CAIRN.INFO : Matières à réflexion

1La suppression en 2011 des classes sociales du programme de première de Sciences économiques et sociales a suscité de vives protestations de l’ASES et de l’APSES [1]. Au-delà de la discussion légitime sur les vertus pédagogiques de cette notion, on peut voir dans cette émotion une manifestation de l’attachement, en France, des sociologues, des professeurs de SES et même d’une partie des économistes (en particulier les hétérodoxes) à ce concept, qui tient lieu d’opérateur d’identification disciplinaire (comme peut l’être le temps pour les historiens ou l’espace pour les géographes), voire comme un marqueur d’une posture critique en sciences sociales et en politique. L’introduction au même moment de la notion de réseaux sociaux a achevé de convaincre de la volonté gouvernementale de substituer une représentation de la société sous forme de réseau à la représentation habituelle sous forme de classes sociales [2]. Cette discussion récente sur l’antagonisme réel ou supposé des deux notions est au fond une manifestation d’un débat qui traverse la sociologie depuis l’émergence de la sociologie empirique des réseaux. Schématisons quelque peu. Pour les tenants des classes sociales, les réseaux sociaux véhiculeraient une vision irénique de l’ordre social, un continuum des classes moyennes sans frontières d’intérêt économique, de pratiques culturelles, de conscience de classe, etc. Au contraire, pour les tenants des réseaux sociaux, les classes sociales seraient des macro-catégories d’origine idéologique qui ne correspondent pas au mode concret de structuration des groupes sociaux que seule l’analyse empirique des relations sociales révèle efficacement.

2Réseaux et classes sociales sont-ils deux modes antagonistes de représentation de la société ? On voudrait avancer ici que cet antagonisme, dont on a délibérément grossi les traits, n’a pu se développer que sur la base d’une promesse d’articulation théorique très forte chez les fondateurs des sciences sociales, et repose sur une littérature limitée et quelque peu datée (pour schématiser, les années 1980) qui réduit les réseaux à la seule sociabilité, et se trouve désormais dépassé par des nouveaux modes d’articulation.

1 – Les promesses d’articulation théorique

3S’il peut sembler difficile de parler d’analyse de réseau en sciences sociales avant les travaux de Moreno (1954), il n’en demeure pas moins que l’idée de relation, un de ses concepts clés, intervient très tôt dans les théories sociales, en particulier dans les écrits des économistes classiques ayant forgé les premiers la notion de classe sociale mais aussi dans les travaux anthropologiques se penchant sur les formes élémentaires de la parenté et de la structuration sociale.

4En modélisant les relations d’échange entre trois classes, la classe des producteurs (les paysans), la classe des propriétaires fonciers et la classe stérile (les artisans) sous la forme d’un « zigzag » dans son tableau économique, l’économiste physiocrate Quesnay [1759] peut être vu non seulement comme un précurseur de la comptabilité nationale mais aussi comme un lointain précurseur des graphes dynamiques de réseau. En effet, si on accepte d’étendre la notion de relation de la sociabilité aux relations d’échange et de paiement, on a bien chez les économistes classiques (de Quesnay à Marx en passant par Smith et Ricardo) une théorie des groupes fondée sur les droits de propriété, sur les instruments de production (terre, travail, capital), articulée à une théorie des relations d’échange entre ceux-ci. Certes, il s’agit là d’un réseau entre entités macro-sociales au contraire de la pratique contemporaine d’analyse des relations de sociabilité laquelle se focalise principalement sur les relations interindividuelles. Cependant, on trouve aussi des travaux contemporains qui reposent sur des relations bilatérales de paiement entre entités supra-individuelles telles que des firmes [Uzzi, 1996] [3].

5Si Marx reprend dans ses grandes lignes l’articulation entre classes et relations d’échange, il la reformule d’une part comme relation d’exploitation, d’autre part il la complète dans ses textes historiques (1965 [1848], 1994 [1851]) d’une analyse sociohistorique des classes sociales. L’unité « pour soi » des classes sociales repose sur les relations sociales intra-classes de solidarité (qui découlent pour la classe ouvrière du mode d’organisation collectif de la production – lequel fait justement défaut pour les paysans) et sur des relations d’évitement interclasses. Les classes sociales in fine fondées sur des droits de propriété se caractérisent donc par un double réseau de relation : les relations interclasses d’exploitation, les relations intra-classes de sociabilité.

