CAIRN.INFO : Matières à réflexion

Observatoire picard

AMNYOS, Evaluation de l’Observatoire social de Picardie. Rapport final et préconisations. Cabinet Amnyos, 5, villa de Lourcine. 75014 Paris. Juin 2005. 98 p. http://amnyos.com

1Dans de nombreuses régions ou départements, les organismes sociaux, CAF, URSSAF, DDASS ou DRASS, centres communaux d’action sociale se sont mis à échanger des informations, à rapprocher des fichiers, à nouer des relations avec les services régionaux de l’INSEE. De ces échanges sont nées des structures partenariales, baptisées, selon les lieux, plates-formes d’observation, observatoires régionaux ou départementaux. Rapports, bulletins réguliers ou sporadiques, sites sur le net sont venus donner de la visibilité à cette production. Dans plusieurs lieux ces instruments ont reçu une validation et des financements dans le cadre des contrats de plan entre l’État et les régions. Ce cheminement a été celui de l’Observatoire social de Picardie à partir de 1995. À partir de plusieurs enquêtes auprès des membres de l’observatoire, des destinataires des publications et du site, mais également à partir d’une analyse des documents produits et des modalités de fonctionnement, le cabinet Amnyos a réalisé une évaluation de cet observatoire. La diffusion du rapport est une première, les observatoires étant plus observateurs qu’observés. L’évaluation confirme l’existence d’un décloisonnement des institutions partenaires, d’une véritable mobilisation croisée des expertises et des outils dont la qualité n’a cessé de s’améliorer au fil des années. Cette dimension technique est d’ailleurs passée au premier plan occultant un peu la réflexion sur la pertinence des données recueillies. L’analyse des données pour une meilleure compréhension des réalités sociales locales est restée insuffisamment approfondie et les fonctions de veille n’ont pas été développées. Cette évaluation accompagnée de très nombreuses préconisations permettra sans doute à l’observatoire social de Picardie de corriger certaines évolutions, elle devrait aussi être largement utilisée par les toutes jeunes plates-formes pour identifier les écueils à éviter. 1344

Modèles au top

Yannick L’HORTY, Que nous apprennent les bénéficiaires du RMI sur les gains du retour à l’emploi ? Centre d’Etudes de l’Emploi. Le Descartes, 29, promenade Michel-Simon, 93166 Noisy-le-Grand cedex. Juillet 2005. 127 p. www.cee-recherche.fr

2L’idée qu’un allocataire du RMI puisse ne pas accepter une proposition de travail a longtemps paru et semble bien souvent encore une incongruité. Il y avait là un accroc dans la morale, une tromperie dans l’État-providence et c’était bien la preuve que le pauvre était foncièrement un tricheur. Il a fallu bien du temps, des enquêtes et des cas-types pour démontrer que le gain monétaire pouvait être quasiment nul entre le montant du RMI et un emploi à temps partiel payé au salaire minimum. Les dispositifs d’intéressement sont venus progressivement faire que l’accès au travail ne réduise pas des revenus déjà bien faibles. Il arrive encore que l’accès à un travail, surtout s’il entraîne des frais de transport et de garde d’enfants, ne soit pas la garantie d’une amélioration de la vie quotidienne. Les modélisations économiques peinent à rendre compte de ces choix surtout lorsqu’ils présupposent que les individus calculent et cherchent à maximiser leurs espérances de gains à l’euro près. L’approche de Yannick L’horty est originale car elle confronte une démarche d’économiste “pur et dur” et une approche sociologique par entretiens. Le récit de vie fournit un test qui permet d’éprouver la validité du modèle économétrique. La confrontation est intéressante car elle n’invalide pas les hypothèses théoriques mais elle montre que celles-ci pourraient être utilement améliorées par une prise en compte d’autres variables. Le besoin de liquidité en est une, un allocataire acceptera un emploi peu intéressant s’il a absolument besoin de ressources immédiates. Les contraintes familiales et les effets de réseaux ne sont pas pris en compte dans les modèles économiques qui postulent que la décision est individuelle, ce qui n’est pas le cas pour les allocataires. Enfin, le rapport au logement n’est jamais une variable économétrique, or pour l’individu conserver ou perdre son logement est un critère vital. 1345

