CAIRN.INFO : Matières à réflexion

La réactivité du local

Ali BENARFA, Contre la marginalisation des jeunes en zone périurbaine : une MJC au cœur d’un réseau de prévention primaire., Mémoire pour l’obtention du CAFDES. CRFPFD, 50 boulevard Deltour, 31500 Toulouse. 2004. 84 p. + annexes

1Issues des courants lointains de l’éducation populaire, les Maisons de jeunes, qui gagnèrent la culture après la Seconde Guerre mondiale, ne s’inscrivaient traditionnellement pas dans l’univers de l’action sociale et médico-sociale. L’éducation à la citoyenneté, la promotion de valeurs laïques et républicaines, l’encouragement à la prise de la responsabilité des jeunes et, progressivement, la construction d’une offre de prestations culturelles de quartiers, constituèrent jusqu’au tournant des années quatre-vingt l’essentiel de l’action des MJC. Confrontés à l’augmentation du chômage, aux difficultés de l’insertion professionnelle et pour certains aux blocages de l’intégration sociale, les jeunes se tournèrent plutôt vers la mission locale ou la PAIO, ou, pour d’autres, vers le groupe des pairs. La cage d’escalier pouvait paraître un repère identitaire plus sécurisant que la MJC, et cela d’autant plus que les personnels de ces institutions étaient davantage formés à l’animation socio-culturelle qu’à l’action sociale de première ligne. Le mémoire d’Ali Benarfa montre que des MJC ont su pourtant trouver ce chemin de l’intervention sociale. Il fallait pour cela s’insérer dans la construction des multiples partenariats locaux, en participant, voire en étant leader, à la mise en œuvre des politiques locales transversales comme ici, les Contrats éducatifs locaux, et, ailleurs, les dynamiques de rénovation des quartiers. Un mémoire qui, au delà de l’analyse des pratiques de direction d’un équipement, témoigne surtout de la plasticité des réponses du local aux effets des transformations économiques et sociales. 1254

Un travail pour vivre

Jean-Luc PUJOL, Structurer une déontologie de l’accueil en CAT, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. BUC RESSOURCES, 1 bis rue Louis-Massotte, 78530 BUC. 2004. 83 p + annexes

2Comment mettre en œuvre la loi de 2002 réformant les textes de 1975 sur les institutions sociales et médico-sociales ? Il y a plusieurs voix possibles. On distingue assez nettement un chemin qui ferait du livret d’accueil, de la contractualisation, et de tous les autres aspects prévus dans la loi et les décrets d’application, les réponses rationnelles et mécaniques aux exigences du législateur. On peut aussi penser que le recentrage du service sur la personne est plus complexe et nécessite une réflexion plus profonde sur le sens de l’action engagée. Le mémoire de Jean-Luc Pujol explore cette seconde direction à propos d’un CAT du sud de Paris. Un CAT dans lequel les déficients mentaux ne constituaient plus le groupe dominant mais où se retrouvaient des personnes handicapées physiques moins dépendantes qui, en d’autres temps, auraient pu obtenir un travail en milieu ordinaire. Ce CAT comme beaucoup d’autres, avait sans doute trop baissé les bras, confronté qu’il était à la transformation de son environnement économique et à l’évolution de la population accueillie. Face aux pertes de marchés de sous-traitance, l’activité du CAT avait été recentrée sur un secteur espace vert dynamique rentable et exigeant, laissant de côté des ateliers dévalorisés. Activité valorisée et productive d’un côté et activité quasi sociale de l’autre, la ligne de fracture n’est pas nouvelle dans les CAT. L’auteur du mémoire, s’inspirant des réflexions d’Emmanuel Mounier – un philosophe humanisme qui justement avait longuement construit une œuvre sur la nécessité de défendre la personne contre les excès du monde –, rappelle que le travail est la clef d’une appartenance, d’une fierté liée au produit et permet encore de construire une trajectoire de vie, toute chose qu’il importe de proposer aux personnes accueillies dans le CAT. Alors, lentement, en modifiant les horaires de travail, en recomposant les activités, en faisant évoluer les modes de prise de décision, Jean-Luc Pujol personnalise, au sens de Mounier, ce CAT. Une très belle leçon de management. 1255

Le contrat dynamique

Olivier DUBOIS, Vers une “contractualisation” de la prestation en AEMO : construire des compétences multipolaires, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS Nord - Pas-de-Calais, rue Ambroise-Paré, BP 71, 59373 Loos cedex. 2004. 82 p.