6On retrouve une articulation similaire entre relations et classes sociales dans les travaux classiques d’anthropologie de la parenté. Même si l’on ne peut pas parler de classes sociales au sens économique pour les sociétés sans histoire analysées par les travaux sur la parenté depuis ceux de Durkheim et Mauss juqu’à ceux de Dumont en passant par ceux de Lévi-Strauss, l’anthropologie classique articule dans des termes finalement assez proches de ceux des premiers économistes des classes sociales les groupes de filiations et les relations d’échange. Les règles d’échange de femmes entre différents groupes de filiation sont des modes pratiques d’interdiction de l’inceste et de construction de l’ordre social. François Héran (2009) montre bien la dualité parfaite des groupes de filiation et des relations d’échange des femmes dans le cas des quatre formes élémentaires de la parenté : transfert exclusif, transfert alterné, échange exclusif, échange alterné. Au terme de son analyse, les groupes ne sont définis que parce qu’ils entretiennent des relations obligatoires ou interdites d’échange matrimonial.

7Ces deux ensembles théoriques peuvent certes apparaître éloignés de l’analyse de réseau moderne. Toutefois, si nous nous permettons de souligner des parallélismes d’articulation des groupes et des relations, malgré les différences évidentes, à deux moments fondateurs des sciences sociales, c’est qu’ils nous semblent avoir nourri une attente forte d’imbrication qui sera déçue par les travaux empiriques. D’une part, sujet bien connu, l’objectivation empirique des classes sociales s’avère délicat dans la mesure où les catégories sociales de la stratification sociale ne leur correspondent que très imparfaitement. D’autre part, les relations concrètes d’échange économique ou d’échange matrimonial correspondent tout aussi mal aux relations théoriquement postulées.

2 – Le divorce empirique

8Autant Moreno, un des pères fondateurs de l’étude des réseaux sociaux, l’a fait avec la volonté de promouvoir une représentation de la société plus adaptée au monde démocratique [1941], autant d’autres auteurs ont posé la question de l’adéquation des réseaux et des classes sociales comme une question de recherche ouverte.

9L’anthropologue Barnes étudiant les relations sociales au sein d’une petite île norvégienne [1954] pose la question empirique du système de classe qui émerge de l’analyse inductive des relations sociales. Il définit pour cela les classes comme le réseau de relations entre des personnes qui se considèrent à peu près de même statut. Il obtient alors un continuum de relations dans toute l’île : ce continuum ne signifie pas une égalité complète de statut, puisque, à plusieurs degrés d’écart entre deux individus, l’accumulation de petites différences négligeables peut constituer une différence statutaire assez considérable. Néanmoins, le résultat de ce traitement, ici qualitatif, le conduit à observer une gigantesque classe moyenne bordée en haut par une toute petite élite et en bas par un petit groupe de pauvres.

10Les expériences sur les chaînes relationnelles expérimentées par Stanley Milgram [1967] conduisent au même type d’observation. Même entre des individus très hétérogènes géographiquement et socialement (comme entre un ouvrier du Nebraska et un agent de change de Boston), il existe des chaînes de relation, souvent d’un faible nombre de degrés, qui les relient leur donnant l’impression, lorsqu’ils s’en rendent compte, que le monde est finalement « petit ».

11Non seulement on ne trouve pas dans les réseaux de sociabilité les coupures radicales que l’analyse théorique des classes sociales suggérait (et que l’anthropologie de la parenté postulait [Bourdieu, 1971]), mais, avec des méthodes de partitionnement du continuum des relations du type des blockmodels [White et al., 1976], on trouve des modes de groupement qui peuvent différer largement des catégories sociales habituelles [4]. Il n’est dès lors pas étonnant que les réseaux sociaux aient pu être mobilisés comme un opérateur de déconstruction des classes sociales.

