CAIRN.INFO : Matières à réflexion

Indicateurs alternatifs

Jean GADREY, Florence JANY-CATRICE, Les indicateurs de richesse et de développement, Laboratoire CLERSE, IFRESI. Université de Lille 1. 59655 Villeneuve-d’Asq cedex. Mars 2003. 180 p. clerse-direction@univ-lille1.fr

1Parce que la croissance n’est pas le progrès social et que le progrès, même social, semble insuffisant pour garantir le bonheur du simple citoyen, les critiques pleuvent depuis des années sur le PIB comme indicateur synthétique. Il faudrait sans doute que la pluie se fasse déluge pour que le produit intérieur brut soit abandonné, à moins que l’un ou l’autre des indicateurs alternatifs finissent par être retenus ou qu’un grand soir électoral conduise à remplacer le PIB par le BIP 40 cher aux membres du Réseau d’alerte sur les inégalités. D’autres indicateurs existent pourtant qui rendent mieux compte de l’évolution sociale. On connaît les indicateurs de développement social et humain du PNUD comme l’IPH, indicateur de pauvreté humaine ou l’IDH, indicateur de développement humain. L’IPF, indicateur de participation Hommes-Femmes est mal connu en France faute de données disponibles. D’autres outils sont novateurs comme le Kids Count Index qui mesure le bien-être des enfants dans une société. Certains, enfin, moins révolutionnaires se contentent de compléter le PIB par des critères sociaux en cherchant, par exemple, à valoriser le travail domestique, le bénévolat et le temps libre. Notre préféré est le GPI américain qui intègre des informations sur les coûts de la pollution sonore, la valeur du travail domestique, les inégalités de revenu, le coût du chômage et celui des déplacements quotidiens. On ne s’étonnera pas, ou au contraire, cela dépend du point de vue adopté, que plus de 400 économistes américains revendiquent son adoption comme indicateur officiel. 1290

Minima sociaux : visite guidée

Valérie LETARD, Minima sociaux : mieux concilier équité et reprise d’activité, Rapport sur les minima sociaux en France, Rapport d’information n° 334 (2004-2005) fait au nom de la commission des affaires sociales, déposé le 11 mai 2005. 97 p. Consultable sur www.ladocumentationfrançaise.fr

2Depuis l’instauration en 1956 du minimum vieillesse et, l’année suivante, du minimum invalidité, le législateur n’a cessé d’apporter des retouches au dispositif des minima sociaux. Ce mouvement s’est accéléré à partir de la création du RMI en 1988. Cette construction sociale, au fil de l’histoire, aboutit à un ensemble fortement disparate tant pour les critères d’attribution que pour les montants. L’hétérogénéité s’est encore accentuée par l’adjonction aux minima sociaux de prestations complémentaires et de droits, dits connexes, attribués, toujours en ordre dispersé, par l’État, les départements, les collectivités locales, voire les associations. Le rapport de Valérie Letard commence fort bien en remarquant que le législateur a tendance à ajouter de la complexité en intervenant de façon fragmentée sur l’un ou l’autre des minima sans s’intéresser à la cohérence d’ensemble. N’esquivant que partiellement le piège qu’elle dénonce, l’auteure consacre une large partie de ses propos au RMI et montre, de façon très pertinente, l’opacité et l’impact de ces droits connexes, dont elle relève, à juste titre, qu’ils sont fort mal connus et participent au brouillage du système.La sortie du RMI, ce n’est pas tant le passage du RMI à un bas salaire, parfois au salaire minimum, que la perte de la majorité de ces aides. La dimension désincitative de ces seuils aurait pu être compensée par les mécanismes d’intéressement qui permettent de continuer à bénéficier du RMI pendant les premiers temps de la reprise d’un travail, mais là encore, ces mécanismes ont souvent les mêmes travers, ils sont complexes et mal connus. Faut-il réformer ce dispositif ? La réponse est positive mais la raison fondamentale en est plus ambiguë. Pour Valérie Letard, la raison d’une réforme de ce système réside plus dans un souci de justice sociale entre salariés à bas revenus et allocataires du RMI, que dans la possibilité de permettre le retour des allocataires dans un marché du travail qui n’est pas demandeur.

