CAIRN.INFO : Matières à réflexion

1Ce numéro d’Hermès est centré sur une discipline. Il s’attache à un exemple particulier, celui des Sciences de l’information et de la communication (couramment nommées Sic, sigle retenu ici, ou Infocom) discipline universitaire française créée en 1974. La démarche qu’on a été amené à suivre pour atteindre le résultat que voici a reposé sur un questionnement triple. Que sait-on des disciplines ? Que peut-on dire d’elles ? Comment parler d’une discipline particulière ? Sur ces trois points, cette introduction voudrait éclairer sa genèse et son projet, en expliquant les choix éditoriaux qui ont été faits.

Que sait-on des disciplines ?

2D’abord, ce qu’elles disent sur elles-mêmes. Qu’elles existent, comme l’aurait dit Alexandre Vialatte, depuis la plus haute Antiquité. Qu’hors d’elles il n’est point de savoir. Qu’elles fondent l’université et qu’elles ont à voir avec l’Universel qu’elles permettent d’atteindre même quand elles s’appuient sur des objets triviaux. Qu’elles tirent argument de leur existence sociale pour leur nécessité théorique. Qu’elles s’attribuent des pères fondateurs (Socrate, Durkheim, Freud ou de Saussure pour ne parler que d’eux), des actes de naissance (une décision ministérielle de 1974 pour les Sciences de l’information et de la Communication, la publication du Cours de linguistique générale pour la linguistique). Qu’elles affichent un âge, qui sert à certaines à fonder leur légitimité: les plus anciennes (comme la philosophie ou les mathématiques) prétendent être parfois les plus scientifiques, parfois les plus nobles, même si d’autres (rhétorique ou sophistique), peuvent leur disputer cette aînesse. Les plus jeunes attendent parfois de l’emprunt à leurs aînées leur rigueur ou leur dignité, et peuvent se heurter à la défense âpre de leur identité et de leurs frontières.

3Elles évoquent plus rarement leur parentèle, les conditions de leur engendrement, ce qui les distingue de leurs ancêtres, les conditions de leur développement, de leur progressive autonomisation et de leur maîtrise dans un champ qu’elles vont travailler à leur manière: ce qu’on nomme leur champ disciplinaire. Enfin, on tait presque toujours leur date de décès, comme celle des disciplines qui les ont précédées (La dissertation en latin a certes vécu mais la philologie comparée existe-t-elle encore ? Et le matérialisme historique de l’ancienne URSS ?).

4Les disciplines ont plus ou moins un objet. Entendons par là que celui-ci se définit plus ou moins aisément et que, même pour les plus assurées, il n’est jamais certain qu’il ne se dérobe pas. Dans la mesure où la démographie traite des variations de population, elle a un objet saisissable, comme la gastro-entérologie ou l’astrophysique (au moins pour le non-spécialiste). L’objet de la sociologie est déjà moins facile à circonscrire. Il peut être partout. Celui de la linguistique ne l’est pas du tout pour le non linguiste, puisqu’il repose sur une catégorie produite par les linguistes qui ont inventé deux catégories, langue et parole, et décidé de traiter de ce que recouvre pour eux la première. Quant à la philosophie, son objet est le plus in(dé)fini.

5Mais l’existence d’un objet n’est pas pour une discipline une question purement empirique. Elle conditionne son identification, sa reprise, son élaboration par un collectif social. C’est pourquoi il ne suffit pas d’identifier un objet intéressant pour faire science. Les objets existants ont le poids de l’investissement (de la croyance) dont ils font l’objet, qui leur donne une forme de pérennité.

6Il arrive ainsi souvent que ce n’est pas l’objet trivial, réel, qui définit la discipline (l’homme est objet d’étude pour la philosophie et la médecine entre autres), mais que la discipline apporte à l’étude de l’objet trivial ce qui fait son caractère propre de discipline, en le construisant d’une certaine manière. Ainsi pour l’homme, qui sera saisi comme être pensant ou comme système anatomique. Mais il serait trop simple de penser pour autant qu’un objet disciplinaire est une pure construction. Il reste toujours profondément ancré autant dans ce dont il tente de rendre compte que dans ce qui l’a rendu possible.

