexte où l’État paraît désormais arbitrer en faveur d’une certaine diversité des acteurs et des possibilités de soutien plutôt que de risquer la carence éducative, la défaillance parentale et le déficit de solidarité familiale. Les notions d’engagement, de responsabilité, de stabilité et de compétence sont autant de critères de jugement de l’exercice de la fonction parentale. Elles dessinent simultanément les nouveaux critères d’incrimination du mauvais parent ou du mauvais tiers : désengagement et instabilité, irresponsabilité, insuffisance et incompétence.

10Le succès du terme carence, dans le champ de la protection de l’enfance et, plus largement, des recherches familiales, semble conforme à ce nouveau paradigme. Il est intéressant de relever que la notion de carence éducative est devenue, depuis les années 1990, le premier motif de retrait d’enfants et d’adolescents de leur famille : elle est citée comme une des justifications de la moitié des placements en famille d’accueil ou en foyer, quand la notion de maltraitance n’est évoquée que dans 20 % des cas. La banalisation du jugement de carence s’opère dans un contexte où les publics de l’aide sociale à l’enfance évoluent vers une nette surreprésentation des mères pauvres et “isolées” (environ la moitié des foyers concernés), ce qui questionne sur les attendus des professionnels à l’égard des familles. Les parents décrits par les travailleurs sociaux apparaissent en premier lieu comme “désaffiliés” et sans “capital social” : « La pauvreté isole les familles des réseaux primaires de solidarité. D’abord de leurs propres familles, parfois jugées dangereuses, avec lesquelles les histoires sont difficiles. Ensuite des relations de voisinage qui sont perçues comme menaçantes. Des services sociaux enfin, qui ont une image de placeurs d’enfants » (Naves, Cathala, 2000, p. 28). Logiquement, “rompre l’isolement” et permettre la mise en place de formes de co-éducation avec d’autres adultes, d’autres parents ou professionnels est ainsi devenu le leitmotiv de la plupart des dispositifs de soutien à la parentalité.

11***

12Aussi justifié que soit cet objectif – le lien entre fragilisation psychologique du parent et isolement social est attesté par de nombreuses études –, il n’en demeure pas moins que la notion d’isolement tend à retrouver un fort potentiel de stigmatisation en tant que facteur de risque. La fille-mère, stigmatisée hier du fait de son écart par rapport à la norme familiale traditionnelle (la famille conjugale), se retrouve, en tant que “parent isolé”, de nouveau à distance de la norme familiale, nouvellement conçue comme une “co-éducation” avec la mise à disposition de l’enfant de soutiens multiples (maintien des liens avec l’autre parent et avec la famille élargie, établissement avec un nouveau conjoint, négociation d’une co-éducation avec des professionnels, etc.). Les termes relatifs à la famille qualifient de nouveaux liens, qui sont autant de nouvelles responsabilités et de nouvelles sources d’utopie ou de culpabilité. Dans la période contemporaine, l’espace des rapports familiaux n’est ainsi pas tant dérégulé qu’autrement régulé et socialement construit. La valorisation des “nouvelles parentalités” semble traduire un impératif social d’abondance relative des ressources relationnelles, la pauvreté relationnelle apparaissant désormais comme un des principaux écarts par rapport à la norme éducative dominante.

Notes

  • [1]
    Colloque APGL, « Parentés et différence des sexes », Paris, Auditorium du Forum des images, 1er et 2 octobre 1999.
  • [2]
    Voir en ce sens le commentaire de l’anthropologue Agnès Fine : « Pour nous [Occidentaux], la filiation par laquelle est définie l’appartenance à un groupe de parents et les droits qui vont de pair (succession, héritage) paraissent biologiquement fondés […]. Or l’anthropologie nous apprend que cette représentation de la filiation qui coïncide avec les lois de la génétique est en réalité un choix culturel […]. Les liens de consanguinité ne sont pas seulement biologiques, comme tendrait à l’indiquer l’étymologie du terme, mais des liens socialement reconnus », in Pluriparentalités et système de filiation dans les sociétés occidentales (Le Gall, Bettahar, 2001, p. 70-71).
  • [3]
    Voir le Rapport annuel 2006 de la Défenseure des enfants. Ce rapport estime que seraient potentiellement concernés par un statut du tiers : 1,6 million d’enfants vivant en famille recomposée, 30 000 enfants vivant auprès d’un couple homosexuel et 65 000 enfants en famille d’accueil.
Français

