CAIRN.INFO : Matières à réflexion

Sexualité et handicap, démarches préliminaires

Muriel PEQUERY, Créer les conditions d’une reconnaissance de la dimension affective en foyer d’hébergement d’un ESAT, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IDS Canteleu-Rouen, route de Duclair BP 118, 76300 CANTELEU, novembre 2007, 91 p. + annexes. www.ids.fr

1Bien des explications peuvent être mises en avant pour rendre compte de la faible importance accordée aux questions relatives à l’affectivité et à la sexualité des personnes dans les établissements sociaux et médico-sociaux. La volonté des personnels de ne pas franchir les frontières de l’intime, la crainte de voir des couples se former et poser de redoutables et nouveaux problèmes organisationnels et matériels aux gestionnaires de l’établissement, l’absence de formation des professionnels sur les comportements à adopter constituent les raisons les plus souvent avancées. Plus lointainement, notre vieux fond judéo-chrétien, en dépit des secousses soixante-huitardes, affleure sporadiquement pour nous dire la saleté des choses du sexe, surtout lorsque ces choses sont le fait de corps abîmés, vieillis ou tordus, échappant à l’idéal de jeunesse et de beauté qui formate, au fil des images, la représentation de nos désirs. Les familles s’en mêlent pour protéger et sur-protéger leurs vieux parents dans les maisons de retraite ou leurs enfants handicapés des risques supposés du libidinage. Il faut regarder vers la Suisse, les Pays Bas, l’Allemagne ou le Danemark pour découvrir que des réponses existent aux demandes affectives et sexuelles. Il faut, comme le fait Muriel Pequery, s’arrêter à Solund, ce village danois dont la population comprend un grand nombre de personnes en situation de handicap et qui peuvent aller jusqu’à faire appel à des assistants sexuels pour les accompagner dans leur cheminement. Nous n’en sommes pas là dans le foyer d’hébergement décrit par l’auteur de ce mémoire qui montre qu’une directrice d’établissement peut regarder en face ce type de problème, accompagner son équipe dans un changement de représentations, et démontrer que les lois de 2002 et de 2005 peuvent aider à faire bouger les pratiques professionnelles, y compris dans ce domaine. 1462

Glisser hors du coma

Véronique FLOCH, De la sortie du coma à la réinscription sociale : promouvoir l’accueil de jour pour les personnes cérébro-lésées, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, Institut du travail social de la ville de Tours, 17, rue Groison, BP 77554, 37075 TOURS cedex 2, novembre 2007, 82 p. + annexes. www.its-tours.org

2À la suite d’un traumatisme crânien, souvent lors d’un accident de circulation, d’une tumeur, d’une encéphalite infectieuse ou d’un accident vasculaire cérébral, pour ne citer que les causes les plus fréquentes, un homme ou une femme se retrouve avec un cerveau lésé, blessé, diminué. Cette lésion entraîne, assez fréquemment, une perte de conscience et de vigilance, c’est le coma. Quatre évolutions sont alors possibles : le retour à une vie normale avec quelques séquelles, un handicap portant surtout sur l’acquisition de déficiences intellectuelles et de mémorisation, une dépendance lourde nécessitant une présence permanente et, enfin, un état végétatif chronique. Nous ne connaissons pas exactement le nombre de personnes dans ces situations mais chaque année, en France, on dénombre 155 000 hospitalisations pour traumatismes crâniens cérébraux. À l’exception des états végétatifs chroniques, toutes les personnes ayant eu ce type d’atteintes passent par des services ou des institutions de rééducation. C’est le temps des efforts, de la lutte contre des corps qui résistent. Le chemin est souvent long pour retrouver les mots manquants, rassembler les idées éparses, coordonner les mouvements. Enfin, après des mois, parfois des années, le retour à domicile est possible. Commencent peut-être alors les difficultés les plus grandes, pour se dire que le quotidien ne sera plus tout à fait comme avant, pour renouer avec les proches, les enfants qui retrouvent un père ou une mère, si semblable et si différent. Le handicap est devenu invisible et pourtant il reste là. La désocialisation et le repli sur soi guettent. Véronique Floch montre comment une structure de jour peut permettre aux personnes dans cette situation de se retrouver, de ne pas perdre contact avec les autres et avec soi-même, une manière d’éviter des états végétatifs sociaux. 1463