7Deux types de voisinage sont ainsi repérables. L’un est diachronique (quelles disciplines ont engendré celle qu’on observe ?). L’autre est synchronique (il existe des disciplines qui traitent du même objet, mais d’une manière différente). Ces voisinages, fondamentaux pour comprendre l’identité des disciplines, sont souvent tus ou soumis au règne de la polémique scientifique.

8Si l’on veut dépasser les discours convenus pour observer mieux les disciplines, il faudra bien s’approcher du milieu où elles vivent et se développent. Les disciplines enseignées à l’université sont soumises aux logiques d’organisation de cette université qui leur sert d’écosystème. On observera que leur développement y suit sa propre logique, mais que cette logique disciplinaire doit composer avec deux autres types de logiques qui lui sont hétérogènes. Les unes tiennent au corps social, d’autres à la production de la connaissance scientifique (qui ne se limite pas aux disciplines).

9Les logiques disciplinaires visent fondamentalement à l’institutionnalisation et à la normalisation des discours et des pratiques. Elles ont une tendance naturelle à la reproduction de l’existant, même si la rupture et la marginalité peuvent y faire valeur. Au plan institutionnel, elles se sont longtemps appuyées sur le pouvoir des facultés, disparues officiellement en 1968 au profit d’institutions voulues pluridisciplinaires. La logique facultaire n’était pas incompatible avec des logiques politiques, au sens où l’exercice du pouvoir dans l’université se réalisait grâce à l’appui de disciplines, et à leur profit. Et c’est souvent encore le cas.

10Depuis, les disciplines ont été de plus en plus contraintes de croiser des logiques sociales. Que celles-ci les portent, les critiquent, ou plus cruellement les ignorent. Effet, rançon ou bénéfice de l’ouverture de l’université sur l’extérieur et de sa démocratisation, il arrive de plus en plus souvent que des acteurs formulent leurs demandes en termes de formation, et en particulier que soit demandé à l’université non plus de délivrer un savoir disciplinaire mais de préparer à l’exercice d’une profession. Ce qui fait, entre le développement d’attitudes consuméristes et le poids croissant des entreprises et des collectivités territoriales, échapper le pilotage des universités aux logiques disciplinaires des anciennes facultés, dans un contexte de plus concurrentiel entre universités et lieux de formation.

11Enfin, quelque peu paradoxalement, les logiques disciplinaires ont à composer avec les logiques scientifiques. Ces dernières ne visent pas fondamentalement l’institutionnalisation et la normalisation. Elles ambitionnent la construction de nouvelles connaissances. Bien souvent, ce sont des développements inattendus, des rencontres, des hybridations qui favorisent le renouveau et la croissance de branches autrefois secondaires ou inexistantes. Des terrains explorés par la recherche peuvent aussi se révéler féconds et productifs et susciter la création de nouveaux champs de recherche et d’enseignement. Enfin, le développement technologique, particulièrement dans le domaine de l’information et de la communication peut susciter des approches renouvelées qui contribuent à transformer le paysage des connaissances, donc la perspective de la discipline elle-même.

Que peut-on dire d’une discipline ?

12Plus modestement, comment peut-on parler d’une discipline, celle des Sciences de l’information et de la communication ? Que peut-on dire d’une discipline jeune (trente ans), grandie en France sous le signe spécifique de l’alliance de l’information et de la communication, alors qu’on distinguera ici les études de journalisme de la bibliothéconomie, là les Communication studies des Media studies ou des Cultural studies ?

13Que peut-on observer d’une discipline lors de son développement ? Que peut-on dire de ses relations aux diverses logiques sociales, scientifiques, institutionnelles ?

14Le premier parti pris qui s’offre à l’esprit est historiographique. D’où vient-elle ? Comment est-elle reconnue ? Comment s’impose-t-elle ? On centre le discours sur l’événement pour chercher ce que la discipline a de spécifique. Ce n’est pas le parti choisi ici.