Résumé

Les mots de la famille sont un indicateur privilégié des nouvelles normes et régulations privées. Le succès du vocabulaire se rapportant aux “nouvelles parentalités” témoigne de rapports familiaux moins dérégulés qu’autrement construits socialement : dans la période récente, c’est moins d’un maintien de l’institution familiale traditionnelle (famille conjugale) que de relations stables entre enfants et adultes assumant une fonction parentale (beaux-parents, co-parents, grands-parents, assistants familiaux) qu’est attendu un plus grand bien-être des jeunes générations. Cet impératif de co-éducation et de maintien des liens crée de nouvelles responsabilités pour les parents et pour les tiers, mais aussi de nouvelles culpabilités. L’enjeu généalogique tend ainsi à être évacué des débats, et l’isolement relationnel à être considéré comme un risque majeur de carence ou de défaillance parentale.

Bibliographie

  • En ligneBoisson M. et Verjus A., 2004, La parentalité, une action de citoyenneté. Une synthèse des travaux récents sur le lien familial et la fonction parentale (1993-2004), CNAF, Dossier d’étude n° 62 ; 2005, « Quand connaître, c’est reconnaître ? Le rôle de l’expertise familiale dans la production d’un sens commun du parent (homosexuel) », Droit et société, n° 60, p. 449-467.
  • Delaisi de Parseval G. et Verdier P., 1994, Enfant de personne, Paris, Odile Jacob.
  • Lefaucheur N., 1985, « Familles monoparentales : les mots pour le dire », in Bailleau F., Lefaucheur N., Peyre V. (dir.), Lectures sociologiques du travail social, Paris, Éditions Ouvrières.
  • Le Gall D. et Bettahar Y. (dir.), 2001, La pluriparentalité, Paris, PUF.
  • Martin-Papineau N., 2001, Les familles monoparentales. Émergence, construction, captations d’un problème dans le champ politique français (1968-1988), Paris, L’Harmattan.
  • Naves P., Cathala B. et Deparis J.-M., 2000, Accueils provisoires et placements d’enfants et d’adolescents : des décisions qui mettent à l’épreuve le système français de protection de l’enfance et de la famille : rapport, ministère de la Justice, Protection judiciaire de la jeunesse.
  • Versini D., 2006, « L’enfant au cœur des nouvelles parentalités. Pour un statut des tiers qui partagent ou ont partagé la vie d’un enfant et ont des liens affectifs forts avec lui », Rapport annuel du Défenseur des enfants.
Marine Boisson
Chargée de mission au département « Questions sociales » du Centre d’analyse stratégique, elle prépare parallèlement une thèse à Sciences-Po Paris, consacrée aux politiques de soutien à la parentalité. Elle est l’auteur, avec la politologue Anne Verjus, d’un rapport pour la CNAF : La parentalité, une action de citoyenneté. Une synthèse des travaux récents sur le lien familial et la fonction parentale (1993-2004).
Mis en ligne sur Cairn.info le 01/11/2008
https://doi.org/10.3917/inso.149.0008
Pour citer cet article
Distribution électronique Cairn.info pour Caisse nationale d'allocations familiales © Caisse nationale d'allocations familiales. Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de l’éditeur, de reproduire (notamment par photocopie) partiellement ou totalement le présent article, de le stocker dans une banque de données ou de le communiquer au public sous quelque forme et de quelque manière que ce soit.
keyboard_arrow_up
Chargement
Chargement en cours.
Veuillez patienter...