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Introduction

1Il y a plus de vingt ans, J.-C. Gardin donnait le nom de « programme logiciste » à un ensemble de recherches visant à clarifier les mécanismes et les fondements des raisonnements pratiqués dans les constructions archéologiques (Gardin, 1980). Véritable manifeste d’épistémologie pratique, ce sont bien les pratiques de raisonnement et non le discours à propos de ces pratiques qui sont analysées (lire en particulier «vers une épistémologie pratique », Gardin, 1981, p. 27-102). Pour ce faire, l’architecture des constructions est restituée sous forme de « schématisation », au sens où le logicien J.-B. Grize a défini ce terme : « des modèles engendrés par un discours en langage naturel » (1974, cité dans Gardin, 1981). Le passage de l’écrit à la schématisation est une réduction, comme dans toute modélisation, mais qui conserve la totalité des éléments constitutifs de la construction cognitive proprement dite, à savoir « la base de données ou base de faits, les conclusions ou hypothèses appuyées sur cette base, et les opérations logico-discursives qui relient ceci à cela, dans le sens ascendant ou descendant » (Gardin, 1999, p. 3).

2L’une des implications forte du programme logiciste touche aux débats actuels sur la crise des publications en sciences humaines (Gardin, 1998, 1999, 2003). Cette crise peut être rapportée au phénomène de surproduction de nos publications, où la surproduction se mesure à « l’écart qui se creuse entre le volume des publications qui paraissent d’année en année dans nos domaines respectifs de recherche et le temps dont nous disposons pour consommer cette production » (Gardin, 1999, p. 1). La réponse logiciste est dans les schématisations qui se présentent sous forme d’arborescences et qui ont, en effet, une valeur synoptique sans conteste pour évaluer rapidement le bien-fondé et le bien-formé d’une construction. De ce point de vue, elles répondent directement au problème de consommation du volume croissant des publications scientifiques. Toutefois, leur lecture critique nécessite la consultation complémentaire des paraphrases destinées à la compréhension des enchaînements d’idées ou encore de celle des bases de faits sur lesquelles repose la construction. Les schématisations et leurs allers-retours avec des textes en langue naturelle impliquent alors des pratiques de lecture si radicalement nouvelles que l’effort demandé est globalement rejeté et qu’elles sont restées jusqu’à ce jour impopulaires (nonobstant les réticences épistémologiques maintes fois évoquées dans les publications de J.-C. Gardin).

3Le développement des NTIC permet désormais de re-considérer la présentation des schématisations logicistes. En effet, en les mettant en scène sur multimédia, il devient possible d’organiser leur consultation selon des ergonomies proches de nos habitudes de lecture, ceci, en particulier, par une intégration des paraphrases et des bases de faits aux différentes propositions de la construction. La réponse logiciste à la crise des publications s’en trouve renforcée. Il s’ensuit aussi des retombées sur les pratiques éditoriales, où le terme pratique s’applique d’une part aux procédures de publication (ré-écriture des textes), d’autre part à la répartition des supports de publication en fonction du genre de nos textes (récit versus modèle), enfin aux prolongements des publications scientifiques que l’on peut diriger vers des bases de connaissances éditées selon le même modèle.

Du logicisme au format SCD

4Dans une schématisation logiciste, on distingue :

  • les propositions initiales ou P0, qui peuvent être des données descriptives, de référence, ou encore, des données comparées ;
  • les propositions intermédiaires, qui sont des inférences faites à partir des propositions initiales et qui relient ces dernières à la proposition terminale ;
  • la proposition terminale issue de propositions antérieures.
Dans une arborescence logiciste, les propositions initiales sont en bas du schéma, tandis que la proposition terminale est en haut, reliée par les propositions intermédiaires. D’un point de vue formel, les schématisations montrent ainsi une « pyramide d’inférences » qui permet de suivre, selon un ordre vertical (ascendant ou descendant), l’enchaînement progressif des propositions élaborées dans la construction (figure 1).

