CAIRN.INFO : Matières à réflexion

1La Revue française des Affaires sociales, – comme d’autres revues l’ont fait également – a demandé à l’occasion d’anniversaires (de la Sécurité sociale, de l’Inspection générale, de l’Inspection du travail, etc. ou le sien), des analyses rétrospectives à des administratifs, des chercheurs ou des acteurs. Ces travaux ont donné lieu à la publication de numéros commémoratifs qui sont ici analysés par Vincent Viet dans son article « De la Revue française du Travail à la Revue française des Affaires sociales : une histoire passée en revue » (dont le titre de ce numéro est d’ailleurs inspiré).

2Vingt ans après le dossier que la revue avait consacré à ses quarante ans [1] en 1986, il était temps de regarder à nouveau vers le passé. D’autant, comme le confirment les travaux dont sont issus les articles qui composent ce numéro, que la revue a connu un nouvel essor à partir des années quatre-vingt.

Encadré 1 : Bref historique de la revue[2]

La Revue française du Travail (RFT) est née après la Seconde Guerre mondiale en avril 1946. L’objectif est alors d’aborder les grands problèmes sociaux français, d’apporter des renseignements pratiques et d’être « un organe de liaison entre tous ceux qui estiment indispensable un nouvel examen des problèmes sociaux dont la guerre et ses conséquences ont rendu la solution de plus en plus urgente ». Lors de sa 21e année, la revue prend le nom de Revue française des Affaires sociales (RFAS) ; « ce changement de nom est destiné à marquer que le domaine couvert par la revue s’étendra désormais à toutes les questions dont le ministère des Affaires sociales a à connaître au titre de la population, la santé, le travail, l’action et la sécurité sociale » ; cet élargissement devrait permettre « de faire apparaître toutes les relations qui existent entre ces problèmes, dont les solutions doivent toujours procéder d’une même recherche de la justice sociale ». Toutefois le premier numéro portant le nouveau titre (numéro de janvier mars 1967) ne rompt pas avec la Revue française du Travail puisque le sommaire est entièrement consacré à des questions relatives au travail [3]. Mais dès le numéro 2, ce sommaire sera plus varié : immigration, professions paramédicales, INSERM, équipement sanitaire et social.

3La préparation du présent numéro a commencé dès 2004 [4] avec le souci d’entreprendre un travail plus réflexif que commémoratif et s’est poursuivie à partir du début de l’année 2005 par la mise en place d’un comité de pilotage réuni à plusieurs reprises au cours de l’année. Il était composé de membres du comité de rédaction de la revue, de chargés de mission à la Mission Recherche de la DREES, d’une ancienne rédactrice en chef de la RFAS et d’une professionnelle de la documentation (cf. encadré 2) et avait pour objectif de définir l’orientation de ce numéro et les moyens nécessaires à mettre en œuvre.

Encadré 2 : Comité de pilotage

Catherine Baude, responsable du bureau de la politique documentaire au ministère ; Gabrielle Clotuche, conseillère à la Confédération européenne des syndicats (CES) et professeure à l’Institut du travail, Université catholique de Louvain, membre du comité de rédaction ; Jean-Pierre Le Crom historien du droit, directeur de recherche CNRS, université de Nantes, membre du comité de rédaction ; Catherine Omnès, historienne, professeur à l’université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines, membre du comité de rédaction ; Martine Sonnet, historienne, chargée de mission à la MiRe ; Pierre Strobel, responsable de la Mission Recherche (MiRe), membre du comité de rédaction ; Vincent Viet, historien, chargé de mission à la MiRe, membre de la commission scientifique du Comité d’histoire des administrations chargées du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle ; Élisabeth Zucker, ancienne rédactrice en chef.

4Pour la première fois, les travaux entrepris pour un numéro rétrospectif de la revue ont pu s’appuyer sur un outil d’analyse : une base de données qui a été réalisée par Laure Pitti [5]. Il s’agit plus précisément de l’indexation thématique de ce qui a été publié (articles et autres documents) par la RFT puis la RFAS ainsi qu’une indexation des auteurs. Ce travail est présenté ci après par son auteur [6].

5Il a constitué une source très riche et la base indispensable des recherches qui ont été menées ensuite. En revanche les chercheurs ont regretté l’absence d’archives sur l’élaboration de la revue ce qui n’a pas permis l’analyse de la politique éditoriale ou du rôle du comité de rédaction à partir du moment où la revue s’est dotée d’un tel comité.