Le social postdécentralisation

Jean-François BENEVISE, Anne-Marie LEGER, Henri MOYEN, Intervention sociale de proximité et territoires. IGAS, 25-27 rue d’Astorg, 75008 Paris. Juillet 2005. 85 p. + annexes. Téléchargeable sur www.ladocumentationfrancaise.fr

3La mise en place de la première dévolution des compétences sociales aux collectivités territoriales, entre 1981 et 1986, n’a jamais fait l’objet d’une évaluation globale. Cela est vrai de l’aide sociale à l’enfance et de la polyvalence de secteur. Faute d’évaluation globale, il faut se résoudre à tenter de comprendre le fonctionnement des services sociaux après la décentralisation à l’aide de sources diverses. Ce document de l’IGAS qui constitue l’un des travaux préparatoires au rapport annuel de l’année 2005 apporte d’utiles indications sur la reconstruction de la polyvalence de secteur après la décentralisation. Si les auteurs décrivent précisément les mouvements de redécoupage des territoires, de rapprochement des différentes fonctions de l’ASE et du service social, ils montrent aussi les difficultés que rencontre le travail social. Confrontée à une massification des problèmes sociaux, une grande partie des professionnels du social continuent d’intervenir sur un mode très individuel, dans un environnement multipartenarial souffrant d’une insuffisance permanente de coordination. On peut, comme le font les auteurs, s’interroger sur les difficultés d’adaptation de l’appareil de formation des travailleurs sociaux, on pourrait aussi se demander si les collectivités territoriales ont su s’approprier cet outil, lui donner des missions, évaluer l’efficacité des interventions engagées. De ce point de vue, l’éloge fait par les auteurs du rapport des projets sociaux de territoire est intéressant par ce qu’il implique de transversalité et de recherche de cohésion mais pourrait aussi achopper en l’absence de volonté politique territoriale de piloter ces projets de territoire. Parfois polémique, toujours incisif, ce rapport, dont on peut penser qu’il alimentera les débats chez les professionnels du social, revisite également les relations entre l’État et les collectivités territoriales après les deux vagues de décentralisation. 1346

Association : un autre rôle ?

UNIOPSS, Pacte social et démocratie : les associations en mouvement. Actes du 28e congrès, UNIOPSS, 133, rue Saint-Maur. 75541 Paris cedex 11. Mars 2005, 183 p.

4Lorsque la démocratie représentative s’affaiblit, il arrive que la place de la démocratie participative s’accroisse. Ce mouvement de balancier permettrait de mieux comprendre, selon Pierre Rosanvallon, dans une allocution remarquablement lumineuse lors dernier congrès de l’UNIOPSS, que les associations ou les mouvements sociaux puissent retrouver une place plus importante dans la construction actuelle de la citoyenneté. Le risque ne serait-il pas de ne tenir pour vrai que ce qui est local et fonctionnant dans le réseau et la proximité ? Ce risque est renforcé pour une large part des associations locales qui exercent principalement des fonctions gestionnaires de services ou d’établissements. Ceux-ci pris dans les tyrannies du quotidien finissent par oublier le projet global de transformation des solidarités qui pouvait sous-tendre leur volonté première. L’autre risque du local est celui de la compassion dont on sait qu’il fait bien souvent mouvoir et émouvoir les personnes mais reste lié à la particularité des souffrances. Face à ces risques, les militants associatifs réunis à Marseille lors de ce congrès revendiquaient une plus grande insertion dans la sphère politique. Les réponses des élus regroupés dans une dernière table ronde paraissaient un peu timorées face à ce désir de changement exprimé par les associations. Comme si démocratie représentative et démocratie participative pouvaient, en dépit des discours laudatifs, ne pas se situer dans le même partage de perspectives. 1347

France-Belgique, écart de pauvreté

Collectif, Abolir la pauvreté. Infoshop du SPF. Bd du Régent 54 1000 Bruxelles. Belgique. 115 p. décembre 2005. www.luttepauvrete.be