3Refusant, mais sans s’y arrêter, l’idée d’une allocation universelle, l’auteure, au-delà de quelques nouveaux ajustements, s’intéresse plutôt aux allocations dégressives du type Earned Income Taxe Credit utilisées USA dont la prime pour l’emploi est une fragile préfiguration française. 1291

Des clefs pour l’entraide familiale

Jim OGG, Catherine BONVALET, La parenté comme lieu des solidarités : l’état des enquêtes sur l’entraide en Europe, ICS, CNAV, INED. 133, boulevard Davout, 75980 Paris cedex 20. Mai 2004, 251 p.

4Dans un contexte de doute généralisé sur le devenir des solidarités nationales, la question de l’entraide, déjà traitée voici plusieurs décennies par Talcott Parsons et ses émules, est redevenue importante dans les problématiques de recherche sur le fait familial. De nombreux travaux, en France comme dans les autres pays européens abordent ce thème [1]. Le rapport de Jim OGG et de Catherine Bonvalet est particulièrement original en ce sens qu’il s’intéresse à la façon dont les équipes de recherches organisent la collecte des informations dans ce domaine. Ainsi, se trouvent confrontées neuf expériences de collecte menées depuis le début des années quatre-vingt-dix en Belgique, Espagne, France, Luxembourg, Norvège, Portugal, Angleterre et Suisse. Ces travaux sont resitués dans un historique plus large des recherches sur l’entraide familiale et surtout, ils font l’objet d’une présentation détaillée et monographique. Les équipes, les méthodes, les principales références, quelques résultats et les publications essentielles sont décrits, les sites Internet figurent également dans les références. On trouve même dans ce rapport de larges extraits des questionnaires utilisés. Plus qu’un rapport de recherche, il s’agit d’un véritable outil au service des chercheurs ou des professionnels du social qui veulent aborder ou approfondir cette thématique. 1292

Des mesures en tous sens

OCDE, Panorama de la société. Les indicateurs sociaux de l’OCDE, OECD Publications, 2, rue André-Pascal, 75775 Paris cedex 16, 2005, 92 p. www.ocde.org

5Qu’ils soient de performance, de moyens, d’état, qu’ils s’appliquent à des populations, des territoires ou des politiques, qu’ils soient agrégés, désagrégés, ciblés ou transversaux, l’heure est aux indicateurs. Nous sommes bien loin du temps où Jacques Delors, publiant au commissariat général du Plan un ouvrage sur les indicateurs sociaux, conduisait à s’interroger sur de nouvelles générations de planificateurs. L’indicateur s’est banalisé, témoignant à la fois du succès de la démarche et de notre appétence à décrire ce qui nous arrive à défaut de toujours le comprendre. L’OCDE présente 34 indicateurs sociaux dont certains décrivent le contexte social et démographique des différents pays, d’autres s’attachent à l’état de la société, on y trouve, par exemple, les indicateurs de pauvreté. Le dernier groupe d’indicateurs s’intéresse aux réponses de la société, on y retrouve, par exemple, les indicateurs caractérisant les systèmes de retraite. Comme toujours les comparaisons entre les trente pays de l’OCDE doivent être interprétées avec précaution tant le sens d’un indicateur peut varier d’un endroit à l’autre. À côté des indicateurs très classiques comme le revenu national par habitant, on trouve des indicateurs moins courants comme le bien-être subjectif ou la participation à la vie associative. Si, en France, nous sommes plutôt en position élevée pour l’usage du cannabis (7e sur 30), nous sommes nettement moins performants pour la participation à la vie associative et notre taux de bien être subjectif tire plutôt vers le bas. 1293

Asiles décomptés

Frédérique BOURGEOIS, Sophie EBERMEYER, Mélanie SEVIN, Demandeurs d’asile, réfugiés statutaires et déboutés dans les dispositifs d’accueil : étude exploratoire dans le département du Rhône, Forum Réfugiés, Economie et Humanisme. 14, rue Antoine-Dumont, 69372 Lyon cedex 08. Janvier 2004. 164 p.