12Maurizio Gribaudi [1995] s’en sert ainsi pour remettre en cause le rôle attribué aux macro-acteurs sociaux tels que les ouvriers, la bourgeoisie dans l’histoire sociale marxisante issue de l’école des Annales. Les réseaux de mobilité professionnelle entre des intitulés de profession envisagés au niveau le plus détaillé au cours du xixe siècle montrent une grande hétérogénéité des configurations professionnelles dans l’espace populaire et leur variation dans le temps. De même, travaillant sur la sociabilité contemporaine des classes supérieures, Gribaudi [1995, 1998] souligne la très grande variabilité des réseaux égocentrés de cadres supérieurs, très similaires par le statut. La trajectoire de mobilité sociale, la cohésion familiale et toutes les occasions de modification et de transformation du réseau comptent autant sinon plus que la position socioprofessionnelle.

13La sociologie structurale des réseaux qui domine l’analyse des réseaux au niveau international diffère par bien des points de la tradition « manchesterienne » d’analyse des réseaux à laquelle on peut rattacher tant Barnes que Gribaudi [Ève, 2002]. Plus déterministe, positiviste et quantitativiste, elle n’en partage pas moins avec cette dernière, en particulier dans les années 1980, une certaine réserve à l’égard des appartenances de classe. Au cours de cette période active de création d’indicateurs statistiques sur la position dans le réseau ou sur sa structuration se développe l’idée quelque peu démiurgique que seule compterait la position dans le réseau. Face au réseau, les appartenances macro-sociales perdraient leur pertinence ou n’en seraient au mieux qu’une conséquence.

14On trouve dans l’impressionnant article de Padgett et Ansel [1993] consacré à l’ascension des Médicis, une illustration convaincante du primat de la position structurale sur les appartenances socio-économiques. En effet, tout le début de l’article consacre une énergie importante à montrer que l’opposition entre familles partisanes des Oligarques, familles partisanes des Médicis et familles neutres n’est pas due à des différences de richesse, d’accroissement de richesse, d’ancienneté dans la noblesse, ou au quartier, en bref à des différences exogènes d’attributs statutaires. Un « blockmodel », une classification des individus sur la base de leurs relations matrimoniales et des partenariats économiques, est un meilleur déterminant des allégeances partisanes. La position dans le réseau des Médicis, intermédiaire indispensable de familles hétérogènes et déconnectées, leur est particulièrement favorable pour se mettre à la tête d’une coalition et affronter les Oligarques, prisonniers d’un système d’échange cohésif contraignant empêchant tout leader d’émerger.

15Historiquement, il n’est pas faux de considérer que la constitution de la sociologie empirique des réseaux s’est faite largement contre les prétentions de la sociologie classique des appartenances socio-économiques. Toutefois, une fois établi le déterminisme propre au réseau, de nouvelles articulations entre réseau et classes sociales deviennent possibles.

3 – Vers de nouvelles articulations

16Un facteur favorable à une plus grande articulation des deux notions tient à la modification de l’objet de la sociologie des réseaux. Dans les années 1980 et 1990, le principal objectif de la sociologie des réseaux consistait à établir les effets de la position dans le réseau sur les comportements, position prise ici comme une variable exogène. Les travaux de Ronald Burt [1992] sont particulièrement représentatifs de cette tendance de la recherche. Il forge le concept de trou structural, construit pour mesurer un indicateur de position dans le réseau, la contrainte structurale, et montre ainsi l’effet positif des contacts non redondants sur différents indicateurs de succès (salaires, promotions, bonnes idées, etc.). Toutefois, une fois établi cet effet des réseaux sur les comportements sociaux, l’intérêt scientifique s’est plus porté sur les origines des réseaux sociaux et tente aujourd’hui de construire des modèles dynamiques de détermination réciproque des réseaux et des comportements.

17Or l’homophilie est bien le déterminant majeur mis au jour par toute étude systématique de formation des réseaux sociaux [McPherson et al., 2001]. Cette homophilie est généralement de sexe (sauf pour les relations matrimoniales), d’âge et de statut social. La matrice de relations issue du croisement de la PCS d’ego et de celle de ses amis ne diffère guère d’une table de mobilité sociale ou d’une table de mobilité matrimoniale [Godechot, 2000]. De même, les travaux qui cherchent à comprendre la formation du capital social montrent que ce dernier reste fortement corrélé à la possession d’autres formes de capital, comme le capital économique ou le capital culturel [Héran, 1988].