15Un second choix possible est celui de la description exhaustive. On tente de donner une photographie ou une carte du champ disciplinaire, dans une entreprise de type encyclopédique, pour montrer ce que la discipline recouvre aujourd’hui. Ce n’est pas non plus ce qui a été tenté dans ce numéro. L’œuvre est trop complexe et la couverture exhaustive d’un tel champ n’y tiendrait pas. D’autant que s’il s’agissait de couvrir le domaine des recherches sur l’information et la communication, on constaterait d’évidence que les Sic ne sont ni les seules ni les premières à l’avoir investi : toutes les livraisons d’Hermès ne suffiraient pas à l’entreprise.

16Aussi bien n’a-t-on pas poursuivi ici ce projet. On a préféré une troisième voie. On a cherché à identifier quelques-unes des nouvelles questions que cette discipline a posées. Elle touche en particulier à des objets fortement investis socialement (les médias, les réseaux de télécommunications …) et à des valeurs centrales (la démocratie, le droit à l’information, la communication …). Mais elle n’est ni la seule, ni la première à les observer. Comment les aborde-t-elle ? Quel type de savoirs construit-elle sur ces objets, et en quoi sont-ils différents de ce que d’autres ont pu élaborer ?

17Comment vit-elle, résout-elle, supporte-t-elle un certain nombre de tensions ? Entre autres celles qui naissent au contact des logiques définies plus haut, les logiques sociales et les logiques scientifiques, qui ne sont pas disciplinaires comme on l’a vu.

18Un premier point de départ est ainsi la tension que vit une discipline entre sa logique de développement et la demande sociale. Nées en grande partie dans les Instituts universitaires de technologie (IUT), au cœur de préoccupations de professionnalisation, les Sciences de l’information et de la communication répondaient à leurs débuts à une demande politique et sociale. Elles se sont développées à l’université et ont produit des connaissances qui visaient à s’affranchir de cette demande sociale. Sans pour autant perdre prise sur les pratiques sociales, les enjeux, les techniques qui font partie de la communication construite dans le social, pervertie, chargée d’idéologie, instrumentalisée. On se demandera ainsi quelles relations, s’agissant de l’image, la discipline aura avec les publicitaires. S’agissant de la télévision, quels liens existent avec les institutions et les métiers de l’audiovisuel. S’agissant de la communication des organisations, quels échanges se développent avec les entreprises, les cabinets, les directeurs ou chargés de communication. De ce point de vue, on a cherché ici à mettre l’accent plutôt sur les nouvelles questions posées dans une dynamique-tension avec le champ social.

19Lors du développement d’une nouvelle discipline, une autre tension se développe entre la volonté de produire une légitimité scientifique (face aux disciplines plus légitimes parce que plus anciennes) et celle de produire une légitimité sociale (face aux champs socialement plus reconnus, comme dans ce cas l’informatique, les médias etc.). Jeune, ayant recruté dans un premier temps d’anciens linguistes, philosophes, littéraires, sociologues, historiens, la discipline des Sciences de l’information et de la communication doit se légitimer vis-à-vis de ses aînées, mais aussi face aux acteurs sociaux qui travaillent dans les domaines qu’elle observe. Des objets et des problèmes nouveaux naissent-ils dans la tension entre légitimité scientifique et légitimité sociale ?

20Il est intéressant d’observer cette tension dans une revue éditée par le CNRS. En effet, ce dernier ne reconnaît pas les Sic, au motif que ce qu’elles étudient constitue un ensemble de pratiques sociales et langagières suffisamment décrit par les disciplines existantes (celles qui existent en son sein: les sciences du social et les sciences du langage), et il ne connaît comme approche scientifique de l’information que les disciplines de l’ingénierie appliquée.