6De nombreux chercheurs – historiens, juristes, économistes, sociologues – ont répondu favorablement malgré la lourdeur de la tâche, à la proposition – inhabituelle – qui leur a été faite, de dégager à partir des 72 thématiques dans lesquelles Laure Pitti a indexé les articles, un thème précis (regroupant plusieurs thématiques de la base de données ou au contraire un aspect de l’une d’elles) et d’écrire après étude de ce que la RFAS a publié dans ce domaine, un article soumis aux règles habituelles de la revue (examen par le comité de lecture).

7Ensuite ont été ajoutées des contributions plus courtes sur des sujets qui n’avaient pas été étudiés dans le cadre décrit ci-dessus et qu’il a paru indispensable d’aborder, même si l’objectif de ce numéro n’était pas l’exhaustivité.
Enfin le numéro est complété par des entretiens réalisés par Véronique Le Hen [7], avec des acteurs et des lecteurs :

8

  • Mireille Elbaum directrice de la DREES et directrice de la publication de 1998 à fin 2006 ;
  • des lecteurs qui utilisent la RFAS dans un cadre professionnel ou associatif : Éric Brunie, inspecteur à la DDASS de la Creuse ; Jacques Commaille, professeur des universités à l’École normale supérieure de Cachan ; Emmanuèle Jeandet-Mengual, membre de l’Inspection générale des affaires sociales ; Anne Lemoine-Pape, actuellement responsable de la formation des inspecteurs à l’École nationale de la santé publique ; Jean-Marie Schléret, enseignant-chercheur et notamment président du Conseil national consultatif des personnes handicapées ;
  • Marie-José Bernardot et Élisabeth Zucker qui ont été rédactrices en chef de la revue respectivement de 1986 à 1991 et de 1991 à 2000 ;
  • Catherine Baude, responsable du bureau de la politique documentaire ainsi qu’Odile Vachette-Gaudillère, Marie-José Penvern et Monique Carrière (centre de documentation inter-directions du ministère).
Ces entretiens qui ont été répartis tout au long du numéro, soulèvent un certain nombre de questions et suggèrent des orientations dont le comité de rédaction pourrait se saisir.
Ces différentes contributions s’articulent autour de deux parties : l’une historique, l’autre thématique.

Une approche historique

9Jean-Pierre Le Crom braque le projecteur vers les deux premières années de la Revue française du Travail, qu’il appelle les « années fastes » [8] au cours desquelles les réformes de la Libération (Sécurité sociale, comités d’entreprise…), et « les questions de main-d’œuvre y sont abondamment traitées dans un état d’esprit de grande curiosité intellectuelle pour les expériences étrangères et internationales ». On trouvera en annexe un court extrait des mémoires de Charles Bettelheim qui est à l’origine de la création de la RFT en 1946, et des éléments biographiques qui éclairent l’orientation des premières années de la revue. Charles Bettelheim s’est éteint en juillet dernier au moment où s’achevait l’élaboration de ce numéro ; son état de santé dans ses derniers mois n’a malheureusement pas permis de recueillir son témoignage.

10Dès 1948 s’amorce pour la revue, selon Jean-Pierre Le Crom, une crise qui perdurera jusqu’aux années 1960 et dont témoignent la périodicité irrégulière et l’absence de syndicalistes parmi les auteurs de la revue (contrairement au projet initial).

11Dans les premières années de la revue, le profil dominant des auteurs est en effet celui de l’administrateur (54,9 % des auteurs en 1946-1948), il passe ensuite à celui du chercheur (55 % depuis 1987) constate Martine Sonnet [9] qui a étudié les caractéristiques des auteurs, à la recherche d’une politique en ce domaine, au fil des sommaires de la revue de 1946 jusqu’en 2004 et à travers un corpus de 2 232 articles signés par 1 696 auteurs différents. Au passage, elle relève que les femmes ne représentent qu’un tiers des auteurs.

