CAIRN.INFO : Matières à réflexion

Action sociale et médico-sociale

Rénover l’action sociale et médico-sociale. Histoires d’une refondation, Jean-François Bauduret et Marcel Jaeger, Dunod, 2002, 328 pages, 29 euros

1La loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale a fait bien plus que réformer la loi du 30 juin 1975 relative aux institutions. Elle est un acte de « refondation ». En effet, elle a pour objet de redéfinir le secteur social et médico-social comme un ensemble homogène, soumis à des règles communes. Mais au-delà de nouvelles dispositions parfois très techniques, la loi est construite comme un raisonnement dont les deux termes principaux sont : la priorité donnée aux droits des personnes et la cohérence de l’organisation des moyens mis à la disposition des personnes en situation de fragilité en raison d’un handicap, de troubles de la personnalité, d’une inadaptation ou d’une quelconque forme d’exclusion sociale. Cette loi oblige ainsi à se pencher sur les évolutions des établissements et des services de ce secteur. Car, si l’accent est mis sur la priorité des bénéficiaires dans l’organisation des prestations, un des objectifs non moins essentiels est de faire évoluer le fonctionnement des institutions. Cet ouvrage est à la fois présentation pédagogique, essai d’analyse historique et réflexion sur les enjeux de la loi.

Accompagner les jeunes handicapés ou en difficulté, Bertrand Dubreuil, Dunod, coll. « Action sociale », 2002, 176 pages, 21 euros

2Droit des usagers, responsabilité éducative des parents, politique d’intégration, évaluation du service offert, le secteur social et médico-social est en pleine mutation. Fondé à l’origine sur une approche psycho-médicale, il est aujourd’hui à la recherche d’une nouvelle légitimité, comme en témoigne la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale. Il s’agit de passer d’une réponse ségrégative en milieu spécialisé à une réponse en milieu ordinaire avec des soutiens spécifiques conséquents. Cet ouvrage incite à s’emparer des opportunités qu’offre cette mutation. Si les professionnels sont parfois justifiés de redouter une intégration au rabais, ils doivent cependant adopter une posture active en favorisant les situations de vie ordinaires au sein même des établissements spécialisés et en développant l’intégration dans les dispositifs de droits communs. L’auteur illustre cette perspective en examinant le système institutionnel, le projet individuel, l’évaluation, la place des usagers, le travail avec les parents, et propose un cadre de référence, des outils et des pratiques à mettre en œuvre. Sa démarche méthodologique s’appuie sur l’expérience des acteurs de terrain, éducateurs spécialisés et professionnels du soin psychologique et de la rééducation.

Famille

Un barème pour les pensions alimentaires ?, Isabelle Sayn (dir.), La Documentation française, 2002, 285 pages, 21 euros

3Que ce soit dans le cadre d’un divorce ou d’une séparation de couples non mariés, qu’il s’agisse de fixer une pension alimentaire ou d’en modifier le montant, le contentieux de l’obligation d’entretien des enfants constitue une part considérable de l’activité des juges aux affaires familiales, qui représente elle-même plus de la moitié des décisions des tribunaux de grande instance. La justice doit concilier les contraintes de gestion d’un tel contentieux de masse avec le souci d’individualiser les solutions de conflits d’une extrême sensibilité compte tenu de la forte implication des parties en présence. Un moyen serait de recourir, comme le font d’autres pays, à un barème permettant d’évaluer le montant des pensions et qui pourrait s’adapter aux cas particuliers. Outre les bénéfices attendus d’une motivation plus systématique des décisions judiciaires, leur meilleure prévisibilité devrait favoriser la multiplication des accords entre les parties, à l’ombre de la loi. Cet ouvrage fait le point sur les avantages et les difficultés d’un tel système, sur les conditions de sa mise en œuvre, les choix à opérer, que la loi du 4 mars 2002 vient partiellement d’éclairer. L’approche est pluridisciplinaire.