5Plusieurs pays européens ont relancé, voici une dizaine d’années, des programmes de lutte contre la pauvreté. Ce fut le cas en France avec le projet de loi sur la cohésion sociale, prélude à la loi de lutte contre les exclusions de 1998, ce fut le cas en Belgique avec le Rapport général sur la pauvreté. À l’occasion des dix années de ce rapport, la conférence interministérielle de l’intégration sociale a lancé un débat décentralisé dans les dix provinces et à Bruxelles. Ce travail a permis de rassembler un vaste ensemble de propositions pour lutter contre la pauvreté. Lorsque l’on compare ces propositions à celles qui apparaissent dans de très nombreux rapports français, on pense par exemple aux travaux du Conseil national de lutte contre les exclusions, les proximités sont grandes. Qu’il s’agisse des montants des minima sociaux, de la lutte contre le surendettement, de la facilité d’accès aux services, du renforcement de la lutte contre le chômage, ou des programmes urbains visant à accroître la mixité sociale, on retrouve dans les deux pays des objectifs similaires. Cependant, des différences apparaissent dans la plus grande attention portée, en Belgique, à la réflexion sur la construction des outils de mesure de la pauvreté, au souci de replacer la lutte contre la pauvreté dans une perspective plus large faisant de la fiscalité, de la formation, de l’accès à la culture, des chemins de réduction en profondeur de la pauvreté. Une différence essentielle existe aussi dans la façon d’appréhender, en Belgique, la pauvreté comme une atteinte aux droits de l’homme. 1348

Média et toxicomanies

Astrid Fontaine, Michel Gandhilon, Traitement médiatique de l’usage des drogues à travers sept magazines. Observatoire français des drogues et des toxicomanies. 3, avenue du Stade-de-France, 93218 Saint-Denis-la-Plaine cedex. Août 2004, 127 p. www.ofdt.fr

6Comment parle-t-on de la drogue dans la presse ? Il ne s’agissait pas pour les chercheurs de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) de regarder la façon dont le Monde, le Figaro ou les magazines féminins ou d’informations rendaient compte des usages de la drogue. Cette posture serait sans doute possible mais l’OFDT, dans le cadre d’un programme sur les tendances récentes et les nouvelles drogues, s’est plutôt penché sur des magazines comme l’Affiche, Max, Têtu, Technikart ou Trax, magazines qui s’adressent en priorité à des jeunes adultes, intéressés par l’actualité musicale, des jeunes adultes branchés sans doute plutôt urbains. Des adultes pour lesquels la drogue n’est qu’une addiction parmi d’autres dans un univers où le sexe, la musique, la télévision, les jeux vidéos et même l’information sont aussi des addictions. Un univers médiatique dans lequel le thème de l’usage des drogues sert de clin d’œil et de référence dans la publicité comme dans la musique. La banalisation des produits est accompagnée d’un discours sur la maîtrise et le contrôle de soi. Le toxico ce n’est plus l’autre, c’est nous, la drogue n’est plus diabolisée, elle doit être domestiquée. La seconde partie du rapport porte sur la perception des différentes substances parmi lesquelles le cannabis arrive largement en tête avec une image plutôt positive, devant l’ecstasy, la drogue phare des clubbers, des teufeurs et des soirées mondaines. 1349

Violences privées, politiques publiques

Bernard de Korsak, Anne-Marie Léger, Rapport sur l’hébergement et le relogement des femmes victimes de violence, IGAS et Conseil général des Ponts et Chaussées. Janvier 2006. 72 p. Téléchargeable sur www.ladocumentationfrancaise.fr