Trajectoires d’associations

Marie RAIMONDEAU, Créer un service d’urgence sociale pour mettre en synergie les compétences collectives, Mémoire pour l‘obtention du CAFDES, IRTS Paris, 145, avenue Parmentier, 75010 PARIS, novembre 2007, 86 p. + annexes. www.irtsparisidf.asso.fr

3En 1977, des professionnels et militants du secteur médico-social du Val-de-Marne créent une association pour accueillir des adultes isolés et sans domicile. En 1994, cette même association ouvre un centre d’hébergement et de réinsertion sociale. Le nouveau-né de 1996 est un accueil de jour, suivi par un service « logements relais ». Deux années plus tard, l’innovation consiste dans la mise en place d’un CHRS d’urgence, puis l’association loue des pavillons et intervient dans le suivi des mesures d’accompagnement. Au bout d’une trentaine d’années de développement intensif mais sans doute peu régulé, le résultat de cette croissance ressemble plus à un conglomérat d’activités regroupées autour de quelques pôles qu’à une association portant un projet unifié. Il y a plusieurs manières de s’intéresser à ce mémoire. La première est de le lire comme une étude sur l’émergence des différents modes de prise en charge des personnes sans domicile dans la région parisienne. La seconde, classique pour un mémoire de CAFDES, est de regarder comment un directeur peut tenter en mobilisant les outils classiques du management de redonner de la cohérence à des services d’une même institution. La troisième lecture, peu accentuée dans le mémoire, consisterait surtout à s’intéresser à la trajectoire du fondateur de l’institution, personnage charismatique, sans doute plus attaché au développement qu’à gestion, qui arrivé à l’âge de la retraite se dit qu’il pourrait continuer son œuvre en devenant le président de l’association dont il était le directeur. Il semble bien qu’ils soient nombreux ces directeurs qui se découvrent sur le tard une vocation de président au moment de passer la main, une manière de différer la fin. 1464

Plate-forme pour aveugles et mal-voyants

Yves DOLANGE, Faire évoluer l’offre d’un centre éducatif pour répondre aux besoins de compensation des personnes déficientes visuelles, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Franche-Comté, IRTESS Bourgogne, 2, rue du Professeur-Marion, 21000 DIJON, novembre 2007, 81 p. + annexes. www.irtess.fr, www.irts-fc.fr

4L’enquête « Handicaps-Incapacités-Dépendances » menée par l’INSEE en 1998 montrait que le taux de cécité chez les enfants est de l’ordre de 1,5 pour 1000 chez les moins de 20 ans. Ce taux est moins élevé que celui des déficiences intellectuelles, sensiblement moins que la déficience motrice et un tiers de moins encore que la déficience auditive. Ces pourcentages expliquent que le nombre d’établissements pour enfants souffrant de ce handicap soit très faible, de l’ordre de 25 en France. Cette situation est encore loin d’être compensée par l’existence de dispositifs d’intégration dans l’Éducation nationale. Pour les adultes, de nombreux services et aides sont proposés, de la rééducation visuelle aux aides financières en passant par des aides techniques en constant progrès technique et par des aides animalières fortement développées ces dernières années. On sait toutefois que les taux de cécité et plus généralement de déficience visuelle augmentent avec l’âge pour atteindre près de 4 personnes sur 10 au-delà de 90 ans. L’heure n’est plus au développement des établissements dans ce secteur. Aussi le mémoire réalisé par Yves Dolange est-il surtout consacré à l’examen des conditions de développement et de mise en œuvre de services d’accompagnement familial et de développement précoce – SAFEP – pour les enfants, et, pour les adultes, d’une plate-forme d’évaluation des capacités visuelles visant à leur permettre d’évaluer leur situation et d’élaborer avec des professionnels un plan personnalisé de compensation en relation avec les projets de vie. 1465