21Outre le lien avec la professionnalisation, les tensions entre logiques disciplinaires scientifiques et sociales, un autre trait marque en effet les Sic. C’est la technique. Dans aucune discipline elle n’est une simple application de la science. Incarner la physique ou la biologie en un dispositif matériel et technique, c’est en faire autre chose. C’est concrétiser des rêves, accumuler des risques, disposer des contraintes, distribuer des puissances et des pouvoirs. À certains égards, rien n’est plus éloigné de la pensée scientifique que la pensée technique, bien qu’elles se nourrissent l’une l’autre. Mais dans le domaine de l’information et de la communication, la technique occupe une place et mobilise des enjeux tout particuliers. La communication mobilise la technique comme l’un de ses ressorts essentiels. Ainsi, la Technique et les techniques se sont-elles posées, depuis fort longtemps comme des réponses à la question de la communication (qu’on pense au Teuth de Platon qui annonce que l’écriture va doter les Égyptiens d’une intelligence et d’une mémoire artificielles). Or techniciser la communication, cela crée du sens et des effets. Le succès des Sic est porté par le rôle social des techniques d’information et de communication, autant que par l’espoir que ces sciences donneraient accès aux techniques de la communication elle-même. Elles doivent se situer par rapport à ce succès embarrassant.

Comment parler de cette discipline particulière ?

22C’est à partir de l’ensemble de ces tensions qu’on a tenté ici de décrire cette discipline particulière. Ce parti pris rédactionnel recelait un certain nombre de risques. Il fallait éviter le panégyrique de l’entreprise disciplinaire comme les tendances hagiographiques. Ne pas tomber dans le piège de la discipline qui dispose enfin d’une tribune où l’auteur croit qu’on lui demande de montrer combien son activité est originale et intéressante. Ni dans celui d’un micro-milieu « s’auto-citant » complaisamment et cherchant à faire œuvre patrimoniale en montrant l’excellence et la légitimité de ses productions. Il fallait aussi refuser d’entrée un certain nombre de complexes et de représentations qui ont animé longtemps des débats sur la scientificité des Sciences de l’information et de la communication. Repousser, autant que possible, l’idée que les objets, les problèmes et les méthodes seraient propriétés de disciplines particulières.

23Longtemps, (et pour certains encore aujourd’hui), un débat jugé central a en effet opposé les tenants des vraies sciences (c’est-à-dire anciennes et constituées, supposées pures et dures), aux pratiques d’une interdiscipline (jugée récente, impure et indigne). Ce débat manque quelque peu d’intérêt, sauf à renvoyer à une analyse bourdieusienne de la domination symbolique dans le champ des sciences humaines. Il a été ignoré ici.

24On comprendra donc que ce numéro est à visée épistémologique. Les auteurs sollicités ne l’ont pas été pour qu’ils proposent une théorie générale ou un modèle, mais pour qu’ils repèrent quel type de questions les Sciences de l’information et de la communication permettent de traiter et en quoi elles traitent ces questions différemment.

25Bien des approches existent de la télévision, du musée, de la bibliothèque, des industries culturelles, de la page d’écran informatique ou de la communication en entreprise …

26On se demande ici d’abord ce que les Sic apportent de nouveau du point de vue scientifique, ensuite quels contacts elles ont avec les autres disciplines à la fois dans leur genèse et dans leurs frontières.

27Chaque auteur a donc été invité à porter un regard réflexif sur des pratiques qu’il connaissait de manière empirique, pour dégager les relations entre cette discipline et des enjeux professionnels, scientifiques et sociaux. On a souhaité que la posture réflexive des auteurs permette de comprendre ce qu’ils ont vécu et construit, qu’elle donne à voir ces tensions à la fois de l’intérieur (là où elles se vivent), et de l’extérieur (par la remise en perspective épistémologique). En d’autres termes, nous avons fait l’hypothèse que s’il y avait quelque chose d’intéressant à tirer du mouvement des recherches en Sic, ce n’était pas en dressant un panorama ou en proposant des catégorisations. Mais bien plutôt en examinant un ensemble de projets définis, qui soulèvent une gamme d’enjeux différents et se rencontrent, à l’occasion, autour de problèmes décidément difficiles à résoudre.