Figure 1

Arborescence logiciste qui livre bases de faits et opérations logico-discursives permettant de passer des bases de fait à la proposition finale

Figure 1

Arborescence logiciste qui livre bases de faits et opérations logico-discursives permettant de passer des bases de fait à la proposition finale

5Envisageons maintenant un ordre qui ne soit pas vertical, mais horizontal. Le schéma logiciste disposé à l’horizontal indique sur la gauche une colonne de propositions initiales mobilisées par la construction, et à droite la proposition terminale. Les propositions initiales peuvent être regroupées par bloc thématique (exemple, classification morphologique, données pétrographiques, données chimiques, etc.), le bloc lui-même pouvant être nommé et constituer une « entrée » à un ensemble de propositions initiales. Les propositions intermédiaires, qui relient les propositions initiales à la proposition terminale, peuvent également faire l’objet de regroupement en fonction de leur niveau dans la construction (P1, P2, P3 …), le niveau lui-même constituant « l’entrée » aux propositions correspondantes (figure 2).

Figure 2

Représentation horizontale des arborescences logicistes et regroupement des propositions par bloc thématique ou par niveau dans la consctruction

Figure 2

Représentation horizontale des arborescences logicistes et regroupement des propositions par bloc thématique ou par niveau dans la consctruction

6Les arborescences horizontales ne sont pas en soi plus efficaces que les verticales. Toutefois, elles présentent un caractère singulièrement opérant pour une mise en scène sur support multimédia. En effet, celle-ci va consister d’une part à organiser sur écran les différentes colonnes de propositions, d’autre part à intégrer paraphrases en langage naturel et bases de faits. Cette mise en scène multimédia de la ré-écriture logiciste a été élaborée en collaboration avec Ph. Blasco à l’occasion de la publication sur cédérom de l’ouvrage Cornaline de l’Inde (Roux, 2000). Elle est appelée « format SCD » (Scientific Construct and Data).

Description du format SCD

7Le format SCD a été conçu pour un environnement multimédia de lecture interactive. Il propose quatre écrans de lecture, la priorité étant donnée, en matière d’ergonomie, à la rapidité de consultation, la minimisation des clics et de l’effort de compréhension de l’interface. Chaque écran correspond à un niveau de consultation, plus ou moins détaillé, de la construction scientifique. Les deux premiers écrans (figure 3) permettent la consultation de l’ensemble des propositions (initiales, intermédiaires et finales). Les deux suivants permettent de consulter les détails et antécédents des propositions ainsi que les bases de faits mobilisées (figure 4).

Figure 3

Écrans 1 et 2 du format SCD ici juxtaposés : à gauche le sommaire qui désigne les blocs de propositions, à droite les propositions contenues dans l’un des blocs de propositions initiales

Figure 3

Écrans 1 et 2 du format SCD ici juxtaposés : à gauche le sommaire qui désigne les blocs de propositions, à droite les propositions contenues dans l’un des blocs de propositions initiales

Figure 4

Écran 3 de consultation de la proposition. Sur la gauche apparaissent les données prises en compte par la proposition. Elles sont interactives et donnent accès à un 4e écran où sont livrées la totalité des données

Figure 4

Écran 3 de consultation de la proposition. Sur la gauche apparaissent les données prises en compte par la proposition. Elles sont interactives et donnent accès à un 4e écran où sont livrées la totalité des données

8– 1er écran – Sommaire

9Le premier écran correspond à un sommaire général qui liste les principaux blocs regroupant les propositions de la construction. Dans le cadre des propositions initiales, le contenu thématique des blocs est nommé (données observées, comparées, de références, méthodologiques …). Dans le cadre des propositions intermédiaires, les blocs nomment les différents niveaux de propositions (propositions P1, P2, P3 …).

10– 2e écran – Lecture rapide des propositions

11Le second écran permet une lecture rapide des différentes propositions contenues dans chaque bloc. En d’autres termes, le second écran permet la consultation rapide de l’ensemble des propositions qui organisent la construction scientifique. Dans le cas des propositions initiales, les propositions peuvent également décrire des données générales qui n’entrent pas dans la construction mais jugées importantes dans la compréhension du sujet de l’étude, de même que des principes méthodologiques.