La parentalité en questions. Problématiques et pratiques professionnelles, Bernard Vossier (dir.), ESF, coll. « Actions sociales/Société », 2002, 222 pages, 22,80 euros

4Les regards croisés de différents spécialistes invitent dans cet ouvrage à une construction/déconstruction de la parentalité, d’autant plus riche que la notion recouvre des réalités à fois complexes et multiples : la structure familiale contemporaine est-elle en crise ou en mutation ? Qu’est-ce qu’un père ? De la famille à la parentalité : simple ajustement ou redéfinition normative ? Quel est le vrai parent de l’enfant ? Quel univers symbolique le droit de la filiation donne-t-il aux parents adoptifs ? À la lumière du constat des évolutions sociétales et législatives qui vont aujourd’hui dans le sens du maintien du lien parental dans le cas de l’enfant « placé », les acteurs du champ socio-éducatif intervenant dans le cadre de la suppléance familiale sont confrontés à de nouveaux enjeux : comment travailler avec les familles ? Avec quels outils ? En mettant en place quel type d’organisation ? Au total, seize contributions de formateurs de l’Andesi, pour la majeure partie, sont proposées avec l’ambition de faire surgir d’autres questions propices à enrichir un débat qui occasionne déjà de profondes remises en cause des pratiques professionnelles du secteur social.

La politique de la famille, Jacques Commaille, Pierre Strobel, et Michel Villac, La Découverte, coll. « Repères », 2002, 116 pages

5Parler de « politique familiale » en France a-t-il encore un sens ? Certes, il existe un imposant dispositif dans ce domaine – et ce livre en propose une description et une analyse rigoureuses –, mais les évolutions des comportements et des aspirations des individus remettent en cause sa pertinence. Ces évolutions s’inscrivent dans un processus d’individualisation et d’autonomisation par rapport à la famille traditionnelle. Producteur de liberté, ce processus s’inscrit dans un long cheminement vers l’égalité, mais il n’est pas sans risques. Face à ces mutations de la sphère privée des individus, l’action publique apparaît incertaine. Elle est écartelée entre des finalités contradictoires qui renvoient aux logiques antagonistes se perpétuant dans les registres politiques, sociaux et culturels. Sommée de rompre avec les incertitudes provoquées à la fois par la nostalgie de la famille traditionnelle et par la recherche sans limites de la satisfaction personnelle, la politique de la famille est plus que jamais confrontée à la nécessité de concilier la réalisation personnelle des individus et les exigences de l’espace public du bien commun.

Handicaps

Hospitalisation psychiatrique et droits de l’homme, Assia Boumaza, Éditions du CTNERHI, 2002, vol. 1, 209 pages, 20 euros ; vol. 2, 323 pages, 23 euros

6Si la maladie mentale est la « pathologie de la liberté », il serait raisonnable de reconnaître à un tel malade la plénitude de ces droits afin qu’il recouvre son autonomie. Cependant dans nos sociétés modernes, il en est autrement. Le malade hospitalisé, pris dans l’engrenage médico-administratif, est privé de sa liberté d’exercice de ses droits pour être soumis à un traitement médical dont les modalités peuvent s’avérer attentatoires à son intégrité physique et psychique.

7Ce thème est traité dans deux volumes distincts : le volume 1 s’interroge, à l’appui du bilan quinquennal et de la jurisprudence européenne, sur la légalité du régime français d’hospitalisation psychique après l’adoption de la loi du 27 juin 1990 portant réforme de la loi sur les « aliénés » du 30 juin 1838.

8Le second volume, quant à lui, est consacré à une analyse du statut juridique du malade hospitalisé sans consentement pendant son séjour en institution spécialisée à travers les droits les plus élémentaires reconnus à toute personne humaine et également à travers le traitement psychiatrique dont les modalités sont attentatoires à l’intégrité physique et psychique.

Personnes âgées

La santé aux grands âges, actes du séminaire, « L’état de santé des aînés : évolutions depuis 25 ans et interprétations », Cahiers de l’INED/PUF, 2002, 140 pages, 18 euros