12De son côté, Vincent Viet [10] s’interroge sur le rapport de la revue à l’histoire. Il observe qu’« une proportion plus qu’honorable » (7 %) des articles est référencée comme historique. À y regarder de plus près « la commémoration constitue un mode d’expression “historique” privilégié de la revue ». Il note que le lien entre passé et présent n’est cependant véritablement construit que dans peu de numéro de cette nature, par exemple dans le numéro spécial consacré en 1985 aux « Quarante ans de la Sécurité sociale ». Il se réjouit qu’aujourd’hui, la revue est elle-même « matière à histoire ».
Après avoir dépouillé ce que la revue a publié en 60 ans, Laure Pitti peut affirmer que la RFAS constitue « une source pour l’histoire des problèmes sociaux ». Le développement des travaux historiques devrait être favorisé par la constitution de la base de données des articles et des auteurs et la numérisation progressive de l’ensemble des articles de la revue afin d’en faciliter l’accès.

Une approche thématique

13Douze thématiques ont été retenues. Les articles référencés dans ces thématiques ont été dépouillés et ont fait l’objet d’une étude approfondie par les auteurs des articles qui sont issus de ces travaux. On peut les regrouper en cinq rubriques : protection sociale, travail et emploi, santé, organisation administrative et questions sociales.
Ces auteurs ont dégagé un constat commun :

14

  • un nouvel élan de la revue à partir des années quatre-vingt
  • le caractère positif de l’approche pluridisciplinaire et de la démarche comparative ainsi que de la présence d’auteurs étrangers.
Ils ont relevé également le silence de la revue sur certaines thématiques sociales (au sens large), ces thèmes « oubliés » ouvrent des pistes au comité de rédaction pour des numéros à venir.

Protection sociale

15Laure Pitti amis en évidence la prédominance de ce thème (cf. tableau p. 19).

16L’intérêt de la revue pour la protection sociale est ancien : le sommaire du numéro 1 de la RFT en 1946 comprend en deuxième position, juste après la présentation du programme d’action du ministère du Travail par Ambroise Croizat, un article de Pierre Laroque : « Le plan français de Sécurité sociale ».

17Jean-Pierre Chauchard [11] observe cependant que « la part du droit social dans les publications de la revue est minime [12] (bien que l’indexation fasse apparaître 13 % des articles comme relevant du droit de la protection sociale).

18En revanche la dimension internationale de la protection sociale est privilégiée dans la revue. Denis Bouget [13] a mis en évidence une première période, de 1946 à 1951, qui est celle de la découverte des systèmes de protection sociale et de leur réforme dans des pays parfois éloignés de la France, à la fois en distance et culturellement, et une seconde qui commence en 1980, au cours de laquelle l’analyse comparative prend un nouvel essor. Il remarque que la revue a cependant faiblement intégré l’analyse de la politique sociale européenne dans ses numéros. Il est rejoint dans cette analyse par Jacques Commaille qui au cours de son entretien a trouvé « que les questions ne sont pas encore suffisamment traitées dans leur dimension européenne ».

Travail et emploi

19L’ancrage d’origine de la revue (Revue française du travail) dans la sphère du travail justifiait que soient explorées des thématiques dans ce champ bien qu’elles n’apparaissent pas les plus présentes sur la période de 60 ans (cf. tableau p. 19 précité). Norbert Olszak [14] constate que les articles relatifs au droit du travail publiés dans la revue même s’ils occupent une place assez limitée et fluctuante apportent leur contribution à une réflexion générale sur un aspect souvent négligé : l’effectivité du droit.

20Jean-Claude Barbier [15] a étudié le vocabulaire utilisé dans le domaine du travail par les auteurs de la revue entre 1946 et 1989 : il constate ainsi que la notion de « main-d’œuvre » s’estompe pratiquement dans les années 1970 alors que celle de « politiques de l’emploi » s’installe progressivement à partir de la fin des années 1970. Il observe également l’incertitude des frontières entre ce qu’on nomme « travail » et ce qu’on nomme « emploi ». Les articles révèlent ainsi l’évolution des formes de l’action publique en matière d’emploi et de travail depuis la fin de la Deuxième Guerre.
Le risque professionnel est un élément fondateur de l’activité du ministère du Travail rappelle Catherine Omnès [16]. Elle cherche à comprendre pour quelles raisons moins de 4 % des articles répertoriés concernent les risques professionnels, à travers l’analyse de ces articles au regard des politiques publiques, des cultures et des pratiques de gestion du risque et des attentes sociales d’un côté, des évolutions rédactionnelles de l’autre. Elle regrette que la revue n’ait pas jouer un rôle d’anticipation et de mobilisation dans le domaine de la prévention.