12– 3e écran – Consultation des propositions

13Le troisième écran développe les propositions (figure 4). Il comporte, au-dessous de la proposition, un commentaire, agrémenté d’une illustration, qui paraphrase le contenu de la proposition ou apporte un complément d’informations. Pour les propositions initiales, sont détaillés sur la gauche les faits décrivant la proposition. Par exemple, dans le cas d’une typologie d’objets, la proposition générale de classification est enrichie de la liste des différents types d’objets. Dans le cas des propositions intermédiaires, ce sont les propositions antécédentes qui sont listées sur la gauche, indiquant ainsi les opérations logico-discursives pratiquées.

14– 4e écran – Les séries de données

15Le quatrième écran donne accès aux séries de données mobilisées par les propositions initiales ou aux propositions antécédentes mobilisées par les propositions intermédiaires. Il livre également un commentaire qui décrit les données affichées.

Caractéristiques du format SCD

16Il s’agit d’un format de lecture rapide qui doit permettre d’absorber au mieux le nombre énorme de publications que tout champ de recherche doit prendre désormais en considération. Cette lecture rapide porte tant sur les résultats que sur la construction suivie pour aboutir à ces résultats. Son contenu informatif est très supérieur à celui que l’on peut trouver dans les résumés. En outre, le traitement multimédia accroît considérablement la vitesse de compréhension de l’information.

17Il s’agit ensuite d’un format qui assure la lisibilité de nos pratiques scientifiques. En effet, les ré-écritures logicistes accroissent la lisibilité des raisonnements. Cette lisibilité est une forme d’appareil critique donné au lecteur pour évaluer le bien-fondé des constructions ; à une époque où les sciences humaines et sociales se doivent de justifier le bien-fondé de leurs approches, cet appareil critique est salutaire. C’est également un garant du transfert des connaissances scientifiques tant au sein d’une communauté qu’auprès d’autres disciplines, point particulièrement crucial à une époque où les projets interdisciplinaires nécessitent des dialogues méthodologiques parfois difficiles à mettre en œuvre.

18Il s’agit aussi d’un format favorisant un usage didactique, ceci de deux points de vue : celui de l’apprentissage du raisonnement scientifique (ici dépouillé), et celui de la formation à des outils analytiques originaux, ceci grâce à l’accès aux bases de données (par exemple, bases d’images de micro-traces de polissage des perles permettant d’apprendre à identifier des techniques de polissage).

19Il s’agit, enfin, d’un format qui permet d’une part l’accès à la totalité des bases de faits, d’autre part leur auto-archivage. Le lecteur est ainsi en mesure de vérifier les résultats proposés, ce qui n’est pas toujours le cas avec les publications actuelles. L’archivage des données par le chercheur revient à les livrer et les organiser relativement aux constructions scientifiques. L’avantage réside dans le système d’interrogation des données qui est guidé par les opérations à l’origine de leur organisation.

De nouveaux « objets » éditoriaux

20Prôner une ré-écriture logiciste de nos textes scientifiques et leur publication au format SCD sur support multimédia, ne signifie pas pour autant renoncer à des textes discursifs publiés dans des ouvrages sous forme traditionnelle. Les vertus de la schématisation et du discursif peuvent, au contraire, être affirmées dans leur distinction et leur complémentarité. De nouveaux « objets » éditoriaux sont envisageables.

21Dans cette perspective, une collection s’est ouverte co-éditée par les éditions de la MSH et les éditions Épistèmes : la collection « Référentiels ». Le produit éditorial se compose d’un ouvrage court de moins de 100 pages et d’un cédérom présentant une ré-écriture logiciste de la construction scénarisée selon le format SCD (voir le premier ouvrage de la collection : Gelbert, 2003). L’ouvrage est dévolu à une présentation générale de l’étude, des principes méthodologiques suivis, des principaux résultats obtenus ainsi que des perspectives de recherche envisagées, que ces perspectives énoncent des hypothèses plausibles ou s’inscrivent dans des débats théoriques d’ordre historique ou méthodologique. L’auteur y exprime sa verve littéraire et la puissance de ses idées au regard d’un état de la question. Le texte est volontairement de style narratif.