7Si le conseil général des Ponts et Chaussée s’intéresse au femmes victimes de violence ce n’est pas nécessairement parce que ces dernière se retrouvent souvent à la rue mais plutôt parce que cette instance est, comme son nom ne l’indique pas, l’organisme d’inspection supérieure en matière d’équipement et de logement. Ce conseil est l’équivalent de l’Inspection générale des affaires sociales avec laquelle il cosigne fréquemment des études sur le logement social. À partir d’études monographiques réalisées dans plusieurs départements dont la Seine-et-Marne, l’Ille-et-Vilaine, l’Ardèche et le Rhône, les auteurs montrent les incertitudes sur les données statistiques permettant de décrire l’ampleur du problème. L’estimation retenue, bien que fragile car résultant d’extrapolations incertaines, indique que 400 000 femmes seraient victimes, chaque année, de violences physiques, 40 000 rencontreraient des associations ou des professionnels du secteur social et 4000 nécessiteraient un hébergement ou un relogement. Le rapport insiste sur le fait que les violences conjugales s’inscrivent dans la durée alors que les réponses se font au moment de la crise dans une logique de l’urgence. Insistant sur l’ignorance des relations entre l’univers de l’hébergement et celui du logement, les auteurs font le constat de l’existence d’une multiplicité de dispositifs, souvent innovants, mais trop souvent confidentiels et cloisonnés, pris en charge par des militants associatifs, mais aussi et paradoxalement par des professionnels, y compris du secteur public, quasi militants comme si nous avions du mal collectivement à transformer ce problème en objet de politique publique. 1350

Parole handicapée en justice

Marie-Claire de KeuNynck-Lefer, Le handicap et la justice : une rencontre difficile. Mémoire pour l’obtention de la maîtrise de sciences de l’éducation. UFR des sciences psychologiques et des sciences de l’éducation, Université de Paris-10-Nanterre. Téléchargeable sur le site de l’ONED, http://www.oned.gouv.fr/index1.htm. Juin 2005, 132 p. (directeur de mémoire : Dominique Fablet)

8L’auteure de ce mémoire est éducatrice spécialisée, en charge de la coordination des projets individualisés dans un externat médico-éducatif qui accueille des adolescents, garçons ou filles présentant des déficiences intellectuelles et/ou des troubles du comportement. Confrontée, au moins une fois chaque année, à la prise en charge des jeunes filles après qu’elles aient indiqué avoir été victimes d’abus sexuels, et que ces sévices aient fait l’objet de poursuites judiciaires, l’auteure de ce mémoire s’interroge sur la façon dont les différents professionnels, magistrats, policiers ou médecins, prennent en compte la présence d’un handicap lorsqu’ils conduisent une procédure judiciaire. Les professionnels interrogés par Marie-Claire de Keunynck-Lefer, dans le cadre d’entretiens semi-directifs montrent d’abord que la déficience rend encore plus complexe une communication déjà difficile. La crédibilité de la parole de ces jeunes personnes handicapées doit s’affranchir d’un mauvais repérage dans le temps, d’un schéma corporel plus hésitant et de difficultés de verbalisation. Devant cette situation, les professionnels ont deux réactions contradictoires. Ils peuvent être tentés de surprotéger ces jeunes déficients qu’ils assimilent à des tout-petits dans des corps d’adolescents, mais ils peuvent aussi estimer que ces barrières entravent leur efficacité et ralentissent encore le fonctionnement d’une justice déjà critiquée pour sa lenteur. Le fait que la campagne d’entretiens menée par Marie Claire de Keunynck-Lefer se soit déroulée pendant que les médias rendaient compte des rebondissements du procès d’Outreau a sans doute conduit ces professionnels de la justice à prendre davantage de recul sur leurs pratiques et sans doute à être plus circonspects qu’ils n’auraient été à un autre moment eu égard à la parole des enfants et des adolescents. 1351

Le contrat aidé, une aide véritable ?

Emmanuel Berger, Tristan Klein, Après un contrat aidé : les conditions de vie s’améliorent. DARES, 39,43, quai André-Citroën, 75902 Paris cedex 15, document d’études, n° 105, septembre 2005. 42 p.