Centre éducatif fermé, pour filles

Nicolas DUFORT, Conduire un projet d’ouverture d’un centre éducatif fermé féminin, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, ARIF, 8, villa du Parc-Montsouris, 75014 Paris, novembre 2007, 87 p. + annexes. www.etsup.com

5Comment aider des adolescentes délinquantes, multirécidivistes ou multiréitérantes, rétives à toute forme d’intervention éducative, dans un contexte de non-mixité sexuelle et très contenant ? La réponse apportée par les centres éducatifs fermés pose autant de questions qu’elle résout de problèmes et l’on sait les réactions fortes que suscitèrent ces projets tant de la part des éducateurs spécialisés que des futurs voisins de ces centres. Nicolas Dufort, directeur depuis 2003 d’un centre éducatif fermé pour garçons de 13 à 16 ans, chargé d’élaborer le projet d’un centre semblable pour des jeunes filles, réinterroge la conception de ces centres à partir non pas d’une position idéologique mais en conduisant une réflexion sur la situation des jeunes, garçons ou filles, qui se retrouvent dans ces lieux. Développant un projet d’établissement qui est d’abord un projet éducatif, Nicolas Dufort rappelle fort justement que les mineurs n’ont pas fait le choix de devenir délinquants mais qu’ils peuvent faire le choix de devenir des acteurs de leur devenir, ni coupables ni victimes. Le mémoire explicite longuement les phases de la démarche pédagogique, du contexte de crise initiale à la sortie et, surtout, donne de précieuses indications sur le management du centre et les compétences requises de la part du personnel. Même s’il laisse parfois de côté les questions éthiques, ce mémoire constitue un outil de bonne qualité pour qui s’intéresse au fonctionnement réel des formes fermées de prise en charge. Les titres des mémoires CAFDES ne sont pratiquement jamais écrits au second degré. Celui-là n’échappe pas à la règle implicite, il ne s’agit pas d’ouvrir ce qui était fermé, mais bien d’implanter une structure fermée. 1466

Glissements progressifs vers l’inadaptation

Laurent BROUSSAUD, Elaborer et promouvoir un nouveau projet pour optimiser l’accompagnement d’adolescents en situation de polyhandicap, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Aquitaine, 9, avenue François-Rabelais, BP 39, 33401 Talence cedex, novembre 2007, 79 p. + annexes. www.irtsaquitaine.fr

6En 1974, des parents d’enfants handicapés moteurs créent un établissement dans la région bordelaise pour accueillir des adolescents et de jeunes adultes, tous porteurs de déficiences neuro-motrices avec troubles associés. Trente-trois années plus tard, l’établissement existe toujours mais s’y retrouvent majoritairement de jeunes polyhandicapés. Les réponses institutionnelles et surtout le projet d’établissement n’ont pas suivi ce mouvement. Même si les professionnels sont impliqués et font leur travail avec le souci de « bien faire », le changement de population et l’aggravation des pathologies des usagers pèsent sur la qualité des soins et de l’accompagnement. La priorité n’est plus autant donnée à l’éducatif et les temps consacrés au nursing s’allongent. La loi de 2002-2 est passée un peu inaperçue dans cet établissement qui ne connaît pas de conseil de la vie sociale, de livret d’accueil, de règlement de fonctionnement. Quant au projet d’établissement, catalogue ancien de valeurs et de bonnes intentions, il ne constitue pas une référence pour la vie au quotidien. Alors la tentation est grande pour chaque équipe ou chaque groupe de professionnels de se focaliser sur son cœur de métier et d’oublier l’approche globale de la personne. Ce rapport est passionnant car il analyse la façon dont s’installent au fil du temps des micro-dysfonctionnements au sein d’une institution sans que cela génère crises et tremblements, seulement l’installation d’un mal-être pour les personnels et les personnes accueillies. Une part importante du document est consacrée à la façon dont on peut se sortir de cet état, n’oublions pas que nous lisons un mémoire pour l’obtention du CAFDES. 1467

Sanitaire, social, rapprochements

Patricia DOUANE, Fonder le projet d’un SPASAD pour promouvoir la qualité de vie des personnes âgées par une dynamique de coopération, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Aquitaine, 9, avenue François-Rabelais, BP 39, 33401 Talence cedex, novembre 2007, 79 p. + annexes. www.irtsaquitaine.fr

