CAIRN.INFO : Matières à réflexion

1Le bon sens voudrait que sémiotique et communication soient solidaires. Conçue comme activité symbolique, la communication est un théâtre permanent de signes. Décrire et comprendre cet univers a pour avantage de privilégier le sens au sein de la communication. En retour, les Sic progressent dans la compréhension de processus complexes, où les questions d’image, d’identité, de relation, secouent les illusions du premier âge sémiotique : le pouvoir absolu du code, du système, de l’arbitraire.

2La sémiologie s’est d’abord tournée vers la linguistique, sa séduction formelle et sa richesse conceptuelle, alors que le champ des Sic n’était pas encore balisé. Dans cet appariement, certains ont vu, moins un besoin de clôture, qu’une coupure épistémologique avec les modèles de communication en construction. Au moment où la communication s’édifiait, au-delà des postulats structuralistes sur le langage, on pouvait craindre que la sémiologie ne restât prisonnière de son choix, voyant des signes partout mais jamais en dehors du modèle structural du langage.

3En privilégiant cette approche, la sémiotique ne s’est pas coupée de la communication, mais s’est isolée aux confins des systèmes langagiers. Il est facile, avec le recul, de pointer les limites d’une telle approche, avec ses effets délétères, notamment la réduction de la compétence sémiotique à des opérations linguistiques et immanentes. Mais il n’est pas moins utile de mesurer le rendement théorique et heuristique d’une telle approche, qui a donné à la sémiotique des fondations solides à l’égard du sens en communication.

4Cette posture structuraliste, qui influence d’entrée les relations entre sémiotique et communication, ne peut laisser croire qu’elles se sont figées autour de quelques postulats linguistiques. La confrontation des systèmes de base à des dimensions pragmatiques, discursives, énonciatives, a déjà constitué un pas sémio-linguistique et plus encore socio-sémiotique en direction de la communication. Si le discours sémiotique paraît s’enfermer dans ses options linguistiques, l’horizon du signe ramène toujours à l’espace symbolique de communication. Centrée d’abord sur le message et sur le code, à l’image des théories de l’information, la sémiotique fera, au fond, le même trajet que la communication en direction de variables intersubjectives, contextuelles, sociales et pragmatiques. Dans les limites de cet article, nous voudrions revenir sur les points de croisement entre sémiotique et communication, tout particulièrement dans les représentations formelles qu’en donnent les Dictionnaires et les ouvrages d’Introduction aux disciplines.

5On peut voir un malentendu d’origine dans les positions qui s’affichent, chacun procédant par réduction : une communication rabattue sur des messages linguistiques par la sémiotique et, inversement, une sémiotique vue par la communication sous l’emprise du système. Suit un parcours croisé, fait d’embûches mais aussi d’attentes, à mesure que sémiotique et communication se rejoindront sur le primat du sens, non dans une simple transmission mais dans une relation symbolique où le sujet individuel ou collectif met en jeu son image, son identité, ses valeurs.

Regards de la communication sur la sémiotique

6Avant de discuter les relations, à la fois manifestes et opaques, entre sémiotique et communication, le plus simple est de voir ces relations définies et reconnues à travers ces formes de légitimation que sont Dictionnaires et Manuels.

7Le moins que l’on puisse dire est que la sémiotique est froidement accueillie dans les sources de référence en communication. Cela va jusqu’à la mise à l’écart, comme dans le Dictionnaire critique de la communication (Sfez, 1993), où l’on cherche en vain dans l’index les notions de signe, de code, de structure, de sémiologie ou de sémiotique, alors que les connexions avec les linguistiques, la psychologie sociale ou cognitive, l’anthropologie sont bien établies. Il est bien question, çà et là, de la communication symbolique, mais pour mieux accuser les risques de « tautisme » par confusion du signe et du symbole, sans mesurer « que la fonction symbolique précède les signes qu’elle lie » (Sfez, 1993, p. 1628). Mais la sémiotique reste étrangère au débat : elle faisait déjà figure, dans la Critique de la communication (1988), de « machine » représentative, au même titre que la théorie de l’information, l’une faisant transiter du signe, l’autre du signal, dans une relation « linéaire » et « mécanique » entre émetteur et récepteur. Une métaphore qui fonctionne encore mieux si l’on opère, de surcroît, une réduction au linguistique et une réification des pôles de transmission, alors que la sémiotique place la compétence et, donc, un savoir-faire « en puissance », au seuil de toute modélisation de la communication.

8Dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences de l’information et de la communication (Lamizet et Silem, 1997), on trouve des articles de bonne longueur, intitulés « Sémiologie ou Sémiotique » (p. 505-507) et « Sémiotique et mercatique » (p. 507-512). Le premier s’attache à des fondements théoriques, en se limitant à Saussure et Barthes comme précurseurs modernes, sans pour autant réduire la sémiotique à une posture linguistique : « Avec le développement des moyens de communication non linguistiques, la sémiotique, en tant que réflexion sur les systèmes de signes ou de significations, s’est affranchie de la réflexion linguistique et a créé ses propres outils » (p. 506). Pourtant, dans la suite de l’article, on s’en tiendra essentiellement à la linguistique structurale (Saussure, Hjelmslev), avant d’aborder les outils de l’analyse sémiotique et leurs applications à travers des questions de langage, de narrativité, de discours.

9Dans l’article « sémiotique et mercatique », la sémiotique est d’ailleurs définie comme « discipline linguistique », ce qui n’est pas sans introduire une contradiction avec ce qui précède. Mais, cette fois, on se place sur le versant « opérationnel » de la sémiotique. L’article intègre la sémiotique « à chacune des trois étapes du processus de prise de décision » (p. 510): comprendre et structurer un marché (observation, description, généralisation des discours et des attitudes), formuler une offre (parcours génératif de la signification) et la mettre en place (valeurs et programmes d’action des consommateurs). Il s’agit d’une application du modèle structuraliste. Mais, à l’intérieur du Dictionnaire, des ouvertures sémiotiques à Peirce (p. 428), à la sémiotique de la représentation (p. 475), ou à des territoires plus discrets comme la sémiotique du complot (p. 145), renvoient à une conception dynamique, non figée, des théories et des pratiques sémiotiques.

10La même opposition, entre des représentations figées, de la sémiotique sur la linguistique ou la théorie de l’information, et des approches plus élargies, composant avec différents modèles et des objets ou des champs variés, se retrouve dans les manuels ou les ouvrages d’Introduction à la communication.

11À cet égard, la position de Daniel Bougnoux (1993), est sans ambiguïté : « Si nous plaçons la sémiotique en tête de nos sciences de l’information et de la communication, c’est qu’il est capital sans doute d’avoir pris ce tournant (le fameux linguistic turn), mais tout aussi capital d’en sortir ! Ce paradigme est à consommer avec modération » (p. 101). Et de stigmatiser une certaine « ratiocination sémiotique et structuraliste » se refermant sur elle-même, comme un code clos sur les signes, au lieu de s’ouvrir aux conditions pragmatiques de l’échange. Les réserves exprimées ici ne prennent cependant pas la forme du procès, tant la sémiotique fait retour dans les écrits de Bougnoux lui-même, à travers une vision sémiurgique de la communication, y compris dans les franges primaires ou indicielles de la relation, mêlées d’affects, d’empathie (Bougnoux, 1991).

12En d’autres occasions, la sémiotique trouve une place non seulement légitime mais reconnue dans toute son « extension », à l’image du texte de cadrage de Bernard Darras (1995). Peirce et Hjelmslev y apparaissent de façon très disproportionnée, largement à l’avantage des conceptions triadiques sur le signe (représentamen-objet-interprétant). Il n’est pas exagéré de dire que l’étudiant bien intentionné sera vite découragé par le lacis des définitions en chaîne des sous-classes de signes, par le treillis des signes remontant de la priméité à la tiercéité, par le déroulement en boucles de la sémiose infinie. Une opacité théorique qui contraste avec les deux chapitres d’encadrement sur la communication interculturelle et l’information documentaire. Toutefois, avec un peu d’attention, notre étudiant aura retenu que tout message met en jeu des constituants, des traits pertinents en fonction du cadre d’expérience ou de représentation, une coopération interprétative, des effets de contexte, des règles d’usage, des formes de légitimation, autant d’éléments qu’un Umberto Eco, Lector in Fabula (1979, 1985) au meilleur de sa forme, ne saurait renier.

13En consultant dictionnaires et manuels d’Introduction à la communication, on ne peut donc s’empêcher d’avoir un sentiment mitigé sur la place réservée à la sémiotique. On lui reproche son logocentrisme, on s’égare dans les méandres de la phanéroscopie, on cherche à la rendre opératoire, et de cette diversité même naît parfois la confusion. Entre la transparence de l’outil qui s’applique à tout, au risque d’instrumentaliser la communication, et l’opacité d’un métadiscours en surplomb, cette approche suscite autant d’attirance que de défiance. Il faudra pourtant compter avec l’obsession du décryptage, dans la publicité, les médias, la politique ou l’entreprise, comme attirance toujours plus marquée pour le signe en société.

Regards croisés : de la sémiotique à la communication

14Inversons maintenant la perspective, de la sémiotique à la communication. Un premier écueil est l’anachronisme. Le modèle interprétatif de Peirce, triadique (signe-objet-interprétant) et pragmatique (un signe est ce qu’il fait, en action, en contexte), n’est pas étranger aux « objets » ou aux situations de communication. Mais le projet philosophique de Peirce, sa réflexion phénoménologique sur les signes (mots, phrases, tableaux, raisonnements, etc.) ne saurait entrer dans ce jeu croisé des regards entre sémiotique et communication, alors que les cadres théoriques et disciplinaires n’existaient pas encore.