6En dehors de l’Ile-de-France, c’est dans le Rhône que la pression des demandeurs d’asile est la plus forte. La position géographique, la présence de nombreuses voies de communication et, surtout, une très ancienne tradition d’accueil, réactivée au cours des dernières décennies pour les Chiliens puis les Kosovars, explique cette tradition. La contrepartie résulte dans l’enchevêtrement des structures, dans le morcellement de l’offre d’hébergement, dans le cloisonnement des dispositifs d’accueil. La diversification des formes d’accueil s’explique aussi par la multiplication des statuts qui fait que les demandeurs peuvent s’inscrire dans au moins une quinzaine de situations différentes, chacune entraînant des droits et des interdictions, des filières officielles ou clandestines. Lorsque, de plus, on découvre qu’à l’intérieur d’une même famille, on peut rencontrer des personnes à différents stades des procédures administratives, le kaléidoscope vire au cauchemar. L’intérêt de cette étude exploratoire ne réside pourtant pas dans l’analyse de cet imbroglio mais dans une réflexion méthodologique sur les modalités de connaissance du dispositif et des populations qui l’utilisent. Réalisant leurs propres enquêtes, utilisant les outils statistiques disponibles dans les différentes structures, les auteurs aboutissent à l’intéressante conclusion que la quantité et la qualité des informations disponibles sont liées à la taille de la structure et au degré d’accompagnement des personnes. Plus l’accompagnement est une réalité, plus la connaissance des populations est fine. Plus la taille de la structure est importante, plus celle-ci dispose d’outils statistiques élaborés. 1294

Mourir dépendant

Daniel LENOIR, Sébastien DOUTRELIGNE, La prise en charge des personnes âgées dépendantes dans leur dernière période de vie, Commissariat Général du Plan. 18, rue de Martignac. 75700 Paris 07 SP. Cahiers n° 1. avril 2005. 46 p. http://plan.gouv.fr

7À défaut de construire un Plan qui s’inscrirait dans la démarche de planification, – “une ardente obligation” – instaurée après la Seconde Guerre mondiale, le Commissariat général du Plan, sous la direction d’Alain Etchegoyen, explore les enjeux de l’avenir d’un Etat qualifié désormais de stratège. Ce premier numéro rend compte des travaux de l’un des groupes consacrés aux derniers moments de vie des personnes âgées et dépendantes. Quelles actions publiques promouvoir pour répondre aux besoins de ces moments où les aides techniques sont devenues insuffisantes, lorsque la dépendance touche les fonctions vitales et que “le reste à vivre” s’amenuise et se compte en semaines puis en jours ? L’accent mis par les membres de ce groupe de travail sur la médicalisation des établissements et l’importance des soins palliatifs pourrait apparaître comme une réponse réaliste, certes, mais assez conventionnelle. Plus novateurs sont les propos sur l’organisation de ces soins palliatifs qui restent trop focalisés sur le milieu hospitalier et trop peu sur les établissements d’hébergement des personnes âgées et encore moins au domicile. On ne trouvera pas dans ce document quelques grandes et nouvelles mesures mais plutôt des esquisses de bonnes pratiques de travail pour faire évoluer le quotidien. Si l’Etat devient stratège, il devient aussi modeste. 1294

Mon frère, ma fille, mon délégué

Françoise LE BORGNE-UGUEN, Simone PENNEC, Les majeurs protégés et leur parenté. Frontières et articulations de l’échange familial., Atelier de recherche sociologique, Université de Bretagne occidentale. UBO-ARS, 20 rue Duquesne, 29268 Brest cedex 3. Juin 2004. 297 p. Simone.Pennec@univ-brest.fr