9L’accroissement rapide du nombre de personnes très âgées fait craindre depuis longtemps une expansion de la morbidité, contribuant à l’envolée des dépenses médicales, et une pandémie des incapacités, amenant une multiplication des besoins d’aide pour les activités de la vie quotidienne. Quels sont les ressorts de l’explosion récente de l’espérance de vie aux grands âges ? Vieillit-on aujourd’hui au même rythme qu’hier ? Entre-t-on dans la vieillesse toujours au même âge ? Comment évolue la prévalence des incapacités selon l’âge ? Quel est le rôle des changements de conditions de vie et de travail dans la baisse de la mortalité aux grands âges ? Telles sont les questions que posent les trois premiers chapitres de cet ouvrage. Le quatrième propose un éclairage sociologique sur la manière dont la santé des personnes âgées s’inscrit dans leur trajectoire professionnelle et biographique, et insiste sur la nécessaire « contextualisation » du travail par son marché et son accessibilité, de même que celle des conditions d’existence. Un cinquième chapitre passe en revue les principales avancées concernant les personnes âgées dans le domaine de la médecine curative et préventive et effectue un bilan de la littérature concernant l’efficacité des différentes approches. Enfin, le sixième chapitre confirme la hausse de la prévalence déclarée pour les maladies chroniques liées au vieillissement, et s’interroge quant à l’interprétation de cette hausse dans un contexte d’élévation de l’espérance de vie sans incapacité.

Les techniques de la vie quotidienne. Âges et usages, Françoise Bouchayer, Catherine Gorgeon, Alain Rozenkier (coord.), DREES « coll. MiRe-CNAV », 2002, 199 pages [1]

10Les multiples relations à l’œuvre entre êtres humains et « êtres techniques » peuvent constituer un bon analyseur de la vie et des évolutions sociales. À cet égard on observe, à l’aube du XXIe siècle et dans les sociétés modernes et industrialisées, la concomitance de deux phénomènes : les êtres humains vivent de plus en plus vieux, et les êtres techniques se renouvellent à un rythme accéléré. Dans ce contexte, que peut-on dire des relations, ou absence de relations, qui s’instaurent entre des humains et des techniques appartenant à des générations fort diversifiées, à l’occasion des multiples circonstances de la vie quotidienne, qu’elles s’inscrivent dans le cadre du domicile ou des espaces publics ? Deux registres d’élucidation des interactions entre vieilles personnes et produits techniques peuvent être considérés. Le premier se situe du côté de l’offre et tend à souligner l’insuffisante prise en compte des usagers, en particulier les plus âgés, dans toute la chaîne de production et de mise à disposition d’un produit (conception, présentation et vente, facilité d’utilisation). Le deuxième insiste sur la diversité des stratégies d’usage ou de non-usage dont font preuve les personnes âgées ainsi que sur la nécessité de casser les clichés présentant ces personnes soit comme « incapables » soit comme « enthousiastes » à l’égard des objets et des services technologiques.

Les valeurs de l’âge. Pratiques gérontologiques, Maximilienne Levet, Erès, 2002, 116 pages, 8 euros

11Le vieillissement est toujours vu et observé à partir des déficits engendrés par l’âge et jamais à partir des acquis de l’avance en âge, à l’exception de la sagesse, notion aussi floue que vague. Or les valeurs de l’âge – lenteur, faiblesse, disponibilité, refus du gaspillage… – méritent considération. Les personnes âgées doivent les revendiquer, les défendre et appeler les autres générations à en discuter avec elles, à s’arrêter pour réfléchir ensemble avant qu’il ne soit trop tard. Ces valeurs en harmonie avec celles qui président à la vie de la Terre sont les premiers atouts des générations à venir.

Guide de la réforme des établissements pour personnes âgées. Conventions tripartites et démarche qualité, Pierre Louis, Seli Arslan, 2002, 324 pages, 29,50 euros

12Une réforme des établissements pour personnes âgées s’impose actuellement aux 11 000 maisons de retraite de France. Elle prévoit la signature d’une convention, obligatoire, entre les établissements et les autorités tarifaires (DDASS, conseils généraux…) et établit un lien direct entre le financement et l’amélioration de la qualité de vie des personnes âgées dans le cadre d’une démarche qualité. Elle se traduit aussi par une inflation de textes qu’il importe à chacun de connaître, car ils vont modifier en profondeur le fonctionnement des structures et les conditions d’accueil. L’ouvrage propose une aide pour la gestion d’un projet à vocation stratégique dans le domaine de la qualité et dans un contexte d’évolution du droit sanitaire et social ayant une forte incidence financière.