7La loi du 30 juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales éloignait le social et le médico-social de la santé construisant ainsi deux grands domaines disjoints. Pour l’un, il s’agissait de diagnostiquer, de soigner et, si possible, de guérir. La mission de l’autre était d’héberger et de prendre soin dans la durée de personnes reconnues, au sens le plus large du terme, comme handicapées. Trente années plus tard, ce cycle s’achève et, de nouveau, on assiste à un rapprochement entre le sanitaire et le social. Qu’il s’agisse de la politique des groupements, des statuts des personnels de direction, ou simplement de la lecture attentive de la loi de 2002-2, les indices de cette redéfinition des frontières abondent de toutes parts. La lecture du mémoire de Patricia Douane vient ajouter une petite pierre supplémentaire à l’édifice. Au départ, à la fin des années soixante, quelques maires ruraux et une religieuse créent un club d’aide et d’animation pour les personnes âgées. Il s’agit alors de mettre en musique les idées du rapport Laroque sur le maintien à domicile des personnes âgées. Quelque temps après, le club de loisirs se double d’un service d’aide ménagère, puis l’association abandonne le domaine des loisirs pour se concentrer sur l’intervention sanitaire et sociale en créant également un service de soins à domicile. La dernière évolution de l’association est de mettre fin à la dichotomie entre social et sanitaire en créant un véritable service unifié intervenant simultanément dans les deux domaines. Psycho-gérontologue, ergothérapeute viennent compléter une équipe capable d’offrir une réponse globale et personnalisée aux demandes des personnes âgées dépendantes. 1468

Handicap, vers une retraite progressive

Patrice MOREL, Permettre à chaque ouvrier d’ESAT de poursuivre son projet de vie au-delà de sa cessation d’activité professionnelle, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Bretagne, 2, avenue du Bois-Labbé, CS 44238, 35042 Rennes cedex, novembre 2007, 104 p. + annexes. www.irts-bretagne.fr

8Les centres d’aide par le travail (CAT) maintenant devenus des établissements et services d’aide par le travail (ESAT) se sont développés à partir des lois de 1975 sur le handicap et les institutions sociales. Ils ont accueilli des jeunes adultes handicapés dont beaucoup avaient intégré dans leur jeunesse des instituts médico-éducatifs (IME). Le temps s’est écoulé et ces adultes ont maintenant près de soixante ans, l’âge de la retraite. Que deviennent-ils alors ? Certains, souvent les plus handicapés peuvent trouver une place dans les établissements pour l’hébergement des personnes âgées dépendantes (EHPAD). Cette solution qui convient aux personnes les plus handicapées reste à parfaire par un rapprochement des législations sur le handicap et la dépendance, ce devrait être chose faite dans le courant de l’année 2008. Pour les autres, dont le handicap n’interdit pas un logement autonome, l’EHPAD ne peut convenir. Le risque existe alors d’une rupture au moment de la retraite. L’intérêt de l’approche conduite par Patrice Morel, directeur d’un ESAT à Landivisiau est de construire une réponse qui fluidifie le passage entre une fin de travail progressive et un accompagnement à domicile des personnes en retraite. On se dit parfois, à la lecture de certaines expérimentations de services pour les personnes handicapées, que s’inventent dans ce champ des solutions dont devraient pouvoir bénéficier les personnes valides. 1469

Eco-logis

Patrick CLEENEWERCK, Conduire un projet social de développement en orientant les activités d’insertion vers des métiers en tension, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, ARIF, 8, villa du Parc-Montsouris, 75014 Paris, novembre 2007, 79 p.+ annexes. www.etsup.com