15Ce n’est donc pas du côté de la théorie peircienne mais chez Greimas lui-même que nous irons chercher nos premières définitions sémiotiques de la communication. Grâce, notamment, au sommaire de Communications, les théories dites de l’information (Moles, 1971) et la cybernétique (Moles, 1973) sont des modèles connus des structuralistes. S’ils en retirent des conceptions théoriques de l’information et, par généralisation, de la communication, les sémioticiens en gardent néanmoins une vision linéaire et mécanique. Schématisation commode pour s’appuyer sur un modèle de transmission et prendre, dans le même temps, sa distance avec ce modèle télégraphique.

16Une attitude facilement repérable dans le tome I du Dictionnaire Raisonné de la théorie du langage (Greimas et Courtès, 1979). L’article Communication y tient une place importante, avec neuf entrées qui sont autant d’indices sur les conceptions défendues à la date de parution. De façon significative, l’article fait d’abord référence au schéma de Jakobson et au dépassement de son modèle émissif/réceptif par « d’autres manières de concevoir la transmission (souligné par nous) du savoir, particulièrement quand celui-ci est modalisé: tel est le cas du faire persuasif et du faire interprétatif, qui relèvent, plus que de la communication, de la manipulation » (p. 45); ce qui conduit précisément à critiquer le fonctionnalisme d’une théorie de la communication « prenant en quelque sorte le point de vue externe » de cette transmission, pour reconnaître dans la théorie des actes de parole (Austin, Searle) une ouverte pragmatique qui dépasse « la limite de la simple communication en s’intéressant à ses conditions d’exercice ». En suivant l’article, il faut alors progresser vers le concept d’échange et la conception d’un axe non plus de transmission (qui caractériserait la théorie de la communication) mais de communication, au sens anthropologique, qui est « celui de l’action sur les autres hommes, créatrice des relations intersubjectives, fondatrices de la société ». Ce double mouvement, cognitif (savoir) et pragmatique (faire), « d’humanisation » de la communication ne permet plus de traiter le destinateur et le destinataire « comme des positions vides d’émetteur et de récepteur » mais comme « des sujets compétents, saisis à un moment de leur devenir, inscrits chacun dans son propre discours ». Cela porte à concevoir le destinateur comme un « acteur syncrétique », à la fois énonciateur et énonciataire de son propre discours. On peut alors s’aventurer vers la notion de communication non pas simplement « reçue » mais « assumée » où « la communication est moins, comme on se l’imagine un peu trop vite, un faire-savoir, mais bien plutôt un faire-croire et un faire-faire ». La situation devient plus complexe encore lorsque le « faire communicatif » installe un observateur et dédouble la situation de communication, à la fois performée et représentée, ce qui relève « non seulement de la problématique de la sémiotique théâtrale, mais, plus largement, de la dimension spectaculaire de nos cultures et de nos signes, encore mal connue et mal abordée ».

17Nous sommes en 1979, et tous les développements ultérieurs de la sémiotique donneront crédit aux intuitions exprimées dans cet article, dont nous avons voulu reprendre les clés d’entrée : linguistique, discursive, pragmatique, anthropologique. Des entrées théoriques, épistémiques, d’autant plus nourries qu’elles se démarquent d’une théorie de la communication figée alors dans le paradigme de la transmission. Face à des procès d’intention contre une sémiotique de l’immanent, des perspectives se dessinent très tôt en direction de « sujets de faire » compétents, mis en contexte, dans des conditions pragmatiques précises, en assumant un rôle, en fonction d’attentes et selon des relations intersubjectives complexes.

18Ce qui est posé alors comme problématiques par le Dictionnaire Raisonné, d’exigence sémiotique non réductible à la « communication », va précisément tracer des lignes de fondation en sciences de l’information et de la communication, à l’image de chercheurs comme Jost (2001), Lochard et Soulages (1998), Odin (2000), qui travailleront sur les notions de faire énonciatif, interprétatif, de contrat, de discours, d’implicite, déjà présentes, pour partie, dans les renvois de l’article « communication ». Toutefois, malgré la disposition du Dictionnaire Raisonné à fournir des entrées pragmatiques, on ne peut dire qu’il se libère totalement des deux pièges réductionnistes : l’attention prioritaire au message, plutôt qu’aux conditions de sa négociation et au linguistique, plutôt qu’au caractère multimodal de la communication.

19Ce premier cadrage, à l’évidence réducteur, trouve de nouveaux angles, dans le tome II du Dictionnaire Raisonné, en 1986. Là encore, il faut rendre justice au travail de fondation de Greimas et Courtès, plus ouvert qu’il n’y paraît à l’égard de la communication. Au-delà des dimensions énonciatives, pragmatiques et même stratégiques, le tome II procède à des nombreuses réévaluations et actualisations dont le gain pour la communication ne peut être sous-estimé.