Protection sociale

Mutations du marché du travail et protection sociale dans une perspective internationale. Voies parallèles ou convergentes ?, Hedva Sarfati et Giuliano Bonoli (dir.), Peter Lang/AISS, 2002, 622 pages, 67,70 euros

13Les systèmes de protection sociale et les marchés du travail ont connu ces vingt dernières années de profondes mutations. Les États providence font l’objet de réformes de fond, visant à les moderniser et à les redimensionner. Les marchés du travail, quant à eux, se précarisent, se féminisent, et deviennent plus inégalitaires dans certains pays, alors que les populations vieillissent dans toute la zone de l’OCDE. Les interactions entre marchés du travail et systèmes de protection sociale occupent une place de plus en plus cruciale dans les choix sociaux et économiques concernant le chômage, les transformations du travail, la « nouvelle » pauvreté, voire la démographie. Une équipe interdisciplinaire d’experts des systèmes de protection sociale et des marchés du travail de divers pays de l’OCDE ont examiné les interactions entre ces deux problématiques sociales en pleine mutation. Ils en identifient et analysent les questions clés comme, par exemple, le lien entre l’emploi et le financement de la protection sociale, l’adaptation des systèmes de prévoyance aux carrières féminines non linéaires, ou encore le développement de nouvelles formes de protection qui visent à promouvoir l’emploi. L’ouvrage comporte des études de cas et des analyses comparatives de politiques qui ont permis une meilleure adéquation entre protection sociale et marché du travail. En conclusion, l’ouvrage rappelle les tendances majeures dans ces deux domaines, en évaluant les enjeux et les défis des politiques choisies et en suggérant des scénarios alternatifs aux décideurs et aux partenaires sociaux.

Économie des retraites, Jean-Marc Dupuis, Claire El Moudden, Economica, 2002, 311 pages, 27 euros

14L’avenir des retraites constitue un des grands enjeux de nos sociétés et impose que soit menée une réflexion tant sur les systèmes de retraite que sur les interactions entre retraite, démographie et économie. Ce livre présente tout d’abord l’univers complexe des retraites, leur organisation et leur fonctionnement en France comme à l’étranger. Les termes du débat sont abordés au travers des oppositions entre répartition et capitalisation, régimes de base et complémentaires, ou encore régimes obligatoires et facultatifs. Les solutions techniques recouvrent des choix de société que les auteurs cherchent à mettre en évidence. La seconde partie de l’ouvrage est consacrée aux relations entre démographie, économie et retraite. En s’appuyant sur une méthode d’analyse rigoureuse, les auteurs examinent les effets sur les retraites du vieillissement démographique, de la croissance et des fluctuations économiques. Ils présentent les avantages et inconvénients des mesures proposées pour adapter les systèmes de retraite aux évolutions futures. Ils montrent enfin que les retraites exercent une influence sur le marché du travail, l’épargne et la croissance économique.

Santé

Quelle médecine voulons-nous ?, Isabelle Baszanger, Martine Bungener, Anne Paillet, La Dispute, coll. « États des lieux », 2002, 249 pages, 19 euros

15Quelle médecine voulons-nous ? C’est bien cette question, même si elle est encore peu débattue en ces termes, qui est au cœur des discussions autour de la médecine.

16Face au malaise et aux revendications des personnels de santé, aux interrogations des malades et de leurs familles, face aux développements des progrès médicaux, scientifiques et techniques et aux problèmes éthiques et juridiques qui les accompagnent, face à l’accroissement continu des coûts, à la diversification des modes d’organisation, face à la pluralité et à l’incertitude des objectifs de la médecine, comment penser les missions et le mandat de la médecine ? Et qui doit en décider ? En mettant à disposition des connaissances et des analyses issues des sciences sociales, cet ouvrage souhaite rendre plus intelligibles ces évolutions, leurs enjeux, et les choix de société qui sont à faire.

Société

Les méthodes de l’intervention psychosociologique, Gérard Mendel, Jean-Luc Prades, La Découverte, coll. « Repères », 2002, 120 pages

17Qu’est-ce qu’une intervention psychosociologique dans le champ social ? Où se pratiquent ces interventions ? Par qui sont-elles réalisées ? À quoi servent-elles ? Comment se déroulent-elles ? Avec quelles visées théoriques et pratiques ? Après une mise en perspective historique, ce livre répond à ces questions et fait apparaître la pluralité des formes d’intervention existant en France (sept courants retenus) avec leurs méthodologies spécifiques et leurs objectifs. Ce livre de sociologie à la fois comparative et concrète offre une synthèse des travaux effectués dans ce domaine depuis les années soixante-dix.