Santé

21La prévention est aussi une question importante de santé publique. Ce domaine de la santé a été choisi par Michel Setbon pour examiner la place de la revue en la matière. Il s’est ainsi interrogé [17] sur le point de savoir si la revue témoignait de l’évolution, voire des grands tournants de la santé publique depuis soixante ans. Sa conclusion est positive : la revue a globalement reflété à la fois la place de la santé publique en France qui est devenue un enjeu social de premier plan et les grands problèmes auxquels elle a dû faire face.

22En revanche, ce n’est qu’à partir de 1990 que l’hôpital, un des éléments essentiels du système de soins, devient un thème régulier de la revue constate François-Xavier Schweyer [18]. Il précise que l’hôpital dont il est question dans la revue, c’est l’hôpital tel qu’il est transformé par l’action publique ; les dimensions économiques, organisationnelles et politiques dominent, alors que les professionnels de santé, le travail hospitalier et les patients usagers sont des thèmes beaucoup moins présents.

Organisation administrative

23Les structures administratives en charge des questions sociales ont été analysées et interrogées de façon continue dans la RFAS depuis sa création observe Alain Chatriot [19], mais si jusqu’au début des années 1990, les auteurs des contributions sont des acteurs et des témoins du fonctionnement administratif, ensuite ils sont relayés par les spécialistes de sciences sociales qui mettent notamment en évidence la multiplication des fonctions qui relèvent des structures ministérielles chargés des questions sociales.

24Après étude des articles publiés par la revue, A. Chatriot considère que celle-ci s’est « depuis près d’une décennie fait l’écho des travaux qui ont renouvelé notre connaissance des formes de l’État providence ».

25Il remarque que la décentralisation et le rôle des acteurs locaux sont parmi les thèmes les plus traités dans la RFAS concernant l’organisation administrative dans le domaine sanitaire et social.

Questions sociales

26Même si Dominique Dessertine [20] fait remarquer que « la revue a laissé passer quelques grands sujets [dans le domaine social], parfois en n’étant pas assez à l’écoute des manifestations de ce qu’il est convenu d’appeler la société civile », ce sont cependant les questions les plus présentes dans la revue.

27La revue s’est notamment particulièrement intéressée au handicap. (Les numéros thématiques consacrés à ces questions ont d’ailleurs été très lus comme le soulignent les ventes de ces numéros [21] mais aussi la plupart des entretiens publiés dans le présent numéro). Ainsi Vincent Boissonnat [22] montre que si l’on considère l’ensemble des articles dont les thématiques seraient aujourd’hui englobées sous la dénomination plus générale de handicap, cette question a été abordée par la revue tout au long de son histoire : elle y a occupé une place quantitativement importante dès sa création, avec des articles régulièrement depuis 1947 : « les articles publiés au cours des soixante ans d’existence de la Revue française des Affaires sociales ont assez fidèlement reproduit – voire ont contribué à produire – les profonds changements sociétaux survenus dans les rapports qu’entretient la société à la déficience. »

28Dominique Dessertine [23] considère qu’à partir des années 1980, la revue se transforme « en revue de référence pour l’analyse, par des scientifiques (sociologues démographes, mais aussi politologues, etc.) des grands problèmes sociaux posés par l’évolution des configurations familiales, les nouvelles situations des enfants et des politiques qui leur sont appliquées. »

29Claire Carriou et Lucie Haguenauer-Caceres [24] se demandent si le logement est bien une question sociale : la RFAS a publié en effet peu d’articles sur le logement. Elles suggèrent que cette absence vient de la perception même de la question, avant tout considérée durant les Trente Glorieuses comme un problème technique et quantitatif. Le logement tend à redevenir une question sociale, sur laquelle se penche davantage la revue avec le retour de la crise et de la pauvreté. C’est sur la question de la pauvreté que se termine le numéro avec un article de Pierre Strobel [25]. Jusqu’aux années quatre-vingt, la revue n’aborde que très marginalement les phénomènes de pauvreté qui continuent pourtant de toucher une part importante de la société française. Lorsque le chômage de masse induit une « nouvelle » pauvreté touchant une partie du salariat, l’auteur note que la revue aborde alors les questions de pauvreté, mais de façon sélective : le RMI et ses bénéficiaires vont occuper presque totalement l’espace des débats sur ce thème.