22La complémentarité de l’ouvrage et du cédérom rejoint la séparation faite entre les textes à vertu narrative et les textes à vertu scientifique, entre le modèle et le récit (Grenier et al., 2001). Les premiers, contrairement aux seconds, ne sont pas destinés à présenter des constructions organisées selon les règles logico-sémantiques constitutives d’un domaine de recherche donné. Ils n’ont pas caractère à être soumis aux procédures de validation des constructions scientifiques. Ils ont, avant tout, une vertu d’évocation, parfaitement légitime lorsqu’ils accompagnent des résultats dont le contenu s’insère, nécessairement, dans des débats scientifiques ou méthodologiques élargis.

Des prolongements éditoriaux : la constitution de bases de connaissances

23La procédure de publication au format SCD propose sur la base d’une analyse épistémologique solide (le logicisme) et selon un paradigme computationnel (séparation de la base de données et des formules de ré-écritures), une méthodologie de décomposition des textes en « fragments documentaires » (S. Lainé-Cruzel, 2000) qui rend possible l’utilisation de tels textes dans des documents recomposés, qu’il s’agisse de la possibilité d’éditer les niveaux hauts du format SCD comme des résumés fortement structurés (écrans 1 et 2), les niveaux bas comme des bases de données (écran 4), ou les niveaux intermédiaires (propositions et antécédents) comme des éléments de bases de connaissances (écran 3).

24Par base de connaissances, on entend (Gardin et al., 1987) :

  • un savoir dit factuel, qui consiste en données d’observation propres au domaine considéré, recueillies dans une intention scientifique ou technique précise (formation ou vérification d’hypothèses, résolution de problèmes, etc.) ;
  • un savoir que l’on peut appeler opératoire, par symétrie, formé de règles de raisonnement les unes particulières au même domaine, les autres recevables dans un univers de références plus large (par exemple, les règles dites du «sens commun»).
« Opérations » et « faits » sont ici deux formes de savoirs qu’il s’agit de conjuguer pour produire ou reproduire des constructions scientifiques. Dans le cas de « textes » au format SCD, cette décomposition est clairement établie par l’auteur et ces faits et opérations d’inférence sont autant de « fragments documentaires » clairement organisés et mémorisés. Il est dès lors aisé d’imaginer la constitution de bases de connaissances thématiques par enrichissement progressif au fur et à mesure des publications.

25À l’heure actuelle, il n’existe pas de base de connaissances en sciences humaines et sociales. Toutefois, il est possible désormais de les envisager à partir de la démarche décrite ici. De telles bases de connaissances permettront à un scientifique de faire rapidement l’état des connaissances dans un champ de recherche. Elles permettront également un cumul des connaissances dont l’impact en termes de dynamique de la recherche devrait être considérable.

Conclusion

26Le format Scientific Construct and Data est un exemple opérationnel de mise en œuvre d’une méthodologie de réécriture – décomposition de textes en « fragments documentaires » – et d’édition structurée de tels documents. Les procédures de publication font l’objet d’études ergonomiques auprès des auteurs et des lecteurs [1]. L’expérience menée avec le lancement de la collection « Référentiels » sera étendue, dans le courant de l’année 2004, à l’édition d’une revue scientifique (également co-éditée par les éditions de la MSH et les éditions Épistèmes ; voir le site : [http://www.arkeotek.org]), ainsi qu’à l’élaboration de bases de connaissances thématiques dans le domaine de l’archéologie des techniques [2].