28Comme on l’observera, si l’on discute dans ce numéro un ensemble de questions neuves que les Sic se sont employé à faire apparaître ou à élucider, c’est toujours dans la confrontation avec d’autres espaces disciplinaires que se conquiert la réelle conceptualisation. Ce trait n’est pas propre aux Sic.

29Finalement, la discipline est ici un objet, mais ce n’est pas la disciplinarité qui nous intéresse. Ce sont les pratiques, les contradictions, les ouvertures, les questionnements que l’institution d’une nouvelle discipline rend possibles ou auxquels elle fait obstacle.

30Il y a loin de l’intention au résultat. Le lecteur jugera lui-même. Certaines ambitions initiales de ce projet ont dû être abandonnées. Mais il reste que le résultat que le lecteur a entre les mains est né du projet d’éclairer une discipline du point de vue de ses productions plus que de son histoire. Des tensions dans lesquelles elle vit plus que de ce qu’elle a pu instituer. Des idées qu’elle remue plus que des titres qu’elle revendique. Des relations qu’elle entretient avec des métiers et avec d’autres disciplines plus que de sa géographie interne.

31Dans un premier temps, on questionne ici l’invention problématique d’un champ. Les Sic sont nées en France en 1974. Elles se sont fortement développées dans les années 1990. Il s’agit de voir, à l’aide de cas précis, comment les recherches qu’elles ont menées ont contribué à dessiner progressivement des espaces de problèmes inédits ou non identifiés scientifiquement jusque-là.

32Dans un second temps, on observe les Sic en perspective pour se centrer sur les relations qu’elles entretiennent, comme construction disciplinaire particulière, avec d’autres types de géographies du savoir ou avec des disciplines avec lesquelles elles ont eu des échanges, éventuellement conflictuels. Il ne s’agit ici ni de comparer, ni d’engager des polémiques, mais plutôt de mettre en évidence ce que ces rapports ont permis ou interdit de penser.

33Une troisième partie s’attache aux conditions et aux résultats du travail scientifique et pédagogique réalisé en Sic. On cherche à voir en quoi la pensée est nourrie de ses conditions pratiques, lesquelles lui donnent une position particulière, et on refuse toute opposition entre « science pure » et science appliquée. Comment la dimension critique du travail scientifique s’affirme-t-elle en relation avec l’implication des chercheurs et de la discipline dans un ensemble d’enjeux ?

34Ce numéro d’Hermès se conclut par une série de réflexions sur le champ scientifique des Sic et les enjeux sociaux qui lui sont liés. On y interroge les pratiques d’enseignement, de recherche, d’intervention publique des Sic. Dans quelle mesure rendent-elles possible une approche scientifique des processus d’information et de communication qui prenne en considération les transformations politiques et économiques actuelles ?

35Bien que, initiateurs et coordonnateurs de ce projet éditorial, nous nous inscrivions tous deux institutionnellement dans le champ des Sic, nous n’avons pas cherché à produire une « Défense et illustration » de notre discipline de rattachement, ni à lancer des polémiques territoriales ou scientifiques, mais plutôt à contribuer à un regard sur cette entreprise disciplinaire trente ans après son lancement.

Yves Jeanneret
Université de Paris 4 Sorbonne (Celsa)
Laboratoire Langages, logiques, informatique, communication, cognition (LaLICC), CNRS
Yves Jeanneret, professeur de sciences de l’information et de la communication à l’université de Paris 4 Sorbonne (Celsa) et chercheur au CNRS, laboratoire Langages, logiques, informatique, communication, cognition (LaLICC). Spécialiste de la trivialité des valeurs culturelles, des formes d’écriture et des transformations médiatiques.
Bruno Ollivier
Université des Antilles et de la Guyane
Gerec-F
Laboratoire communication et politique, CNRS
Bruno Ollivier, professeur en sciences de l’information et de la communication à l’université des Antilles et de la Guyane, Gerec-F, laboratoire communication et politique, CNRS, Paris.
Dernière publication diffusée sur Cairn.info ou sur un portail partenaire
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Mis en ligne sur Cairn.info le 12/11/2013
https://doi.org/10.4267/2042/9417
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