3Du contrat d’insertion instauré par la loi de 1988 sur le RMI au contrat de séjour de la loi du 2 janvier 2002, la démarche contractuelle s’est élargie et démultipliée au fil des années. La majorité de ces contrats n’est pas constituée de cet accord responsable de deux parties contractant en pleine capacité de moyens et de volontés que nous décrivent les juristes. Pour certains, le contrat a surtout une vocation pédagogique, pour d’autres, il n’est qu’un moyen d’habiller de démocratie nouvelle les anciennes prérogatives de la puissance publique. Pour Olivier Dubois, le contrat est à prendre au sérieux même lorsqu’il s’applique aux relations entre le juge des enfants et les familles et qu’il doit être mis en œuvre par un service d’AEMO. Pour instaurer ce contrat, l’auteur, directeur d’un service, analyse les compétences nouvelles qui doivent être mobilisées par les professionnels. Pour Olivier Dubois, le contrat constitue davantage un moyen de dynamiser une relation entre le service et les familles plutôt qu’une forme d’action radicalement nouvelle. On ne s’étonnera pas alors que l’auteur préconise de développer des compétences dans le champ de l’éducatif, une manière de changer en préservant l’essentiel. 1256

Avant la dépendance, la solitude

David PORCHAIRE, Soutenir les liens sociaux de la personne âgée dépendante par l’amélioration des services dispensés à domicile, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. Institut du travail social. 17 rue Groison, BP 7554. 37075 Tours cedex 2. 2004. 84 p.

4Si la pauvreté a été la question sociale majeure pour les personnes âgées, jusqu’au milieu des années soixante-dix, la dépendance est devenue, un peu moins de trente années plus tard, la préoccupation dominante sur l’agenda politique. De la prestation expérimentale dépendance à l’allocation personnalisée d’autonomie, quelques inflexions existent mais, fondamentalement, le modèle d’action est resté le même. Pour bénéficier d’un service et d’une allocation, la personne doit apporter la preuve qu’elle ne peut plus assurer seule les actes essentiels de son quotidien. Pour mesurer cette dépendance, les services utilisent une grille dont la caractéristique principale est d’être fortement marquée par l’univers médical. En un mot, la dépendance mesurée par la grille AGGIR est surtout physique et mentale mais peu relationnelle et sociale. David Porchaire, mais il n’est pas le premier, critique cette approche et montre que les personnes âgées dépendantes souffrent aussi de la solitude. Solitude familiale, perte rapide du réseau professionnel, densité moindre du réseau amical, l’avancée en âge reste toujours synonyme de perte sociale. Fort de cette analyse, l’auteur, cadre dans un service d’aide à domicile, propose de redonner une dimension d’accompagnement relationnel aux bénévoles qui gèrent souvent ces services et de recentrer les professionnels sur une fonction d’appui technique. Dans cette perspective, on lira avec intérêt la partie du mémoire relatant le début d’une étude de faisabilité d’un service de garde de nuit. 1257

L’insertion par le pain

Laurent HUREZ, Restructurer un chantier d’insertion pour dynamiser et promouvoir l’outil, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS de Lorraine. 41 avenue de la Liberté, Le Ban Saint Martin, 75025 Metz cedex 2. 2004. 88 p.

5À l’origine de ce chantier d’insertion se trouve un projet associatif, généreux et original : collecter du pain non consommé, le transformer en chapelure à l’usage des fabricants d’aliments pour animaux. Les bénéfices devaient aider les habitants d’un village au Mali. Créée en 1986, l’association fonctionna d’abord avec des bénévoles et traitait annuellement 40 tonnes de pain. L’embauche, en 1989, d’un premièr jeune en contrat-emploi solidarité constitue un tournant qui aboutit, une dizaine d’années plus tard, à l’existence d’une structure en bonne place dans le dispositif local d’insertion par l’économique, employant une trentaine de personnes et collectant 350 tonnes de pain soit l’équivalent d’un million et demi de baguettes. Alors tout va bien ? Si l’on considère que la finalité du chantier d’insertion est de permettre à des personnes de retourner sur le marché du travail, la réponse est évidemment négative. Les chiffres fournis par l’auteur de ce mémoire sont éloquents. Sur l’un des sites étudiés, huit des dix bénéficiaires sortis du chantier au cours des quatre dernières années se sont réinscrits au chômage et deux n’ont pas réussi un essai de retour sur le marché de l’emploi. Ces résultats peuvent s’expliquer par un marché local de l’emploi particulièrement atone. Laurent Huez explore une autre piste. Il montre que pour les bénéficiaires de ces contrats, le chantier d’insertion n’est pas vu comme un projet mais comme un travail parmi d’autres, un moment de plus dans une trajectoire de précarité. Analysant cette insuffisance du rôle d’accompagnateur vers l’emploi de ce chantier d’insertion, l’auteur explique ses efforts pour replacer son action dans le jeu local, pour rehausser les exigences de compétences des postes de travail, pour engager des personnes dans une démarche de formation. Il ne s’agit là que d’un changement de direction dont l’impact ne se fera sentir que dans trois ou quatre ans, mais la démarche est prometteuse. 1258

Maisons-relais, maisons services

Christine DUBUIS-BEUSCART, Diversifier l’offre de service du CHRS pour répondre aux besoins spécifiques des femmes victimes de violences conjugales

6Mémoire pour l’obtention du Cafdes. Mémoire pour l’obtention du Cafdes. IRTS Nord - Pas-de-Calais, rue Ambroise-Paré, BP 71, 59373 Loos Cedex. 2004. 87 p. + annexes.