Perte d’emploi, perte de soi, Danièle Linhart avec Barbara Rist et Estelle Durand, Erès, coll. « Sociologie clinique », 2002, 192 pages, 18 euros

18Une fermeture ou des licenciements ne constituent pas seulement des faits quantifiables : nombre d’emplois perdus, nombre de personnes reclassées, mises en préretraite, indemnités financières, formations offertes, déménagements éventuels. Ils représentent autant d’épreuves de ruptures, de traumatismes, de pertes – de repères, d’identité – qui s’effacent derrière les impératifs économiques, financiers, les diktats de la modernisation, les nouvelles règles du jeu de la mondialisation. Ce document apporte des éléments concrets pour comprendre les transformations objectives et subjectives du monde du travail dominé aujourd’hui par les politiques managériales modernisatrices qui, si elles misent sur l’individualisation à outrance et la mobilisation de la subjectivité des salariés, privilégient les critères économiques et financiers en les déconnectant de leurs incidences humaines.

Notes

  1. Action sociale et médico-sociale
    1. Rénover l’action sociale et médico-sociale. Histoires d’une refondation, Jean-François Bauduret et Marcel Jaeger, Dunod, 2002, 328 pages, 29 euros
    2. Accompagner les jeunes handicapés ou en difficulté, Bertrand Dubreuil, Dunod, coll. « Action sociale », 2002, 176 pages, 21 euros
  2. Famille
    1. Un barème pour les pensions alimentaires ?, Isabelle Sayn (dir.), La Documentation française, 2002, 285 pages, 21 euros
    2. La parentalité en questions. Problématiques et pratiques professionnelles, Bernard Vossier (dir.), ESF, coll. « Actions sociales/Société », 2002, 222 pages, 22,80 euros
    3. La politique de la famille, Jacques Commaille, Pierre Strobel, et Michel Villac, La Découverte, coll. « Repères », 2002, 116 pages
  3. Handicaps
    1. Hospitalisation psychiatrique et droits de l’homme, Assia Boumaza, Éditions du CTNERHI, 2002, vol. 1, 209 pages, 20 euros ; vol. 2, 323 pages, 23 euros
  4. Personnes âgées
    1. La santé aux grands âges, actes du séminaire, « L’état de santé des aînés : évolutions depuis 25 ans et interprétations », Cahiers de l’INED/PUF, 2002, 140 pages, 18 euros
    2. Les techniques de la vie quotidienne. Âges et usages, Françoise Bouchayer, Catherine Gorgeon, Alain Rozenkier (coord.), DREES « coll. MiRe-CNAV », 2002, 199 pages
    3. Les valeurs de l’âge. Pratiques gérontologiques, Maximilienne Levet, Erès, 2002, 116 pages, 8 euros
    4. Guide de la réforme des établissements pour personnes âgées. Conventions tripartites et démarche qualité, Pierre Louis, Seli Arslan, 2002, 324 pages, 29,50 euros
  5. Protection sociale
    1. Mutations du marché du travail et protection sociale dans une perspective internationale. Voies parallèles ou convergentes ?, Hedva Sarfati et Giuliano Bonoli (dir.), Peter Lang/AISS, 2002, 622 pages, 67,70 euros
    2. Économie des retraites, Jean-Marc Dupuis, Claire El Moudden, Economica, 2002, 311 pages, 27 euros
  6. Santé
    1. Quelle médecine voulons-nous ?, Isabelle Baszanger, Martine Bungener, Anne Paillet, La Dispute, coll. « États des lieux », 2002, 249 pages, 19 euros
  7. Société
    1. Les méthodes de l’intervention psychosociologique, Gérard Mendel, Jean-Luc Prades, La Découverte, coll. « Repères », 2002, 120 pages
    2. Perte d’emploi, perte de soi, Danièle Linhart avec Barbara Rist et Estelle Durand, Erès, coll. « Sociologie clinique », 2002, 192 pages, 18 euros
Mis en ligne sur Cairn.info le 01/07/2010
https://doi.org/10.3917/rfas.031.0353
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