20Beaucoup d’articles pourraient être ici convoqués. Mais, alors que les notions d’information et de communication font l’objet, dans le tome II, de « compléments » minimes, les ouvertures qui nous concernent apparaissent en des termes moins explicites. Le plus significatif, pour la communication, nous renvoie aux entrées : intersémioticité ; syncrétiques (sémiotiques) ; socio-sémiotique.

21En fait, les trois entrées sont liées. L’intersémioticité permet d’entrevoir que la communication opère par « bricolage » (Lévi-Strauss) sur un monde référentiel déjà sémiotisé : « La communication intersubjective est rendue possible par la superposition, à l’échange des messages linguistiques, d’un savoir socio-culturel commun garantissant, entre les partenaires, une interprétation suffisamment isotope du contexte extralinguistique (mais non extra-sémiotique) à l’intérieur duquel la communication prend place et fait sens » (II, p. 119). Le terrain est donc préparé à ce qui va intéresser la communication en termes de cadre d’expérience, de règles implicites, d’ordre interactionnel invisible (Goffman), à la confluence de la sémiotique et de l’anthropologie en communication (Winkin, 1996).

22Les sémiotiques dites syncrétiques vont alors s’intéresser, au-delà de l’énonciation verbale, à des « procédures » et des « stratégies » qui se manifestent dans plusieurs langages de manifestation (visuelle, sonore, gestuelle, etc.) et dont le plan de l’expression se caractérise « par une pluralité de substances pour une forme unique » (II, p. 218).

23On note aussi la direction socio-sémiotique qui est donnée, même si le tome II du Dictionnaire Raisonné (1986) attend encore « que le projet socio-sémiotique se confirme » (II, p. 207), sachant que « la grande question posée au socio-sémioticien serait alors de rendre compte de ce que nous faisons pour que le social (ou le politique, etc.) existe en tant que tel pour nous : comment nous en construisons les objets et comment nous nous y inscrivons en tant que sujets parlants et agissants » (II, p. 207). On peut considérer que les travaux de Bernard Lamizet en sémiotique politique (Lamizet, 1998), d’Eric Landowski sur l’identité (Landowski, 1997) ou d’Andréa Semprini sur la socio-sémiotique des médias (Semprini, 1996), ont apporté de précieux éléments de réponses à ces problématiques.

24Mais si la sémiotique a pu sortir de l’immanentisme et du logocentrisme, ce n’est pas en sautant directement sur les rives du social. Il est un territoire où les enjeux sémiotiques ont été particulièrement forts, questionnant les relations à la communication. Ce territoire, c’est celui de l’image, des images, tant il est vrai que le concept doit être affiné (Esquenazi, 1997). Il marquait la coupure avec le logocentrisme, mais avec un autre risque : suivre, avec l’image et le visuel, la pente de l’esthétique et des arts plastiques, et rater, une fois encore, le rendez-vous avec la communication.

25Mais on sait qu’à la faveur de plusieurs tournants, linguistiques, pragmatiques, communicationnels, les choses n’en resteront pas là. Il a fallu que la communication reconnaisse les « avancées de la sémiotique » (Sebeok, 1994), à mesure que les différentes « générations sémiotiques » (Veron, 1983) sortaient de l’immanentisme pour aller vers des problématiques de communication. À la faveur des recherches ouvertes de part et d’autre sur la complexité, les processus, les dispositifs, les questions de médiation, de signification, d’interprétation n’ont cessé de créer des ponts, visibles et invisibles, entre les différentes approches de la sémiotique et de la communication. Au-delà des messages, il s’agira de composer avec des usages, de voir du sens au-delà des signes. Signes et images qui sont notre ombre projetée sur la scène sociale, dans cette fiction d’un monde possible que nous construisons à chaque interaction.

Français

Les relations entre sémiotique et communication partent d’un malentendu quand, dès les années 1960, la sémiotique se fige sur le schéma linéaire de la communication et, qu’en retour, la communication voit dans la sémiotique un système trop fermé sous l’autorité du signifiant. Dictionnaires et ouvrages d’Introduction portent la trace de ce malentendu d’origine mais aussi de son dépassement, afin de ne pas manquer ce rendez-vous interdisciplinaire.

Mots-clés

  • sémiotique
  • communication
  • sens
  • processus
  • modèles

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Jean-Jacques Boutaud
Université de Bourgogne
Jean-Jacques Boutaud, professeur en information-communication à l’université de Bourgogne. Directeur du Limsic et de la Mission doctorale.
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Mis en ligne sur Cairn.info le 12/11/2013
https://doi.org/10.4267/2042/9431
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