7L’arrivée dans un CHRS après des crises de violences conjugales permet d’abord de se mettre physiquement à l’abri, de se poser et de se reposer, de tenir la peur à distance. Mais bien souvent, la nouvelle situation est très insécurisante. Passé le temps de la rupture, mais dont personne ne sait si elle sera définitive ou momentanée, se posent les questions de logement, d’emploi, de relations aux autres, familles et institutions. Parfois, la police, la justice sont déjà intervenues dans ces violences, d’autres fois, le parcours institutionnels est à entreprendre. Or, ce moment de difficile transition s’effectue dans une institution collective qui possède ses propres contraintes, son règlement. Le risque est alors de voir l’abri se muer en carcan. Peut-on inventer des abris plus souples et moins collectifs ou chacune des femmes accueillies puisse réapprendre à se trouver ? Le social de ces trente dernières années abonde en structures intermédiaires entre établissements et milieux de vie ordinaires. La maison communautaire proposée et mise en œuvre par Christine Dubuis-Beuscart s’inscrit bien dans ce mouvement tout comme la création d’une “plate-forme ressource” sur laquelle se trouvent regroupés de multiples services proposés aux femmes victimes de violence. 1259

Entre vide et trop plein : la qualité

Frédéric HYACINTHE, Mettre en œuvre la démarche qualité pour rénover le projet d’un foyer d’hébergement pour adultes handicapés mentaux, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. BUC RESSOURCES, 1 bis rue Louis-Massotte, 78530 Buc. 2004. 80 p. + annexes.

8Vivre en établissement, social ou médico-social, se résume parfois à s’asseoir au même moment devant les mêmes tables de la salle à manger, ou pire devant le même poste de télévision ou à déambuler dans les mêmes couloirs en attendant une improbable visite ou rencontre qui rendrait le quotidien moins monotone. À l’inverse, certaines institutions comblent la vacuité de ces heures sans objet par une pratique intense de l’animation de groupe. Chorales, ateliers cuivre, dessin ou poterie se succèdent. L’équipe éducative traque les anniversaires et épluche avec vigueur les calendriers en s’interrogeant pour savoir s’il faut marquer la fête nationale du Luxembourg. En règle générale, cet activisme rassure les familles. Il n’est pas certain que les résidants s’y retrouvent toujours. Lorsqu’un nouveau directeur arrive dans un établissement du premier type, sa tâche est claire : faire de la collectivité un antidote contre l’ennui. En revanche, pour Frédéric Hyacinthe qui dirige un foyer d’hébergement du second type, il ne s’agit pas de réduire toute animation, mais d’inventer des espaces d’autonomie, de respiration personnelle. Au-delà de cette réflexion sur le comment vivre en établissement, ce mémoire constitue l’explicitation d’une stratégie astucieuse visant à utiliser la démarche qualité pour se rapprocher le plus d’une intégration en profondeur des prescriptions de la loi du 2 janvier 2002. 1260

Entre justice et travail social

Christian HILAIRE, Créer un service de médiation pénale pour favoriser la régulation sociale et déjudiciarisée des litiges familiaux, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS Nord - Pas-de-Calais, rue Ambroise-Paré, BP 71, 59373 Loos cedex. Novembre 2004. 79 p + annexes.

9Le contentieux pénal à caractère familial qui recouvre principalement l’entrave à l’exercice du droit de visite, l’abandon de famille ou les violences légères de parents entre eux représente 20 % des plaintes d’un parquet de l’importance de celui de Lille. Si le juge aux affaires familiales connaît bien ce type de dossier, en revanche, la procédure pénale est inadaptée lorsqu’il ne s’agit pas de sanctionner un coupable. C’est dans ce contexte que depuis une vingtaine d’années se sont développés des services de médiation rejoignant d’autres services aux limites du judiciaire et du social comme les enquêtes de personnalité, les enquêtes sociales rapides, les enquêtes sociales familiales, les injonctions thérapeutiques, la médiation pénale ou familiale, l’aide aux victimes... Il s’agit à chaque fois, en dehors du procès ou du rituel judiciaire, d’inventer de nouvelles formes de régulation, à la fois plus proches des personnes mais aussi plus globales. Il est symptomatique que le concept de médiation pénale soit apparu dans le cadre de la politique judiciaire de la ville. Le mémoire de Christian Hilaire décrit le montage d’un service de médiation pénale, de l’étude de faisabilité jusqu’aux premières évaluations. 1261

Entre l’exil et l’asile

David COCHU, Adapter la prise en charge des demandeurs d’asile en CADA à la réforme du droit d’asile, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS, 145, avenue Parmentier, 75010 Paris. 2004. 87 p. + annexes.