30Jean-Marie Schléret souligne à ce propos dans son interview : « … au moment où le RMI était voté en 1989, c’est la RFAS qui a conduit des réflexions de fond dans “Revenu minimum et pauvreté en Europe du Sud” publié en 1991, avec un comparatif qui dépassait largement la France. »

31Mais il est difficile de parler de pauvreté sans parler des systèmes de protection sociale. Ainsi Pierre Strobel s’interroge : « peut-on continuer à vouloir traiter la pauvreté persistante avec les outils de l’assurance sociale ? » Il craint que l’on ne se dirige « vers un clivage accru entre un système national de protection des individus en emploi et des chômeurs les plus aptes à retourner rapidement sur le marché du travail et des dispositifs locaux, personnalisés, visant les ménages durablement éloignés de l’emploi ce qui consacrerait un retour à la distinction entre les pauvres valides et invalides ? »
Beaux sujets pour de futurs numéros de la Revue française des Affaires sociales !

Notes

  • [1]
    « 1946-1986. Les quarante ans de la RFAS », RFAS, n° 4, 1986.
  • [2]
    Pour des développements plus complets voir l’article d’A. Ziegler, « Historique du ministère », dans RFAS, n° 4, 1986 précité.
  • [3]
    Ce numéro s’ouvre sur un discours de Jacques Chirac alors secrétaire d’État aux Affaires sociales chargé des problèmes de l’emploi, devant la Conférence internationale du travail.
  • [4]
    décision du comité de rédaction : réunion du 19 octobre 2004
  • [5]
    Laure Pitti, Étude exploratoire et systématique des thématiques de la Revue française des Affaires sociales, 1946-2006, Convention de recherche MiRe-DREES/IHTP n° 05/88, 3 volumes (plus synthèse), novembre 2005.
  • [6]
    Laure Pitti : « Une source pour l’histoire des problèmes sociaux. Présentation de l’indexation thématique et des auteurs de la RFT et de la RFAS ».
  • [7]
    Journaliste, Textuel.
  • [8]
    Jean-Pierre Le Crom, « Les années “fastes” de la Revue française du Travail (1946-1948) ».
  • [9]
    Martine Sonnet, « Les auteurs dans la Revue française des Affaires sociales : quels profils ? (1946-2004) ».
  • [10]
    Vincent Viet, « De la Revue française du Travail à la Revue française des Affaires sociales : une histoire passée en revue ».
  • [11]
    Jean-Pierre Chauchard, « La Revue française des Affaires sociales et le droit de la protection sociale ».
  • [12]
    Alors que la revue est parfois perçue comme trop juridique… (enquête de lectorat).
  • [13]
    Denis Bouget, « Approche internationale de la protection sociale. Un cycle de publication ».
  • [14]
    Norbert Olszak, « Le droit du travail : un intermittent dans la Revue française du Travail et la Revue française des Affaires sociales ».
  • [15]
    Jean-Claude Barbier, « Main-d’œuvre, emploi, travail : catégories et référentiels. Voyage à travers les pages de la revue (1946-1988) ».
  • [16]
    Catherine Omnès, « Le risque professionnel ».
  • [17]
    Michel Setbon, « Reflets de santé publique à travers soixante ans de publications ».
  • [18]
    François-Xavier Schweyer, « L’hôpital, une transformation sous contrainte. Hôpital et hospitaliers dans la revue ».
  • [19]
    Alain Chatriot, « L’administration des affaires sociales. Une vision des transformations ».
  • [20]
    Dominique Dessertine, « Enfance et politiques sociales ».
  • [21]
    Le numéro « Handicaps, incapacités, dépendance » (RFAS, n° 1-2, 2003) par exemple, a été très vite épuisé à La Documentation française.
  • [22]
    Vincent Boissonnat, « Handicap et évolutions sociétales : soixante ans de politique éditoriale ».
  • [23]
    « Enfances et politiques sociales » précité.
  • [24]
    Claire Carriou et Lucie Haguenauer-Caceres, « Le logement est-il une question sociale ? Le logement dans la revue (1946-2004) ».
  • [25]
    Pierre Strobel, « La Revue française des Affaires sociales et la pauvreté : des approches sélectives ».
Françoise Leclerc
Dernière publication diffusée sur Cairn.info ou sur un portail partenaire
Mis en ligne sur Cairn.info le 01/03/2010
https://doi.org/10.3917/rfas.064.0005
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