9Faut-il plus de social ou plus d’économique ? Peut-on faire du social dans une période de croissance faible et incertaine ? Depuis bien des années la question de l’articulation entre le social et l’économique est au cœur de la plupart de nos débats de politiques sociales. Il va peut-être falloir introduire une logique supplémentaire, celle de l’environnement ou de l’écologie dont les besoins de financements constitueront des ponctions sur les budgets sociaux. Une maison aux normes écologiques coûtera plus cher et risque d’être moins accessible aux populations à bas revenus. La question écologique ne traverse que faiblement les problématiques sociales. Comme si, dans nos ordres de priorités, nous faisions le choix de traiter d’abord l’un, l’autre, l’écologique, étant renvoyé à des années meilleures. Le mémoire de Patrick Cleenewerck opte pour un choix différent en proposant de reconvertir purement et simplement des activités traditionnelles d’insertion vers le secteur de la construction fondé sur du développement durable. Un pari que l’auteur de ce mémoire argumente solidement et semble conduire avec détermination. 1470

  1. Sexualité et handicap, démarches préliminaires
    1. Muriel PEQUERY, Créer les conditions d’une reconnaissance de la dimension affective en foyer d’hébergement d’un ESAT, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IDS Canteleu-Rouen, route de Duclair BP 118, 76300 CANTELEU, novembre 2007, 91 p. + annexes. www.ids.fr
  2. Glisser hors du coma
    1. Véronique FLOCH, De la sortie du coma à la réinscription sociale : promouvoir l’accueil de jour pour les personnes cérébro-lésées, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, Institut du travail social de la ville de Tours, 17, rue Groison, BP 77554, 37075 TOURS cedex 2, novembre 2007, 82 p. + annexes. www.its-tours.org
  3. Trajectoires d’associations
    1. Marie RAIMONDEAU, Créer un service d’urgence sociale pour mettre en synergie les compétences collectives, Mémoire pour l‘obtention du CAFDES, IRTS Paris, 145, avenue Parmentier, 75010 PARIS, novembre 2007, 86 p. + annexes. www.irtsparisidf.asso.fr
  4. Plate-forme pour aveugles et mal-voyants
    1. Yves DOLANGE, Faire évoluer l’offre d’un centre éducatif pour répondre aux besoins de compensation des personnes déficientes visuelles, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Franche-Comté, IRTESS Bourgogne, 2, rue du Professeur-Marion, 21000 DIJON, novembre 2007, 81 p. + annexes. www.irtess.fr, www.irts-fc.fr
  5. Centre éducatif fermé, pour filles
    1. Nicolas DUFORT, Conduire un projet d’ouverture d’un centre éducatif fermé féminin, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, ARIF, 8, villa du Parc-Montsouris, 75014 Paris, novembre 2007, 87 p. + annexes. www.etsup.com
  6. Glissements progressifs vers l’inadaptation
    1. Laurent BROUSSAUD, Elaborer et promouvoir un nouveau projet pour optimiser l’accompagnement d’adolescents en situation de polyhandicap, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Aquitaine, 9, avenue François-Rabelais, BP 39, 33401 Talence cedex, novembre 2007, 79 p. + annexes. www.irtsaquitaine.fr
  7. Sanitaire, social, rapprochements
    1. Patricia DOUANE, Fonder le projet d’un SPASAD pour promouvoir la qualité de vie des personnes âgées par une dynamique de coopération, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Aquitaine, 9, avenue François-Rabelais, BP 39, 33401 Talence cedex, novembre 2007, 79 p. + annexes. www.irtsaquitaine.fr
  8. Handicap, vers une retraite progressive
    1. Patrice MOREL, Permettre à chaque ouvrier d’ESAT de poursuivre son projet de vie au-delà de sa cessation d’activité professionnelle, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, IRTS Bretagne, 2, avenue du Bois-Labbé, CS 44238, 35042 Rennes cedex, novembre 2007, 104 p. + annexes. www.irts-bretagne.fr
  9. Eco-logis
    1. Patrick CLEENEWERCK, Conduire un projet social de développement en orientant les activités d’insertion vers des métiers en tension, Mémoire pour l’obtention du CAFDES, ARIF, 8, villa du Parc-Montsouris, 75014 Paris, novembre 2007, 79 p.+ annexes. www.etsup.com
Mis en ligne sur Cairn.info le 30/04/2008
https://doi.org/10.3917/inso.145.0127
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