10Les centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) proposent un hébergement social ainsi qu’un accompagnement administratif et médical à des personnes en attente d’une réponse à leur demande d’asile. Depuis plusieurs années, l’ensemble du dispositif était complètement engorgé avec cinq fois plus de demandeurs que de places disponibles. Les réformes récentes et, en particulier, la loi du 10 décembre 2003 ont entraîné une gestion plus rapide des parcours des demandeurs d’asile. Là où les centres d’accueil devaient surtout accompagner des personnes, ils doivent maintenant gérer des séjours plus courts, préparer des sorties tout en se demandant ce que vont devenir les personnes auxquelles le droit d’asile vient d’être refusé. L’auteur, bon connaisseur du secteur, dirige l’unité territoriale, soit sept établissements, d’une association spécialisée dans le secteur de l’hébergement social qui ne compte pas moins d’une centaine d’établissements. Il montre dans un mémoire d’une grande clarté et très bien documenté que cette fluidité attendue n’est pas au rendez-vous en raison des tensions sur le marché du logement et des délais d’attente, non plus de la décision, mais des documents d’état civil nécessaires pour demeurer sur le territoire français. Une analyse plus fine de la situation des personnes en CADA conduit l’auteur à réfléchir sur l’inflexion nécessaire de cette structure vers une fonction plus importante d’accompagnement vers l’insertion. 1262

  1. La réactivité du local
    1. Ali BENARFA, Contre la marginalisation des jeunes en zone périurbaine : une MJC au cœur d’un réseau de prévention primaire., Mémoire pour l’obtention du CAFDES. CRFPFD, 50 boulevard Deltour, 31500 Toulouse. 2004. 84 p. + annexes
  2. Un travail pour vivre
    1. Jean-Luc PUJOL, Structurer une déontologie de l’accueil en CAT, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. BUC RESSOURCES, 1 bis rue Louis-Massotte, 78530 BUC. 2004. 83 p + annexes
  3. Le contrat dynamique
    1. Olivier DUBOIS, Vers une “contractualisation” de la prestation en AEMO : construire des compétences multipolaires, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS Nord - Pas-de-Calais, rue Ambroise-Paré, BP 71, 59373 Loos cedex. 2004. 82 p.
  4. Avant la dépendance, la solitude
    1. David PORCHAIRE, Soutenir les liens sociaux de la personne âgée dépendante par l’amélioration des services dispensés à domicile, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. Institut du travail social. 17 rue Groison, BP 7554. 37075 Tours cedex 2. 2004. 84 p.
  5. L’insertion par le pain
    1. Laurent HUREZ, Restructurer un chantier d’insertion pour dynamiser et promouvoir l’outil, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS de Lorraine. 41 avenue de la Liberté, Le Ban Saint Martin, 75025 Metz cedex 2. 2004. 88 p.
  6. Maisons-relais, maisons services
    1. Christine DUBUIS-BEUSCART, Diversifier l’offre de service du CHRS pour répondre aux besoins spécifiques des femmes victimes de violences conjugales
  7. Entre vide et trop plein : la qualité
    1. Frédéric HYACINTHE, Mettre en œuvre la démarche qualité pour rénover le projet d’un foyer d’hébergement pour adultes handicapés mentaux, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. BUC RESSOURCES, 1 bis rue Louis-Massotte, 78530 Buc. 2004. 80 p. + annexes.
  8. Entre justice et travail social
    1. Christian HILAIRE, Créer un service de médiation pénale pour favoriser la régulation sociale et déjudiciarisée des litiges familiaux, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS Nord - Pas-de-Calais, rue Ambroise-Paré, BP 71, 59373 Loos cedex. Novembre 2004. 79 p + annexes.
  9. Entre l’exil et l’asile
    1. David COCHU, Adapter la prise en charge des demandeurs d’asile en CADA à la réforme du droit d’asile, Mémoire pour l’obtention du CAFDES. IRTS, 145, avenue Parmentier, 75010 Paris. 2004. 87 p. + annexes.
Mis en ligne sur Cairn.info le 01/06/2008
https://doi.org/10.3917/inso.122.0153
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