8Qui vient en aide au membre de la famille qui éprouve des difficultés dans sa vie quotidienne ? Les réponses sont multiples et dépendent des histoires et des configurations familiales et de l’environnement social et économique. Dans certaines situations de grande fragilité liées à l’âge, au handicap ou aux effets d’une désinsertion sociale forte, le juge intervient. Selon le degré d’incapacité de la personne, il décidera d’une tutelle ou d’une curatelle dont la réalisation sera confiée à un professionnel ou à un membre de la famille. Le rapport de Françoise Le Borgne-Uguen et de Simone Pennec commence à ce moment. Il examine avec une grande subtilité la façon dont s’opère ce passage par le droit, ou plutôt comment l’intervention du juge vient conforter ou bousculer des équilibres familiaux. Il est en effet des cas où la réponse à la demande d’aide est simple, lorsqu’il s’agit, par exemple, d’un enfant unique. En présence d’une fratrie, celle des enfants de la personne ou celle de ses frères et sœurs, le rôle du juge est plus complexe. Mais si la justice est présente, les auteurs du rapport analysent surtout cette construction juridique de l’aide en privilégiant le regard sur les régulations familiales et en donnant une large place aux récits des demandeurs ou de leurs proches. La seconde partie du rapport entre complètement dans l’exercice même de la protection lorsqu’elle est assurée par un membre de la famille. La gestion des papiers, l’organisation des routines quotidiennes de la vie de la personne à protéger, la protection de l’état de santé, physique et mental, constituent l’essentiel des tâches à assurer. Professionnels ou non, se retrouvent décrits les actes fondamentaux du délégué à la tutelle. En revanche, le fait que ces actes soient effectués par un membre de la famille les inscrits dans des régulations et des regards bien différents.1296

Travail social, les injonctions contradictoires

Anne SAUVAYRE, Didier VANONI, Évaluation nationale de l’expérimentation des Projets sociaux de territoires, FORS Recherche sociale, 48, rue des Petites-Écuries, 75010 Paris. Mars 2005. 74 p.

9Qu’est devenu le travail social dans les politiques de la ville ? Pour répondre à cette question, il faudrait s’interroger séparément sur les évolutions du travail social, d’une part, et sur la politique de la ville, d’autre part. Il y aurait là matière à de multiples séminaires et colloques. Anne Sauvayre et Didier Vanoni apportent quelques réponses en s’appuyant sur l’évaluation d’un programme expérimental issu du rapport proposé en septembre 2000 par Claude Brevan et Paul Picard, rapport intitulé : “Ville : une nouvelle ambition pour les métiers”. Ce programme visait, sur une vingtaine de sites, à renforcer les capacités des différentes institutions à travailler ensemble pour améliorer les conditions de vie des populations les plus en difficultés. Cela devait se traduire par l’organisation d’un pilotage local partagé, la mobilisation de différents niveaux d’acteurs, une place faite aux habitants et la construction d’un projet à dimension de développement local s’appuyant sur un diagnostic partagé. D’un site à l’autre, les thèmes de travail ont été différents, alors qu’à Champigny les acteurs montaient un dispositif de prévention précoce de traitement des impayés, au Havre, ils travaillaient sur la parentalité. Au terme de leur démarche d’évaluation, les auteurs constatent que les PST ont été l’occasion de réactiver ce qu’ils appellent “le drame” du travail social, c’est-à-dire l’accroissement du séquencement des tâches, accompagné, dans le même temps, d’une injonction toujours plus pressante à travailler en partenariat et en réseau. 1297

La rénovation des foyers-logements

Jean-Baptiste LECOLE, Claude DUCOS-MIERAL, Marie-Thérèse SENG, Les aspirations des personnes âgées dans le Rhône face à l’hébergement collectif en logement-foyer, Pour informations sur ce rapport, joindre jean-baptiste.lecole@rhone.fr. 2005, 62 p.

10Pour des personnes vieillissantes le foyer-logement peut-il être un avenir ? Pensé dans les années soixante-dix, juste à la fin de la grande période de pauvreté des personnes âgées et à une période où l’accès à des résidences munies de services apparaissait comme un progrès, le foyer-logement peine à trouver son public. L’allongement de la durée de vie sans incapacités, l’élévation des ressources, l’envie de se maintenir à domicile font que le foyer-logement a perdu de son attrait pour bien des personnes âgées. Puis lorsque celles-ci deviennent dépendantes, le foyer-logement ne possède pas les équipements et services susceptibles de répondre à leurs besoins. Les conclusions de l’enquête menée auprès de personnes âgées nuancent fortement ce point de vue. Les auteurs insistent sur le fait qu’une nouvelle génération de personnes âgées arrive au moment de la retraite avec des revenus plus faibles. Il faut aussi compter avec la présence d’une population handicapée ayant vécu longtemps à domicile et qui éprouve le besoin d’une assistance plus importante ou encore à la présence de personnes aux marges de la psychiatrie. Cependant, pour que les foyers-logements retrouvent une place dans l’échiquier des réponses sociales, il leur faudra renforcer leur accompagnement médico-social, offrir une prise en charge plus individualisée et un projet d’établissement ouvert sur le quartier et promouvant l’animation. 1298