Notes

  • [1]
    Programme CNRS «Écrit, nouvelles technologies, communication et cognition », sous la responsabilité de P. Salembier (Irit-Gric, Toulouse).
  • [2]
    Programme CNRS «Archivage et patrimoine documentaire. Apports des sciences de l’information et de la cognition », sous la responsabilité de N. Aussenac-Gilles (Irit-CSC, Toulouse).
Français

Le programme logiciste, préconisé par J.-C. Gardin, propose de restituer l’architecture de nos constructions scientifiques sous forme de schématisations. Ces schématisations sont des arborescences où sont énoncées les principales composantes de nos constructions, à savoir les bases de faits, les conclusions et les propositions intermédiaires reliant les premières aux secondes. Lorsqu’elles sont jouées sur multimédia et mises en scène sur 4 écrans selon le format SCD (Scientific Construct and Data), elles permettent d’envisager de nouvelles pratiques éditoriales qui sont une réponse puissante à la crise des publications en sciences humaines et sociales.

Mots-clés

  • logicisme
  • crise des publications
  • outil de lecture rapide
  • archivage
  • bases de connaissance
  • fragments documentaires
  • DTD (Document Type Definition)

Références bibliographiques

  • Gardin, J.-C., « Archaeological discourse, conceptual modelling and digitalisation : an interim report of the logicist program », in Doerr, M., Sarris, A. (dir.), Computer Applications and Quantitative Methods in Archaeology. Proceedings of the 30th Conference. Heraklion, Crête, avril 2002, Héraklion, Archive of monuments and publications, Hellenic Ministry of Culture, 2003, p. 5-12.
  • Gardin, J.-C., La Surproduction des publications en sciences humaines : ses rapports avec la question du mélange des genres, document de travail MSH, publié dans le cadre du séminaire « Le Modèle et le Récit », 1999.
  • Gardin, J.-C., « Cognitive issues and problems of publication in archaeology », in Hensel, W., Tabaczynski, S., Urbanczyk, P. (dir.), Theory and Practice of Archaeological Research, Warszawa, Institute of Archaeology and Ethnology, Committee of pre- and protohistoric sciences, Polish Academy of Sciences, 1998, p. 65-113.
  • Gardin et al., Systèmes experts et sciences humaines, Paris, éditions Eyrolles, 1987.
  • Gardin et al., La Logique du plausible, Paris, éditions de la MSH (2e édition 1987), 1981.
  • Gardin, J.-C., Archaeological Constructs, an Aspect of Theoretical Archaeology, Cambridge, Cambridge University Press and éditions de la Maison des sciences de l’homme. Adaptation française : 1979. Une Archéologie théorique, Paris, Hachette, 1980.
  • Gelbert, A., Traditions céramiques et emprunts techniques dans la vallée du Fleuve Sénégal, Paris, éditions de la MSH/Épistèmes, cédérom bilingue inclus, 2003.
  • Grenier, J.-Y., Grignon, C., Menger, P.-M. (dir.), Le Modèle et le récit, Paris, éditions de la MSH, 2001.
  • Grize, J.-B., « Logique mathématique, logique naturelle et modèles », in Sciences humaines et formalisation, Jahresbericht der Schweizerischen Geisteswissenschafklichen Gesellschaft, 1974, p. 201-207.
  • En ligneLainé-Cruzel, S., Guinet, E., « Fragmentation et enrichissement de textes scientifiques sous forme électronique », L’Indexation, Hermès Science publications, document numérique, Paris, Lavoisier, vol. 4, n° 1-2, 2000, p. 59-84.
  • En ligneRoux, V. (dir.), Cornaline de l’Inde. Des pratiques technique de Cambay aux techno-systèmes de l’Indus, Paris, éditions de la MSH, 2000.
Valentine Roux
Directeur de recherche, directrice du laboratoire de préhistoire et technologie, CNRS.
Avec la participation de 
Philippe Blasco
Éditeur, éditions Épistèmes.
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Mis en ligne sur Cairn.info le 11/11/2013
https://doi.org/10.4267/2042/9477
Pour citer cet article
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