9Les politiques sociales d’insertion dans l’emploi sont-elles efficaces ? À cette question, la réponse la plus fréquente est circonspecte. Les politiques d’insertion ne seraient pas des sas vers une vie autonome à défaut d’être décente, elles ne feraient que modifier les places dans les files d’attentes de l’ANPE. L’étude conduite par les chercheurs de la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale (DARES) à partir de l’exploitation de données de panel montre qu’il faut être plus nuancé. Si les mesures dites de contrat emplois solidarité (CES) et de stage d’insertion à la formation et à l’emploi (SIFE) accueillaient des personnes aux conditions de vie difficiles à la fin des années quatre-vingt-dix, le panel montre qu’au fil du temps, dans sept cas sur dix, les bénéficiaires ont pu, trois ans après leur sortie, se retrouver dans une meilleure situation financière. De ce fait les conditions de logements et de transports des personnes se sont elles aussi améliorées même si un nombre encore important de jeunes adultes ne peuvent faire face à l’achat et à l’entretien d’un véhicule. Plus fragiles à l’entrée dans le dispositif, les jeunes passés par le programme TRACE connaissent des situations moins favorables. 1352

  1. Observatoire picard
    1. AMNYOS, Evaluation de l’Observatoire social de Picardie. Rapport final et préconisations. Cabinet Amnyos, 5, villa de Lourcine. 75014 Paris. Juin 2005. 98 p. http://amnyos.com
  2. Modèles au top
    1. Yannick L’HORTY, Que nous apprennent les bénéficiaires du RMI sur les gains du retour à l’emploi ? Centre d’Etudes de l’Emploi. Le Descartes, 29, promenade Michel-Simon, 93166 Noisy-le-Grand cedex. Juillet 2005. 127 p. www.cee-recherche.fr
  3. Le social postdécentralisation
    1. Jean-François BENEVISE, Anne-Marie LEGER, Henri MOYEN, Intervention sociale de proximité et territoires. IGAS, 25-27 rue d’Astorg, 75008 Paris. Juillet 2005. 85 p. + annexes. Téléchargeable sur www.ladocumentationfrancaise.fr
  4. Association : un autre rôle ?
    1. UNIOPSS, Pacte social et démocratie : les associations en mouvement. Actes du 28e congrès, UNIOPSS, 133, rue Saint-Maur. 75541 Paris cedex 11. Mars 2005, 183 p.
  5. France-Belgique, écart de pauvreté
    1. Collectif, Abolir la pauvreté. Infoshop du SPF. Bd du Régent 54 1000 Bruxelles. Belgique. 115 p. décembre 2005. www.luttepauvrete.be
  6. Média et toxicomanies
    1. Astrid Fontaine, Michel Gandhilon, Traitement médiatique de l’usage des drogues à travers sept magazines. Observatoire français des drogues et des toxicomanies. 3, avenue du Stade-de-France, 93218 Saint-Denis-la-Plaine cedex. Août 2004, 127 p. www.ofdt.fr
  7. Violences privées, politiques publiques
    1. Bernard de Korsak, Anne-Marie Léger, Rapport sur l’hébergement et le relogement des femmes victimes de violence, IGAS et Conseil général des Ponts et Chaussées. Janvier 2006. 72 p. Téléchargeable sur www.ladocumentationfrancaise.fr
  8. Parole handicapée en justice
    1. Marie-Claire de KeuNynck-Lefer, Le handicap et la justice : une rencontre difficile. Mémoire pour l’obtention de la maîtrise de sciences de l’éducation. UFR des sciences psychologiques et des sciences de l’éducation, Université de Paris-10-Nanterre. Téléchargeable sur le site de l’ONED, http://www.oned.gouv.fr/index1.htm. Juin 2005, 132 p. (directeur de mémoire : Dominique Fablet)
  9. Le contrat aidé, une aide véritable ?
    1. Emmanuel Berger, Tristan Klein, Après un contrat aidé : les conditions de vie s’améliorent. DARES, 39,43, quai André-Citroën, 75902 Paris cedex 15, document d’études, n° 105, septembre 2005. 42 p.
Mis en ligne sur Cairn.info le 01/04/2008
https://doi.org/10.3917/inso.132.0143
Pour citer cet article
Distribution électronique Cairn.info pour Caisse nationale d'allocations familiales © Caisse nationale d'allocations familiales. Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de l’éditeur, de reproduire (notamment par photocopie) partiellement ou totalement le présent article, de le stocker dans une banque de données ou de le communiquer au public sous quelque forme et de quelque manière que ce soit.
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