Notes

  • [1]
    Un bon aperçu des résultats de ces recherches figure dans l’ouvrage, coordonné par Pierre Strobel et Danielle Debordeaux, à la suite d’un séminaire organisé par la Cnaf. “Les solidarités familiales en question : entraide et transmission”. Paris, Maison des Sciences de l’Homme, LGDJ, décembre 2002.
  1. Indicateurs alternatifs
    1. Jean GADREY, Florence JANY-CATRICE, Les indicateurs de richesse et de développement, Laboratoire CLERSE, IFRESI. Université de Lille 1. 59655 Villeneuve-d’Asq cedex. Mars 2003. 180 p. clerse-direction@univ-lille1.fr
  2. Minima sociaux : visite guidée
    1. Valérie LETARD, Minima sociaux : mieux concilier équité et reprise d’activité, Rapport sur les minima sociaux en France, Rapport d’information n° 334 (2004-2005) fait au nom de la commission des affaires sociales, déposé le 11 mai 2005. 97 p. Consultable sur www.ladocumentationfrançaise.fr
  3. Des clefs pour l’entraide familiale
    1. Jim OGG, Catherine BONVALET, La parenté comme lieu des solidarités : l’état des enquêtes sur l’entraide en Europe, ICS, CNAV, INED. 133, boulevard Davout, 75980 Paris cedex 20. Mai 2004, 251 p.
  4. Des mesures en tous sens
    1. OCDE, Panorama de la société. Les indicateurs sociaux de l’OCDE, OECD Publications, 2, rue André-Pascal, 75775 Paris cedex 16, 2005, 92 p. www.ocde.org
  5. Asiles décomptés
    1. Frédérique BOURGEOIS, Sophie EBERMEYER, Mélanie SEVIN, Demandeurs d’asile, réfugiés statutaires et déboutés dans les dispositifs d’accueil : étude exploratoire dans le département du Rhône, Forum Réfugiés, Economie et Humanisme. 14, rue Antoine-Dumont, 69372 Lyon cedex 08. Janvier 2004. 164 p.
  6. Mourir dépendant
    1. Daniel LENOIR, Sébastien DOUTRELIGNE, La prise en charge des personnes âgées dépendantes dans leur dernière période de vie, Commissariat Général du Plan. 18, rue de Martignac. 75700 Paris 07 SP. Cahiers n° 1. avril 2005. 46 p. http://plan.gouv.fr
  7. Mon frère, ma fille, mon délégué
    1. Françoise LE BORGNE-UGUEN, Simone PENNEC, Les majeurs protégés et leur parenté. Frontières et articulations de l’échange familial., Atelier de recherche sociologique, Université de Bretagne occidentale. UBO-ARS, 20 rue Duquesne, 29268 Brest cedex 3. Juin 2004. 297 p. Simone.Pennec@univ-brest.fr
  8. Travail social, les injonctions contradictoires
    1. Anne SAUVAYRE, Didier VANONI, Évaluation nationale de l’expérimentation des Projets sociaux de territoires, FORS Recherche sociale, 48, rue des Petites-Écuries, 75010 Paris. Mars 2005. 74 p.
  9. La rénovation des foyers-logements
    1. Jean-Baptiste LECOLE, Claude DUCOS-MIERAL, Marie-Thérèse SENG, Les aspirations des personnes âgées dans le Rhône face à l’hébergement collectif en logement-foyer, Pour informations sur ce rapport, joindre jean-baptiste.lecole@rhone.fr. 2005, 62 p.
Mis en ligne sur Cairn.info le 01/05/2008
https://doi.org/10.3917/inso.126.0121
Pour citer cet article
Distribution électronique Cairn.info pour Caisse nationale d'allocations familiales © Caisse nationale d'allocations familiales. Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de l’éditeur, de reproduire (notamment par photocopie) partiellement ou totalement le présent article, de le stocker dans une banque de données ou de le communiquer au public sous quelque forme et de quelque manière que ce soit.
keyboard_arrow_up
Chargement
Chargement en cours.
Veuillez patienter...