18Certes, l’analyse de réseau ne permet pas de retrouver les classes bien découpées de l’analyse théorique, mais cette difficulté n’est pas propre à l’analyse de réseau. Il n’est guère d’analyse empirique qui permette l’application telle quelle de concepts de classe issus directement d’une analyse théorique (celle-ci n’en gardant pas moins une vertu analytique). L’analyse de réseau, au contraire, devient un outil privilégié pour comprendre certains phénomènes de structuration en classe, en particulier les modalités de structuration des élites en classes dominantes, comme le montrent les études sur les interlocks [Dudouet, Grémont, 2007].

19Au-delà de ces éléments les plus visibles du rapprochement, on voudrait signaler aussi de nouvelles tentatives d’articulation théorique. Selon Boltanski et Chiapello [1999], le propre du nouveau capitalisme est de promouvoir le réseau, à la fois comme idéologie et comme forme d’organisation, et de valoriser en son sein la figure du passeur mobile qui se connecte et se déconnecte à volonté. Leur théorie générale de l’exploitation (« le malheur des petits fait le bonheur des grands ») fondée sur l’inversion de la maxime de redistribution (« le bonheur des grands fait le bonheur des petits ») permet d’articuler spécifiquement et de manière originale position de classe et phénomènes réticulaires. L’immobilité des uns fait la force du passeur mobile. Ce dernier, multi-connecté, peut, comme l’entrepreneur burtien, mettre en concurrence les immobiles peu connectés et tirer de ce différentiel de connexion des sources de plus-value.

20Dans notre propre travail sur la finance [Godechot, 2007], nous avons montré comment certains salariés, les chefs d’équipe et les chefs de salle de marché, pouvaient tirer parti des différentiels de mobilité et de connexion. Ils peuvent menacer efficacement de déplacer des ressources matérielles et sociales (équipes, clients) si jamais leurs espérances ne sont pas satisfaites, imposant ainsi aux parties les plus immobiles (salariés du back-office, direction de la firme) des transferts de richesse. Dans une enquête plus récente sur le recrutement [Godechot, 2010], nous montrons ainsi que les salariés qui ont le plus de relations de collaboration non seulement peuvent déplacer une part conséquente des actifs de la firme, en tirent des avantages salariaux conséquents, mais aussi maintiennent plus de contacts au sein de la firme qu’ils quittent. Les immobiles loin de gêner les mouvements dévastateurs des mobiles semblent vouloir les faciliter afin de mieux leur rester connectés. Sans se substituer aux déterminations classiques, la position dans le réseau participe donc de la reconfiguration des rapports de classe.

Notes

  • [1]
    Cf. Marjorie Galy, « Les questions pédagogiques sont porteuses d’enjeux politiques », Le Monde, 17 janvier 2011. ASES, « Communiqué sur les programmes de Sciences économiques et sociales du 26 janvier 2011 », http://sociologuesdusuperieur.org/spip.php?article25&lang=fr.
  • [2]
    Pierre Mercklé, « Réseaux sociaux contre classes sociales : faut-il former les professeurs de SES au nouveau programme de Première ? », http://pierremerckle.fr/2011/01/reseaux-sociaux-contre-classes-sociales/.
  • [3]
    On associe souvent la sociologie des réseaux avec des formes plus ou moins prononcées d’individualisme méthodologique. Cette association n’est valable que pour certains des auteurs de ce domaine et doit surtout au type de relations collectées et au niveau d’appréhension.
  • [4]
    La reconstitution de groupes à partir du réseau ne constitue qu’une petite part de l’analyse de réseau. Une grande partie des travaux se situe strictement au niveau individuel et interindividuel. En outre, les techniques de regroupement – en particulier le block-modeling, très en vogue dans les années 1980 – sont plutôt en déclin à partir de la fin des années 1990, en raison d’une part de la mise en évidence de certaines de leurs limites et du perfectionnement de l’économétrie des réseaux.

Bibliographie

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Olivier Godechot
CMH, CNRS - EHESS - ENS
Mis en ligne sur Cairn.info le 05/12/2012
https://doi.org/10.3917/rfse.010.0265
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